Faeryl + ashes to ashes

NOM&PRÉNOM ▬ Faeryl, seulement Faeryl. SURNOM ▬ Aucun à sa connaissance. ÂGE ▬ Elle a l'air bien jeune pour son âge mais elle a vu le jour il y a 2308 printemps pour être exact. PROFESSION ▬ Un métier est un bien trop grand mot, elle laisse ses oreilles écoutaient un peu partout et ne parle que quand cela est nécessaire. PATRIE, RACE ▬ Elfe, les plus sages et les plus nobles de tous les êtres  SITUATION AMOUREUSE ▬ Célibataire, son coeur n'a jamais été pris depuis 2308 ans, sa tête étant toujours privilégiée RANG SOCIAL ▬ Aisé, bien qu'elle trouve ces notions de richesse trop humaines pour elleLIEU DE NAISSANCE ▬ Fondcombe. POUVOIRS ▬ Aucun, elle n'a que sa rhétorique pour seule arme et sortilège. DE QUEL COTÉ IL EST ▬ Du côté où l'on observe, où l'on voit le temps passé, inlassablementGROUPE SOUHAITÉ ▬ Elfes.

VOTRE PHYSIONOMIE ▬ Faeryl a plutôt une petite taille pour elfe, elle est légèrement en dessous de la moyenne de ses congénères mais elle n'en reste pas moins svelte, possédant toutes les caractéristiques connus des elfes. La peau blanche, de longs cheveux ondulés, Faeryl s'est toujours considérée comme étant une elfe moyenne. N'ayant rien de plus rien de moins physiquement.
VOTRE STYLE VESTIMENTAIRE ▬ Des robes, une femme elfe ne peut pas prétendre à porter autre chose que de longues robes. Mais il faut avouer que Faeryl n'est pas du style à porter de longues manches ou ce genre de chose, il n'est pas rare de la voir bras nus dans les rues de la ville elfique ou même avec une robe quelque peu échancrée. Peu importe ce qu'elle porte à ses yeux, ce ne sont que des vêtements.
VOS PARTICULARITÉS ▬ Aucune particularité ne s'est manifestée depuis deux millénaires.
VOTRE CARACTÈRE ▬ Observatrice. C'est ce qui définie le mieux Faeryl dans un premier temps. Très peu bavarde, elle laisse ses yeux et ses oreilles se baladaient un peu partout, écoutant et observant tout ce qui l'entoure. Elle fait partie de ces personnes qui préfèrent voir comment évoluent les choses plutôt que d'essayer de les changer à tout prix. De son observation, Faeryl est une personne plutôt silencieuse, que l'on ne remarque pas tout de suite dans une assemblée mais quand elle prend la parole, ce n'est jamais à tord et à travers. Aussi cassante que percutante. Toutefois même si elle sait utiliser les mots comme une arme, elle a certaine diplomatie innée, sachant très bien brosser un dragon dans le sens des écailles. Ce qui est plutôt pratique lors de conflit, surtout avec les heures sombres qui se préparent. La jeune femme est également assez curieuse du monde qui l'entoure et surtout de la Terre du Milieu.
CE QUE VOUS AIMEZ ▬ Aussi contradictoire que cela puisse paraitre, Faeryl adore la musique mais est aussi une grande admirative du silence. Un moment de solitude paisible dont l'elfe profite à chaque à chaque fois qu'elle le peut. Faeryl adore le vent et l'automne. Ces feuilles qui deviennent d'un rouge intense, recouvrant les abords de Fondcombe et tombant sans un bruit. C'est tellement magnifique qu'elle en reste des heures à regarder le temps passé.
CE QUE VOUS DÉTESTEZ ▬ Faeryl déteste la chasse, l'idée même de tuer un autre être vivant la répugne au plus haut point. Chaque chose a sa place bien définie dans ce monde et la ôter est un crime à ses yeux. Elle n'apprécie que très moyennement les mensonges et ceux qui posent trop de question. Elle ne parle jamais pour ne rien dire et aime quand ses interlocuteurs font de même.
VOUS AIMEZ FAIRE LA FÊTE, BOIRE, MANGER ▬ Pas réellement. Faeryl n'est pas une férue de la table. Elle n'aime que très peu de chose et il est très rare de la voir boire de l'alcool. Une seule coupe de vin lui suffit, ne trouvant pas de plaisir à en boire d'autre.
PROFITEUR OU DÉBROUILLARD ▬ Cela dépend avec qui. La rhétorique est sa seule arme valable pour s'en sortir dans ce monde. Et qui dit rhétorique, dit bon usage des mots, des intonations. En soi c'est presque une forme de manipulation, bien qu'elle ne pense pas être plus manipulatrice qu'un autre.
SUR QUI POUVEZ VOUS COMPTER EN CAS DE PROBLÈME ▬ Sur elle même principalement. Elle compte surtout sur sa capacité à ne pas chercher les problèmes et sur son sourire innocent pour s'en sortir.
COMMENT RÉAGISSEZ-VOUS FACE AU DANGER ▬ Faeryl n'a malheureusement pas la carrure pour se battre et n'en a jamais eu envie. Même si comme tout elfe, elle a apprit à maitriser l'art du combat à l'épée , elle n'est pas friande de duels ou autres combats du même genre.
UN SECRET QUE VOUS GARDEZ ▬ Si elle en avait un, vous pensez vraiment qu'elle va aller vous le dire? C'est beau de rêver...
QU'EST-CE QUI VOUS FAIT HONTE ▬ Ce qui lui fait honte… Elle se détache tellement de ce qui l'entoure qu'elle n'est pas sure d'avoir eu vraiment honte un jour...
AVEZ VOUS DES PASSIONS DANS LA VIE ▬ Très proche de la nature, Faeryl adore se balader en forêt mais surtout elle aime plus que tout la compagnie des animaux et de son cheval. Pas besoin de se parler pour se comprendre, un regard, un geste suffit pour une harmonie parfaite, idyllique.
AVEZ-VOUS UN BUT DANS LA VIE ▬ L'avantage d'avoir l'éternité devant soi c'est que l'on a pas besoin de se fixer des objectifs et d'avoir une raison de vivre sur cette terre. Il suffit d'attendre et de contempler.
QUEL TYPE D'ARME AVEZ-VOUS ▬ Les mots, aussi doux d'une rose et blessant qu'une épée aiguisée.
QUELLE EST VOTRE PEUR ▬ Il faut bien avouer que Faeryl ne raffole pas des hauteurs, cette sensation d'être aspirée vers le bas ne l'enchante guère. Et ne lui jamais plu.

