AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Faute avouée : à moitié pardonnée [Amaranthe]

Partagez
 

 Faute avouée : à moitié pardonnée [Amaranthe]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Invité

Invité
avatar

Faute avouée : à moitié pardonnée [Amaranthe] Empty
MessageSujet: Faute avouée : à moitié pardonnée [Amaranthe]   Faute avouée : à moitié pardonnée [Amaranthe] EmptyJeu 18 Fév 2016 - 14:55

Comme à ses habitudes, Bilbo s'était levé de bonne heure, pas qu'il ait quelques obligations, mais il aimait à profiter de sa journée au maximum et pour cela, rien ne valait un bon premier petit déjeuné dans sa cuisine à observer le jour à peine levé par la fenêtre. À une heure si matinale, il faisait encore trop froid pour qu'il lui prenne l'envie saugrenue d'aller manger sur le petit banc qui avait trouvé sa place devant la maison depuis bien avant sa naissance.

Ensuite, il procédait à sa toilette et s'habillait avant de lire un peu ou de faire un peu de rangement. Ça n'était pas parce qu'il n'avait pas besoin de travailler pour vivre convenablement qu'il fallait jeter son argent par les fenêtres en engageant trop de personnel. Il employait Hamfast car c'était un hobbit cher à son coeur et qui avait fort besoin de ce travail. Aussi ne faisait-il pas totalement la charité, mais un peu quand même...

Bref.

Il était bien dix heures quand Bilbo s'était décidé à prendre son second petit déjeuné, plus léger cette fois-ci, puis il avait soudainement eut envie de voir du monde, même s'il ne pensait pas s'attarder à discuter avec le premier qui voudrait bien échanger quelques banalités en sa compagnie. Il avait donc pris son chapeau, avait enfilé sa veste couleur feuille de chêne et pris son petit panier à provision car quoi de mieux que de se rendre au marcher pour croiser des gens et se sociabiliser sans en avoir l'air ?

Bilbo avait la chance de vivre à une distance raisonnable de ce qui constituait le centre de la ville et donc de la place où se tenait le marché. Ni trop loin pour ne pas avoir envie de s'y rendre à pied, ni trop près pour ne pas être importuné par les bruits de la vie qui suivait son cours. Il profita donc d'une bonne balade pour fumer un peu de vieux Toby et il laissa sa pipe s'éteindre après avoir atteint le marché.

Il y avait du monde, ça n'était pas peu dire et il était heureux de n'avoir que de maigres courses à faire car alors, s'il n'avait plus envie de son bain de foule, il pourrait rentrer chez lui sans avoir terminé et sans le moindre regret. Il se choisit quelques beaux morceaux de viande et surtout quelques beaux poissons avant de se rendre du côté des légumes. Le choix des pommes de terre fut cornélien mais il finit par trouver son bonheur et il pris également quelques carottes avant de négocier sévère sur le prix d'un tonneau d'herbe à pipe qu'il trouvait réellement trop cher ...

C'est avec un prix baissé de moitié par rapport à l'initial mais encore plus cher qu'il ne l'aurait souhaité au départ que Bilbo repartit avec le fameux petit tonneau dans son panier. Il n'avait plus vraiment grand chose à acheter, mais il n'avait pas encore envie de rentrer alors il continua d'observer les étales sans réellement s'y intéresser. Vraiment, c'était une bonne journée où n'importe qui aurait envie de profiter du soleil et de l'air extérieur si bon, si pur, si frais.
Revenir en haut Aller en bas
Invité

Invité
avatar

Faute avouée : à moitié pardonnée [Amaranthe] Empty
MessageSujet: Re: Faute avouée : à moitié pardonnée [Amaranthe]   Faute avouée : à moitié pardonnée [Amaranthe] EmptyJeu 18 Fév 2016 - 17:09


       
Tu ignores peut-être jusqu'à mon nom, mais j'ai longtemps chéri le tien. Si mes pas ne font pas de bruit dans la nuit, j'aurais aimé en faire plus, pour que tu me remarques. Mais à présent, j'en suis une autre, et mes étoiles sont d'étouffantes sphères brûlantes dans ma voûte stellaire. Est-ce que toi aussi tu entends leurs collisions ?  Bilbo & Amaranthe
       

       
FAUTE AVOUÉE A MOITIÉ PARDONNÉE

       


