Lothariel

NOM&PRÉNOM ▬ Lothariel Hood. Lothariel des Bois. SURNOM ▬ L'Elfe Blanc. ÂGE ▬ 4000. PATRIE, RACE ▬ Elfe de Mirkwood, Sindar   LIEU DE NAISSANCE ▬ Mirkwood. RANG SOCIAL ▬ Aisé PROFESSION ▬ Guérisseuse, voyageuse, chasseuse.  SITUATION AMOUREUSE ▬ Célibataire. POUVOIRS ▬ aucun, sauf si c'est souffler des bougies ?    DE QUEL COTÉ IL EST ▬ Des gentils. GROUPE SOUHAITÉ ▬ Elfe.

VOTRE PHYSIONOMIE ▬ De toute sa grandeur, Lothariel avait la peau laiteuse ainsi que les yeux presque aussi blanc que ses longs cheveux qui tombaient le long de son dos. Cette femme était extrêmement fine, avec des petites formes ni trop petites, ni trop grande. Ses doigts étaient si fins que l'on oserait point lui serrer la main. Lorsqu'on l'apercevait, on pouvait y remarquer une allure fantomatique, voir effrayant, presque intimidant. Son visage était si fin, sans défauts, et bien sûr, son sourire était l'un des plus radieux de la Terre du Milieu. Elle ressemblait plus à sa mère physiquement qu'à son père.
Quand elle n'était encore qu'une enfant elfe, elle était de petite taille. Toujours avec la peau laiteuse, ainsi que les yeux et les cheveux blancs, ce qui à l'époque, la rendait adorable, tellement qu'on aurait put passer énormément de temps à lui pincer les joues.
Elle a toujours une voix douce et posée, mais quand elle était petite, c'était un peu plus brusque qu'elle ne l'aurait voulu.
VOTRE STYLE VESTIMENTAIRE ▬ Le plus souvent cachée sous une grande cape à capuche de couleur belge clair, c'est ainsi que Lothariel se vêtit lorsqu'elle décide de voyager, toujours seule. Sinon, quand elle n'a pas ce vêtement là, elle porte une robe soit de couleur blanche, soit grise. Mais si elle devait de préparer à se battre ou tout simplement partir à la chasse, la blonde se vêtit ni trop lourdement, ni trop léger, pour pouvoir chasser. Là, revient toujours les mêmes couleurs.
Dans son enfance, c'était toujours sa mère qui lui tricotait des vêtements, dont les gants qu'elle portait toujours étant enfant. Aujourd'hui, elles se les partagent, ou bien, c'était Lothariel qui se le confectionnait d'elle même.
VOS PARTICULARITÉS ▬ Suite à un petit accident maladroit lorsque de son enfance, en tombant des escaliers, sa mère n'avait pas eut le temps de la rattrapé qu'elle s'était déjà "sectionné" un tendon à l'épaule. Donc pour se battre ou faire des mouvements brusques, elle ne pourra pas utiliser son bras gauche sans avoir mal. Elle ne pourrait pas non plus lever son bras plus haut que son épaule. Et cela la rendait plus maladroite qu'elle ne l'était déjà. Bien que la douleur se faisait de moins en moins présente, elle n'arrivait toujours pas à lever plus haut. Elle aurait voulu pouvoir apprendre à manier l'arc, elle avait déjà essayée, mais en tirant la corde, elle avait sentit une douleur pas possible dans son épaule et du donc abandonner.
VOTRE CARACTÈRE ▬ Aux premiers abords, Lothariel est une femme douce, à l'air sympathique et digne de confiance. Il vrai qu'elle que ces trois mots lui allaient bien, uniquement lorsque la personne qui l'accompagne ne lui face pas des coups dans le dos ou ne soit pas un nain. Elle peut être indulgente envers les humains, les hobbits, mais elle mettrait énormément de temps à s'y faire aux nains. Très rancunière, elle pourrait se venger de vous en vous faisant les pires coups bas qu'elle aurait en réserve et cela, au moment où vous ne vous y attendrez le moins même si elle reste du côté des gentils. Quoique après vous avoir fait un coup bas, elle sentirait de la culpabilité se qui la rongerait intérieurement en se disant qu'elle n'aurait pas du faire ça.
