Fenella Kentigern

NOM&PRÉNOM ▬ Fenella Kentigern. SURNOM ▬ A vous de lui en trouver un ! ÂGE ▬ 23 ans. PATRIE, RACE ▬ Semi-Maia.   LIEU DE NAISSANCE ▬ Née à Minas Tirith. RANG SOCIAL ▬ Aisé. PROFESSION ▬ Guérisseuse.  SITUATION AMOUREUSE ▬ Célibataire. POUVOIRS ▬ Guérison.     DE QUEL COTÉ IL EST ▬ Elle est bien du côté des gentils. GROUPE SOUHAITÉ ▬ Autres.

VOTRE PHYSIONOMIE ▬ A cet instant précis, se trouvait en face de vous, une belle jeune femme à la longue chevelure mouillée, qui semblait s'être baignée un peu plus tôt. Elle avait de longs cheveux châtains clairs, légèrement ondulés, qui descendaient le long de son dos jusqu'en bas de ce dernier. Elle vous observait de son regard bleuté innocent et profond, ce sourire fin qui illuminait son si beau visage pourtant si pâle. Était-elle malade pour être aussi blanche ? Non, elle était en parfaite santé mais n'arrivait pas à prendre le soleil. Elle s'était mise à pencher la tête avec curiosité, vous observant un peu plus attentivement, tout en dévoilant sa tâche de naissance. C'était l'un de ses tics lorsqu'elle se questionnait. Elle était peut être plus grande que vous, ou bien plus petite, sa taille était normal.
VOTRE STYLE VESTIMENTAIRE ▬ Elle portait de temps en temps les vêtements pauvres, de servantes, que sa mère lui avait laissé pour lorsqu'elle serait plus grande, afin qu'elle n'oublie pas d'où elle était née et surtout, qu'elle n'oublie jamais qui était sa mère et d'où elle était née. Le plus souvent, elle portait des vêtements aisé. Elle ne se séparait jamais de sa fameuse cape de couleur orange qu'elle adorait. Non seulement elle représentait ce qu'elle était, en plus, elle était de la même couleur que la robe de servante que portait toujours sa mère.
Elle était souvent accompagnée d'un bâton avec une pierre bien maintenu solidement sur le haut de ce dernier, brillant lorsqu'elle l'utilisait.
VOS PARTICULARITÉS ▬ A chaque fois que Fenella n'avait rien à faire, il lui arrivait souvent de s'enfuir un peu d'Imladris pour rejoindre un lac ou une rivière et de s'y baigner. La semi-Maia aimait nager depuis le jour de ses quatre ans, où sa mère lui avait apprit à nager, et donc la jeune femme savait bien nager.
VOTRE CARACTÈRE ▬ Elle était de nature plutôt lunatique. Un jour elle pouvait être adorable, souriante, aimable, généreuses ; le lendemain elle pouvait être de mauvais humeur, rancunière, grincheuse, possessive, égoïste. Elle pouvait passer de passive à super active, de lente à dynamique, de réveillée à endormie, pensive à attentive, de patiente à impatiente. On ne sait pas vraiment à quoi s'attendre avec cette dernière, elle semble mystérieuse, distante et difficile à cernée tout en étant pourtant très extravertie et allant énormément vers les autres. Si l'on pouvait compter ses nombreux traits de caractère, qualité ou défaut, nous n'en finiront jamais. Elle pouvait être impulsive et très vite s'énerver devant l'incompréhension des autres vis à vis d'elle, ne calculant pas souvent l'ampleur de ses actes et surtout le fait que très peu de personnes pouvaient réussir à vraiment la comprendre. Lorsque vous l'avez en face de vous, s'était comme si l'on vous aurait posé une question où la réponse ne pouvait se trouver. Parce que vous ne connaissez pas son histoire, Fenella préférait rester discrète, tout en laissant de très rares indices.