Mère n'y connaît rien, franchement, me traiter comme ça devant le boulanger, non mais je vous jure ! maugréa Amarante en donnant un coup de pied dans un caillou, tout en remontant le sentier jusqu'à chez elle. Habillée comme à son habitude d'une robe longue, d'un pantalon en dessous, de grandes bottes et d'un corset, elle semblait un mélange entre une hobbit de bonne famille et la chasseuse qu'elle était vraiment. Pourtant, elle restait coquette, et sa longue chevelure brune était picorée de quelques fleurs de saison, dérobée à la boutique de ses parents. Ama détestait sa génitrice, bien plus que son paternel. Elle ne cessait de chercher à la marier un peu avec tout les hobbits qui passaient, de peur que sa fille ne finisse vieille fille. Depuis peu, sa mère insistait pour que Ama se laisse courtiser par Archibald. Mais ce n'était pas comme si son ami désirait réellement la courtiser - peut-être finiraient-ils par faire semblant, histoire qu'on cesse de les embêter avec ça ?

Entrant d'un pas tonitruant dans sa maison, elle se dirigea tout de suite vers sa chambre, ouvrit les fenêtres pour sentir le vent et les odeurs naturelles, et s'allongea par terre sur son tapis épais. Elle aimait paresser au soleil. Puis son regard tomba sur un petit bijou et le rouge la prit aux joues. Ce n'était pas l'un des siens, mais un objet volé à Bilbo. Bilbo, celui qu'elle avait longtemps épié étant petite. Elle l'avait aimé, puis s'était ravisée. Un amour d'enfant. Pourtant, ce vol ne datait pas - elle ne se souvenait jamais des circonstances. Mais sous son lit se trouvaient bien des affaires qui n'étaient pas à elle, à la base ...

Flûte j'avais totalement oublié ... Bon, je crois qu'il est temps de le lui rendre murmura t-elle, d'un air penaud. Mais avant de partir, le collier dans la main, elle retira une feuille de ses cheveux et remit en place sa robe. Non pas qu'elle ressente encore quoi que ce soit envers Bilbo, mais sa mère la tançait déjà tellement pour son allure négligée, parfois ... Amaranthe sortit donc de chez elle, tenant dans son poing fermé le collier en argent. Elle ne l'avait jamais porté, n'aurait pas osé. Elle parcourut le village, puis ses pas la menèrent au marché, et son regard repéra enfin la silhouette familière de Bilbo. Elle hésita dix bonnes minutes, en le suivant à quelques mètres, puis se décida enfin. Se tenant près de lui, elle posa délicatement sa main sur le bras de Bilbo après avoir toussoté pour ne pas lui faire peur.

Excusez-moi, Bilbo ? Je suis Amaranthe, nous nous sommes vus plusieurs fois ... Désolée de vous déranger, puis-je vous prendre un peu de votre temps ? Elle avait rougi et détourna le regard, gênée. C'est quelque peu embarrassant ... Pouvons-nous nous éloigner ? fit-elle en lançant un regard avec des éclairs au vendeur d'un étal, qui s'était penché, curieux. Amaranthe attirait les ennuis et les ragots : il n'était pas spécialement caché qu'il valait mieux ne pas l'inviter chez soi, et puis elle et Archibald passaient pour les excentriques du coin. Le sang de Touque, sûrement ...

       
(c) crackle bones

       
Revenir en haut Aller en bas
Invité

Invité
avatar

Faute avouée : à moitié pardonnée [Amaranthe] Empty
MessageSujet: Re: Faute avouée : à moitié pardonnée [Amaranthe]   Faute avouée : à moitié pardonnée [Amaranthe] EmptyVen 19 Fév 2016 - 14:12

Faire le marché avait quelque chose de vivifiant pour Bilbo qui vivait seul à longueur de temps. Il aimait sa solitude, qu'on ne s'y trompe pas. Ainsi il pouvait aisément réfléchir, lire, composer quelques poèmes parfois aussi, Il aimait le calme et le silence qui règnait en maître dans Cul-de-Sac, mais parfois ce silence était pesant et il lui prenait l'envie de voir du monde. Pas forcément de parler avec eux ou même de faire semblant de s'intéresser à ce qu'ils pouvaient avoir à dire, mais juste de croiser les gens, d'entendre la vie autours de lui... Puis quand il avait eut son plein de foule, il rentrait chez lui jusqu'à la prochaine fois où il se sentirait trop seul.