L'Elfe n'est pas du genre à rester sur place, voyageant le plus souvent même si sa présence était le plus souvent indispensable à Mirkwood, elle se prévoyait toujours quelqu'un pour la remplacer. Elle a toujours été maladroite depuis sa plus tendre enfance, tenant surement cela du fait que sa mère était trop maman poule avec sa fille et qu'elle lui avait apprit à marcher très tard. Elle est à la fois peureuse et courageuse, faisant toujours face à ses peurs sans reculer quand elle le doit. Le plus important chez elle, c'était sa curiosité, toujours à vouloir en savoir et en découvrir d'avantage qu'elle ne sait déjà, et même d'approfondir ses connaissances. Et le plus souvent, sa curiosité la menait au mauvais endroit, au mauvais moment. Ou bien beaucoup trop loin quand à l'autre bout de la Terre du Milieu, ont aurait besoin d'elle.
CE QUE VOUS AIMEZ ▬ Comme certains, voir beaucoup, la blonde apprécie particulièrement les moments de liberté qu'il lui sont accordés, ainsi que le repos. Elle aime découvrir des choses anciennes comme nouvelles, écouter les commérages pour en apprendre plus sur ce qu'il se passait dans les alentours pour s'y rendre par simple curiosité.
VOUS AIMEZ FAIRE LA FÊTE, BOIRE, MANGER ▬ Les fêtes permettent de se détendre, et bien sûr, Lothariel n'a nullement l'intention d'en louper une qui s'y déroule dans le coin où elle rôde. Elle pourrait manger des tonnes de nourritures, mais ne boirait qu'un seul ou deux verres d'alcool en sachant qu'elle ne resterait pas longtemps au même endroit.
AVEZ VOUS DES PASSIONS DANS LA VIE ▬ En creusant bien plus au fond de Lothariel, l'ont pouvait bien vite apprendre le fait que sa plus grande passion était la découverte, voyageant dans la Terre du Milieu, concoctant de nouveau remède pour y découvrir l'efficacité.
AVEZ-VOUS UN BUT DANS LA VIE ▬ Avoir un but, c'est avoir de l'ambition. Elle a beau voyager pour découvrir encore et encore, elle n'aura pour le moment aucun ambition.
CE QUE VOUS DÉTESTEZ ▬ Les Nains, et les créatures malfaisantes comme les Orques, les Dragons, les Gobelins, et vous connaissez certainement la suite.
PROFITEUR OU DÉBROUILLARD ▬ Si Lothariel était une profiteuse, alors Smaug serait un pingouin. « Non, mais, c'est quoi cette question ? » Et oui, vous venez de vexer Lothariel. Si vous voulez savoir, après toutes ses années -ou plutôt, siècles- de voyages où elle ne restait jamais sur place, elle était bel et bien débrouillarde.
SUR QUI POUVEZ VOUS COMPTER EN CAS DE PROBLÈME ▬ L'elfe ne peut compte que sur elle-même lorsqu'elle voyage. Rare sont les fois où elle est à Mirkwood.
COMMENT RÉAGISSEZ-VOUS FACE AU DANGER ▬ En situation de danger, la blonde ne fuirait jamais, même si elle était face à ses deux plus grandes phobies : le Feu et les Araignées. Si elle doit se battre, alors elle se battra au risque de sa propre vie.
UN SECRET QUE VOUS GARDEZ ▬ Si je vous le disais, alors Lothariel n'aurait plus de secrets pour vous.
QU'EST-CE QUI VOUS FAIT HONTE ▬ Ce qui lui a toujours fait honte, c'était le fait qu'elle soit aussi maladroite d'un pied, d'où le fait qu'elle s'était sectionné un tendon étant petite.
QUEL TYPE D'ARME AVEZ-VOUS ▬ Elle porte sur elle de nombreux couteaux de chasses, ainsi que des plantes empoisonnés en cas d'attaques.
QUELLE EST VOTRE PEUR ▬ Lothariel a peur du Feu et des Araignées. Et il s'agit bien évidemment d'une phobie.