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VOUS ET LA TERRE DU MILIEU ▬ Les heures sombres approchent. Elle n'a pas de don de voyance mais de ce qu'elle entend et du peu qu'elle a vu, Faeryl voit l'ombre s'abattre sur la Terre du Milieu. Pour le moment, le Mordor est encore loin, très loin. Mais les ténèbres se propagent toujours bien plus vite que la lumière. L'elfe ne peut pas faire grand chose contre cela, elle n'est pas un chef de guerre. Elle a toujours tout observé, elle ne s'imagine pas faire autre chose. Elle ne se voit pas prendre un arc et aller tuer elle même les orcs. Et pas parce qu'elle est simplement une femme. Tout ce qu'elle peut encore faire, c'est essayé de faire comprendre ce que cette guerre pourrait entraîner, même pour son peuple qui s'est toujours cru en sécurité. Et renfermer les frontières ne servira surement pas à grand chose... Qui sait ce que l'avenir réserve...

Le vent s'était levé sur Fondcombe. L'automne s'était installé, rougissant les feuilles des arbres, les faisant tournoyer dans une danse silencieuse. La nuit était tombée, une rivière d'étoiles ondulait dans le ciel. "Faeryl !" Un elfe arpentait sa maison dans tous les sens à la recherche de sa fille. Anar trouva enfin la jeune elfe, accoudée au rebord du balcon. La tête levée vers les étoiles. Anar s'approcha d'un pas feutré et s'installa aux côtés de sa fille, qui n'avait pas sursauté  un seul instant. "Que regardes tu?!" La brise faisait virevolter les longues mèches de la jeune enfant, caressant sa peau blanche immaculée. Faeryl était bien jeune mais elle avait toujours eu cette attitude, neutre, impénétrable. Il fallut quelques instants avant qu'elle ne réponde à son père "Je regarde les étoiles" Son père observa sa fille, en souriant tandis qu'elle ne quittait pas les astres nocturnes. Il leva à son tour les yeux vers le ciel et l'elfe continua  "C'est vrai que les humains disent que les esprits des leurs sont là haut?" Anar se demanda comment sa fille pouvait savoir cela, se doutant qu'elle avait dû soit passer encore sa journée dans la bibliothèque de Fondcombe, soit elle avait écouté des conversations qu'elle n'aurait pas du entendre. Quelque soit le pourquoi, Anar se devait de répondre à sa fille mais avant qu'il n'ait eu le temps de quoique ce soit, la jeune elfe fit demi tour et commença à rentrer à l'intérieur de la maison "Les hommes ont des croyances ridicules" Anar fut surpris du franc parlé de sa fille. Elle n'était pas l'elfe la plus sage de Fondcombe mais elle était celle dont les mots étaient les plus acerbes. Tranchant comme dans les lames. Lorsque Faeryl parlait, c'était toujours parce qu'elle avait un raisonnement derrière la tête. Elle ne parlait jamais pour le plaisir, malgré son jeune âge pour une elfe. Alors qu'ils rentraient à l'intérieur, Faeryl continua "Les âmes ne peuvent pas s'échapper et aller briller dans le ciel. C'est impossible. Les hommes sont si désespérés qu'ils croient à ces histoires?" Faeryl s'était retournée vers son père pour essayer de comprendre, elle était persuadée que son raisonnement était le bon mais son père, en tant que conseiller du seigneur Elrond, devait sûrement avoir déjà discuté avec des humains. Etaient ils ces créatures frêles et fragiles qu'elle imaginait? Les elfes avaient eu ce don d'être immortels, leurs esprits ne quittant jamais cette