A cause de son enfance turbulente et de ses idées de voyage, Bilbo avait vite été catalogué d'excentrique et ne faisait donc pas partit des hobbits fréquentables. On le prenait pour un fou parce qu'il s'intéressait à ce qui pouvait bien se passer ailleurs que dans la Comtée, même si au final il n'avait jamais appris grand chose, par peur d'être vu parlant à des étrangers et qu'on l'exclu encore plus.

N'ayant plus d'achat à effectuer, il avait malgré tout continué son petit tours du marché pour observer un peu ce qui se vendait. Peut-être aurait-il soudainement envie de faire une petite folie... Il fut interrompu dans ses pensées frivoles par un léger toussottement suivit d'une légère pression sur son bras. Surpris, il se tourna pour faire face à une hobbit qu'il connaissait bien. De nom du moins.

Excusez-moi, Bilbo ? Je suis Amaranthe, nous nous sommes vus plusieurs fois ... Désolée de vous déranger, puis-je vous prendre un peu de votre temps ? C'est quelque peu embarrassant ... Pouvons-nous nous éloigner ?

- Oui je sais qui vous êtes. Confirma-t-il lorsqu'elle rougit un instant.

Elle lui demandait ensuite s'ils pouvaient s'éloigner et Bilbo compris aisément que le marchand de l'étale où il s'était arrêté comptait bien jouer les commères d'un jour en épiant leur conversation sans trop en avoir l'air. Apparemment, il n'était pas si discret que ça.

- Oh bien sur... Il observa les lieux d'un oeil rapide. Tenez, allons par là.

Il y avait, un peu plus loin vers la droite, un petit coin où personne ne venait se promener. Le Hobbit pris les devants sans attendre de voir si elle allait le suivre puis il s'arrêta à bonne distance du marché. Ainsi, la plus part des hobbits ne pourraient même pas les voir s'ils n'y prenaient pas garde et surtout, personne ne risquait de les entendre. Il ne savait pas trop ce qu'elle lui voulait, mais cela semblait être un sujet plutôt délicat.

- Alors ? Que puis-je faire pour vous ? Demanda-t-il lorsqu'ils furent isolés.

Allait-elle lui donner les explications tout de suite ou bien allait-elle exiger qu'ils s'éloignent encore plus ? Il espérait qu'il allait bientôt connaitre le fin mot de l'histoire car il était fort curieux de savoir pourquoi la jeune hobbite venait lui parler alors qu'en général, on avait plutôt tendance à l'éviter.
Revenir en haut Aller en bas
Invité

Invité
avatar

Faute avouée : à moitié pardonnée [Amaranthe] Empty
MessageSujet: Re: Faute avouée : à moitié pardonnée [Amaranthe]   Faute avouée : à moitié pardonnée [Amaranthe] EmptyVen 19 Fév 2016 - 14:34

[quote="Amaranthe Piedblanc"]

       
Tu ignores peut-être jusqu'à mon nom, mais j'ai longtemps chéri le tien. Si mes pas ne font pas de bruit dans la nuit, j'aurais aimé en faire plus, pour que tu me remarques. Mais à présent, j'en suis une autre, et mes étoiles sont d'étouffantes sphères brûlantes dans ma voûte stellaire. Est-ce que toi aussi tu entends leurs collisions ?  Bilbo & Amaranthe
       

       
FAUTE AVOUÉE A MOITIÉ PARDONNÉE

       


Bilbo semblait faire ses emplettes, et Amaranthe se sentit un instant d'autant plus coupable de l'interrompre dans ses achats que ce qu'elle allait lui annoncer lui déplairait certainement. Elle gardait dans son poing fermé le pendentif. Elle supposait qu'il avait appartenu à la mère de Bilbo, peut-être. Mais là n'était pas la question : elle devait le lui rendre, un point c'était tout. Cependant, elle fut surprise et bêtement contente de voir qu'il se souvenait d'elle. Alors, elle lui suivit calmement un peu plus loin. Coupés du brouhaha joyeux du marché, elle se sentit un peu moins nerveuse. On ne les observerait plus comme des bêtes de foire. Bilbo s'enquit de ce qu'elle voulait, et elle mit quelques minutes à dire quelque chose.