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VOUS ET LA TERRE DU MILIEU ▬ Si Lothariel vous dit qu'elle se fiche totalement du sort d'Erebor ainsi que des autres races différentes à la sienne, vous devrez la croire. Mais lorsqu'il s'agit de Mirkwood et de la Forêt Noire envahie par des araignées, c'est avec le sang glacée et la peau frissonnant de terreur rien qu'à penser aux bestioles qu'elle vous dirait qu'elle ferait n'importe quoi pour stopper tout ça. Mais Malheureusement pour la blonde, elle se trouve en se moment loin du royaume d'où elle a vu le jour. Mais sachez qu'elle est en route, lentement mais surement, pour rentrer de se joindre aux siens comme autrefois.

En 2382 du second âge, dans la forêt entourant le palais de Mirkwood vint au monde une elfe Sindar au nom de Lothariel, fille de Stahma une simple guérisseuse et de Denethor un soldat servant loyalement l'Elvenking. Sa mère étant très maman poule et se séparant que très peu de sa fille, cette dernière l'avait toujours portée dans ses bras et lui avait apprit à marcher plus tard que prévue, ce qui avait rendu l'Elfe des bois extrêmement maladroite pour toujours. Et bien sûr, être maladroite comme elle était n'avait pas épargné son bras lorsqu'elle trébuchait des escaliers en voulant rejoindre les autres enfants de son âge, se sectionnant par la même occasion l'épaule, lui donnait un handicape léger sur celle de gauche. Elle ne pouvait pas lever son bras plus haut que son épaule sans en souffrir. Tout comme sa mère, l'elfe avait la peau laiteuse et aussi blanche que la couleur de ses cheveux, il en valait de même pour la couleur de ses cheveux, plus clairs que ceux des autres de son peuple. L'allure fantomatique qui ressortait de chez elle à cette époque la rendait adorable, tandis que sa mère avait l'air terrifiante et intimidante. En grandissant, elle restait le plus souvent aux côtés de sa mère, cette dernière lui apprenant tout ce qu'il fallait savoir et pratiquer pour être une guérisseuse. A longueur de journée elle lui parlait des plantes soignantes et celles qui empoissonnaient pour qu'elle ne se trompe pas, l'emmenant le plus souvent avec elle en forêt pour cueillir. Et cela pendant sa puberté et encore des années après. Elle finit par elle même devenir une guérisseuse, commençant petit à petit à être indépendante de sa mère.

Entre 3429-3441, Lothariel et sa mère étaient obligées de rester à Mirkwood avec les autres femmes et les enfants pendant que les soldats qui accompagnaient l'Elvenking, avec lesquels son père Denethor partait, partirent pour la guerre de la Dernière Alliance où ils avaient put vaincre Sauron. Mais d'après les rumeurs qui avaient courut jusqu'aux oreilles de l'Elfe Blanc, elle avait entendu parlé qu'Isildur, celui qui aurait put détruire l'Anneau Unique s'était dégonflé au dernier moment et l'avait gardé. Et c'est ainsi que s'était terminé le second âge, car deux ans plus tard, dans l'année 2 du troisième âge, on entendit parlé de la mort d'Isildur et de la perte de l'Anneau dans les eaux de l'Anduin.

Avec le retour des soldats ainsi que de son père, les guérisseurs et guérisseuses s'étaient empressés de s'occuper des blessés. Quelques temps plus tard, Lothariel avait demander à Denethor de l'emmener chasser, parce qu'elle désirait se débrouiller seule, désirant depuis si longtemps de voyager et découvrir plus que ce qu'elle connaissait déjà. Ce fut donc ce dernier qui lui offrit ses nombreux couteaux de chasses, partant souvent avec sa fille pour l'initié malgré le fait qu'elle soit maladroite. Au cours du temps, elle put apprendre à chasser avec sa maladresse, visant à la base à côté de l'animal en sachant qu'elle trébuchait et finirait par viser là où il faut, et après, elle avait vraiment trouvée la technique.  Elle continuait encore plusieurs années avant de commencer à voyager à partir de 1050 du second âge où par la même occasion, elle était passée devant Dol Guldur où elle avait sentie une atmosphère étrange et terrifiante. Après cela, elle s'était empressée de continuer sa route en ignorant pour le moment qu'elle venait de passer devant une futur menace bien importante.