terre. Tout le contraire de tout être vivant sur la Terre du Milieu. Peut être avaient ils besoin de se rassurer, d'espérer quelque chose pour atténuer leurs souffrances dans cette vie. Faeryl se trouvait tout de même chanceuse d'être une elfe et de ne pas avoir à se soucier de donner un sens à une vie aussi courte. Bien qu'elle soit encore jeune pour une elfe, elle était déjà plus vieille qu'un homme, aucun homme ne pourrait atteindre son âge actuelle. Et l'écart ne serait que de se creuser désormais. Son père lui expliqua alors les avantages de ce genre de vie, Alors que tout semblait être fade pour eux, les hommes voyaient les choses différemment, car ils étaient mortels. Que leur heure était comptée et qu'ils devaient en profiter avant de redevenir poussière. Toutefois Faeryl restait perplexe, ne comprenant pourquoi il fallait s'en réjouir et que cela pouvait faire parti des bons côtés. "Au fil des siècles, tu comprendras" C'était la seule réponse de son père. Faeryl alla donc se coucher, trouvant la réponse peu satisfaisante mais elle n'avait pas d'autres choix.

Mais le comportement de Faeryl, semblant distante, n'était pas quelque chose de nouveau. Aussi loin que sa mémoire pouvait remonter, elle se souvenait d'avoir toujours préféré être discrète, ne pas se faire remarquer et juste observer et en tirer des conclusions. La totale opposée de son grand frère, Lómion. Lui, il était le soleil. Souriant et proche des autres, il était ami avec quasiment tous les enfants elfes de Fondcombe, tout le contraire de Faeryl. Quand Lómion allait jouer, sa soeur restait au pied d'un arbre à lire ou a observé ce qui se passait. Ces enfants étaient vraiment le jour et la nuit, ils n'avaient en apparence rien en commun et pourtant ils avaient toujours été très proches, presque fusionnels. Ils se comprenaient sans avoir besoin de se parler. Sans jugement aucun. Personne ne comprenait vraiment comment c'était possible mais ils étaient ainsi. Et Faeryl pensait que rien ne changerait, jusqu'à la fin des temps.

Ici se trouvera ton histoire. Tu peux la séparer en plusieurs parties si tu le souhaite, ce serait plus facile ainsi de se repérer, et d'aérer le tout. Pour les personnages prédéfinis, il est conseillé de ressasser les grands traits de leur vie et non qu'une seule période. Il faut partir de l'enfance puis remonter lentement jusqu'à l'instant présent. Le nombre de lignes minimum est de quarante pour un personnage inventé, et de cinquante pour un prédéfinis. Je te souhaite du courage pour le reste, en espérant que tu t'en sortes tout aussi bien que la première partie. Si tu as des questions, n'hésite pas à nous MPotter, nous, le staff. Bonne continuation.

Ici se trouvera ton histoire. Tu peux la séparer en plusieurs parties si tu le souhaite, ce serait plus facile ainsi de se repérer, et d'aérer le tout. Pour les personnages prédéfinis, il est conseillé de ressasser les grands traits de leur vie et non qu'une seule période. Il faut partir de l'enfance puis remonter lentement jusqu'à l'instant présent. Le nombre de lignes minimum est de quarante pour un personnage inventé, et de cinquante pour un prédéfinis. Je te souhaite du courage pour le reste, en espérant que tu t'en sortes tout aussi bien que la première partie. Si tu as des questions, n'hésite pas à nous MPotter, nous, le staff. Bonne continuation.