C'est délicat fit-elle d'une petite voix penaude, qu'il était inhabituel de lui entendre. Elle toussota encore et prit son courage à deux mains, pour tendre son poing gauche et ouvrir ses doigts, pour révéler le bijou d'argent. Ses joues avaient prit la couleur cramoisie la plus rouge mais elle regardait Bilbo dans les yeux. Si il devait lui en vouloir, elle voulait voir dans ses yeux la colère justifiée. Elle ne fuirait pas devant sa juste déception.

J''ai volé cela, une fois où j'étais chez vous. Je ne sais plus quand, je ne saurais même pas vous dire comment. J'ai cette manie détestable de prendre ce qui traîne chez les gens, ce qui fait de moi une bien piètre invitée. Mais là n'est pas la question. Je n'ai aucune excuse, et je comprendrais que vous m'en vouliez et refusiez à présent de m'adresser la parole. Je n'attend pas d'excuse de votre part : je voulais juste vous restituer votre bien. Ce bijou a l'air précieux pour vous ajouta t-elle d'une voix douce.

Elle soupira et se recula d'un pas, angoissée. Mais ce qu'elle faisait, c'était mieux que ce qu'elle avait jamais fait. Elle irait raconter ça à Archi : peut-être serait-il fier de son geste, ou peut-être ne comprendrait-il pas qu'elle ait besoin de voler les gens ou qu'elle ait ce besoin ensuite de leur rendre leurs biens.

Je suis réellement désolée. Je ne fais pas exprès de voler les gens. Ce n'est pas totalement volontaire. C'est instinctif. Mère me fait bien assez de remarques là-dessus ... Pardon je dis n'importe quoi. Pardonnez-moi ,Bilbo. Elle avait baissé ses grands yeux, manquant du courage de voir le visage de sa victime, finalement.

       
(c) crackle bones

       
Revenir en haut Aller en bas
Invité

Invité
avatar

Faute avouée : à moitié pardonnée [Amaranthe] Empty
MessageSujet: Re: Faute avouée : à moitié pardonnée [Amaranthe]   Faute avouée : à moitié pardonnée [Amaranthe] EmptyVen 19 Fév 2016 - 16:36

Peut importe la raison qui poussait la femme hobbit à vouloir lui parler en priver, Bilbo avait l'impression que ça n'était pas forcément pour un sujet très agréable puisqu'elle ne se décidait pas à répondre à sa question et ainsi faire cesser tout ce mystère.

Pourtant, ils s'étaient éloigné de la foule et ne seraient donc plus sujet aux commérages de veillées. Bilbo se doutait bien que c'était pour ce genre de raison qu'elle n'avait pas voulu parler en public et il le comprenait fort bien car il n'aimait pas non plus que l'on parle ainsi sur les choses qu'il avait soi-disant fait ou dites.

Voyant bien qu'Amaranthe n'était pas très à l'aise, bien qu'il n'en comprenne pas les raisons pour le moment, Bilbo lui laissa malgré tout tout le temps nécessaire pour oser prendre la parole. Ce qu'elle fit au bout de quelques minutes à peine.

C'est délicat

Certes, cela il l'avait bien compris, mais il ne voyait pas encore de quoi il retournait exactement. Se désintéressant des joues de plus en plus cramoisies de la demoiselle lorsqu'elle lui tendit le poings, de plus en plus surpris, Bilbo vit bientôt aparaître un petit bijou dans la paume d'Amaranthe. Pensant d'abord naïvement qu'elle lui offrait un bijou comme un gentillet faisant la cours à une demoiselle, Bilbo reconnu bien vite le pendentif de sa chère grand-mère Touque.

Fort heureusement pour lui, il en avait pris conscience avant de se rendre ridicule en pleine rue, mais il fut très vite confus... En effet, il venait de se rendre compte qu'il n'avait absolument pas remarqué l'absence de ce bijou jusqu'à le voir dans la main de la jeune femme. C'était un problème, un très très gros problème...

J''ai volé cela, une fois où j'étais chez vous. Je ne sais plus quand, je ne saurais même pas vous dire comment. J'ai cette manie détestable de prendre ce qui traîne chez les gens, ce qui fait de moi une bien piètre invitée. Mais là n'est pas la question. Je n'ai aucune excuse, et je comprendrais que vous m'en vouliez et refusiez à présent de m'adresser la parole. Je n'attend pas d'excuse de votre part : je voulais juste vous restituer votre bien. Ce bijou a l'air précieux pour vous

Encore muet de surprise, Bilbo eut à peine conscience d'avoir récupéré le bijou de la main d'Amaranthe, effleurant à peine sa paume du bout de ses doigts avant d'observer le pendentif de sa grand-mère. Sa maman le portait souvent quand il était petit, particulièrement lorsqu'il y avait une fête et qu'elle se faisait jolie. Cela faisait remonter tellement de vieux souvenirs... Il aurait dût être fâché de se savoir volé, mais en réalité, il se sentait plutôt nostalgique.