Des siècles passaient depuis que Lothariel s'était mise en tête de découvrir les autres endroits de la Terre du Milieu et aussi rencontrer les autres créatures tel les nains quand son peuple et ces derniers étaient encore alliés. Elle put aussi faire la connaissance des humains et des petites choses que l'on appelait "Hobbit", des semi-hommes. Au début, elle faisait confiance à tout le monde, elle était extrêmement naïve, calme et trop sympathique avec les autres. Et cela jusqu'au jour où elle fut trahie, et étant rancunière, elle n'avait pas hésité à se venger par des coups bas. Que s'était-il donc passé ? Elle avait acceptée de voyager avec deux hommes et une femme en qui elle avait offert une confiance aveugle au bout de trois années à errer avec eux. C'était lorsqu'ils étaient passés dans une grotte où se trouvait une araignée qu'ils l'avaient laissés tombé. Elle était face à l'une de ses plus grande phobie, l'Araignée. Avec ses couteaux de chasses, sa maladresse et son handicape, elle avait eut énormément de mal à se débarrasser de la bestiole et avait finalement réussit à prendre la fuite. Quelques jours plus tard, elle avait suivit les traces de ses trois "alliées", les ayant trouvée dans un taverne avant de leur envoyer des assassins qu'elle payait après qu'ils aient fait leur travail. Elle se sentait mal pour ce qu'elle avait fait, mais c'était bien fait pour eux, ils n'avait pas le droit de la trahir. Oh non au grand jamais. Et quand d'autres personnes osaient la trahir, elle trouvait une vengeance, tout en s'en voulant toujours après leur avoir fait du mal. Et à chaque fois, elle se posait les mêmes questions : est-ce qu'elle avait vraiment bien fait ? Était-ce vraiment important de se venger ? Souvent suivit de culpabilité.

En 2460, trois ans avant que Sméagol découvre l'Anneau Unique qu'il aurait trouvé plus tard, Lothariel s'était liée d'amitié avec ce dernier ainsi qu'avec Déagol. Elle y était restée une année à être hébergée par la Matriarche de ce dernier avant de devoir, à regret, partir à nouveau pour continuer son voyage et en découvrir plus qu'elle ne le savait déjà. Bien évidemment, ses deux amis lui manquaient énormément. Ce fut donc sept ans plus tard, en 2468 qu'elle fut de retour pour les revoir, découvrant que Déagol avait été retrouvé mort et que Sméagol était porté disparut. Lothariel était partie quelques temps à sa recherche, mais en vain. Ce pourquoi elle du continuer à voyager, se disant qu'il était soit mort lui aussi, où bien qu'elle le reverrait un jour.

En 2770, pendant que les nains se faisaient chasser d'Erebor par le dragon Smaug, l'Elfe blanc était plus loin encore comme d'habitude. Et quelques temps plus tard, elle était rentrée pour quelques semaines à Mirkwood, entendant de sa mère ce qu'avaient refuser les nains de rendre aux elfes et la haine qui s'était désormais mise entre eux. Elle en profitait pour passer du temps avec sa mère, et aussi d'aller chasser avec son père pendant le séjour qu'elle avait décidée de limiter avant de repartir à nouveau voyager dans les Terres du Milieu. Car sachez le, même si on voyageait longtemps et une seule fois, l'ont en apprenait jamais assez. La voila donc qui continuait ses voyages, se reposant dans divers endroit pendant deux ou trois jours, voir quelques fois sept jours, ou un an si elle s'y plait.