Je suis réellement désolée. Je ne fais pas exprès de voler les gens. Ce n'est pas totalement volontaire. C'est instinctif. Mère me fait bien assez de remarques là-dessus ... Pardon je dis n'importe quoi. Pardonnez-moi ,Bilbo.

Bilbo revint à la réalité lorsqu'Amaranthe repris la parole pour s'excuser une nouvelle fois et tenter de s'expliquer sur son geste. Mais par tous les saints, depuis combien de temps avait-elle ce bijou ? Même elle ne le savait plus, c'était que ça devait faire un sacré paquet de jours, voir même de mois ou d'années car les visites se faisaient rares à Cul-de-Sac, particulièrement depuis qu'il y vivait seul.

- Je sais que je devrai vous en vouloir... Et entendons nous bien, je ne cautionne absolument pas ce genre de comportement - le vol je veux dire - mais en fait, je m'en veux d'avantage à moi-même. Avoua-t-il finalement.

C'était idiot n'est-ce pas ? Et d'ailleurs, elle ne devait surement pas comprendre son raisonnement, alors il continua de s'expliquer.

- Je m'en veux parce que je n'avais pas remarqué que je n'avais plus ce bijou en ma possession... C'est idiot ... Rougit-il, embarrassé à son tours.

Bilbo se râcla la gorge afin de reprendre un peu de contenance et il repris.

- J'ai tellement de choses chez moi... Je dois bien admettre que je ne me souviens même plus de tout ce qui s'y trouve...

Il se passa une main dans les cheveux et il fourra le pendentif de sa grand-mère dans une poche de sa veste.

- Je suppose que vous ne vous attendiez pas à ce que je réagisse si bien... Ce serait bien dommage de se fâcher, les faits remontent si loin que vous ne vous souvenez même plus de quand ils datent... Et quant à moi, ça n'est pas comme si je m'étais fait un sang d'encre tout ce temps pour ce bijou que je ne trouvais plus...

Il était fautif aussi dans un sens, puisqu'il ne s'était même pas rendu compte qu'il lui manquait.

- N'en parlons plus...

Il regarda rapidement autours de lui avant de proposer à tout hasard.

- Prendriez vous un verre en ma compagnie ? Au dragon vert par exemple ?

A moins qu'elle ne veuille pas être vue en sa compagnie, ce qu'il comprendrait dans un certain sens puisque peu de hobbit désiraient que ça soit le cas malheureusement.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé


Faute avouée : à moitié pardonnée [Amaranthe] Empty
MessageSujet: Re: Faute avouée : à moitié pardonnée [Amaranthe]   Faute avouée : à moitié pardonnée [Amaranthe] Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Faute avouée : à moitié pardonnée [Amaranthe]
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Bilbo - Je ne connais pas la moitié d'entre vous autant que je le voudrais et je n'aime moins la moitié d'entre vous à moitié moins que vous ne le méritez!
» C'est pas ma faute...[Feat. Elinà][Terminé]
» Amaranthe Piedblanc [fiche validée]
» Amaranthe Piedblanc ▬ fiche validée

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
☁ Lonely Mountain :: détente des Hobbits :: Cimetière :: RPs-
Sauter vers:  
hobbit rpg hobbit nains hobbit nains lotr sda hobbit nains lotr sda hobbit nains hobbit nains hobbit rpg hobbit rpg hobbit rpg hobbit rpg tolkien hobbit rpg hobbit rpg
© Lonely Mountain 2016 ♦ Le forum appartient à l'intégralité de son Staff. Design et codage by Dwalin et Kili, bannière de LRG, avec des éléments de Dark Paradize et Neil. Sources de codes trouvées sur des plateformes d'aide de codage, notamment Never-Utopia. Remerciements à tous ceux qui ont soutenu le forum et à vous, nos membres, d'être chez nous et de faire perdurer l'aventure. Nous vous aimons très fort, bande de wargs mal lavés ! ▬ Le Staff.