CE QUE VOUS AIMEZ ▬ Il y avait environ quelques mois plus tôt, Fenella avait été aperçu dans la cuisine entrain de grignoter des biscuit sec, elle adorait ce genre de gâteau, et de plus, elle était entrain de cuisiner une surprise pour les elfes se demandant bien si ils allaient apprécier ce repas. La jeune femme aimait beaucoup faire plaisir aux autres, c'était un tic dont elle avait besoin pour illuminer ses journées.
VOUS AIMEZ FAIRE LA FÊTE, BOIRE, MANGER ▬ Elle n'a jamais été vraiment trop fêtarde, et n'avait jamais touchée à l'alcool, évitant le plus possible comme la peste les tavernes et les auberges. Mais pour ce qui était de la nourriture, elle était vraiment très gourmande et il était inévitable qu'elle vienne piquer quelque chose sans trop en abuser.
AVEZ VOUS DES PASSIONS DANS LA VIE ▬ La nage, elle avait toujours adoré depuis son enfance, et elle ne s'en lassait jamais, devenant une grande passion, un moyen de s'évader un peu du monde dans lequel elle était, de profité des moments de solitudes et de libre pour se détendre un peu dans l'eau. On pouvait bel et bien conclure qu'il s'agissait de son élément.
AVEZ-VOUS UN BUT DANS LA VIE ▬ Un but ? Tout le monde en a, s'en ait certain. Pour Fenella, elle ne sait pas vraiment si son objectif est vraiment un but. Vouloir trouver son père est-il un but ? Si oui, alors c'est bien celui là.
CE QUE VOUS DÉTESTEZ ▬ Elle déteste par dessus tout manger du poisson, ces derniers elle les aimait. Ils étaient bien trop précieux pour elle.
PROFITEUR OU DÉBROUILLARD ▬ La jeune femme était très débrouillarde, elle n'était pas du genre à profiter des autres pour avoir ce qu'elle désirait. Quoique dans son caractère, il lui arrivait de ne même pas se reconnaître elle-même.
SUR QUI POUVEZ VOUS COMPTER EN CAS DE PROBLÈME ▬ Fenella pourrait bien compter sur sa mère, mais ne l'ayant plus revu depuis ses sept ans, elle ne compte que sur sa maîtresse, ainsi que le Seigneur Elrond qui se serait occupé de son éducation dans le passé, et encore aujourd'hui.
COMMENT RÉAGISSEZ-VOUS FACE AU DANGER ▬  Lorsque la jeune femme se retrouvait en situation de danger, si elle en était capable, elle ne fuirait pas, et se battrait. Mais si elle n'a malheureusement pas le choix, elle s'enfuirait tout en veillant bien d'être suivit par les personnes qui l'accompagnaient et de ne pas les laisser seuls et en danger.
UN SECRET QUE VOUS GARDEZ ▬ La petite gourmande qu'elle est aurait piquée un peu de nourriture en toute discrétion il y a quelques temps.
QU'EST-CE QUI VOUS FAIT HONTE ▬ Il s'avère qu'elle excelle dans la cuisine, mais lorsqu'elle rate un repas, elle ressent une horrible honte qui monte en elle.
QUEL TYPE D'ARME AVEZ-VOUS ▬ Elle a toujours avec elle un bâton de pouvoir [très limité] qui lui avait été désigné depuis sa naissance, peut être fait par son père.
QUELLE EST VOTRE PEUR ▬ Chaque nuit, elle se réveille en sursaut après avoir fait le même cauchemar ; celui de rentrer à Minas Tirith et de découvrir le cadavre de sa mère.

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VOUS ET LA TERRE DU MILIEU ▬ Les rumeurs parcourant la terre du Milieu concernant les hausses de pillages et d'assassinats révélés n'avaient sans aucun doute pas échappé aux oreilles de la guérisseuse d'Imladris. La peur l'avait envahis le jour où elle en avait entendu parler pour la première fois, y comprit sur le fait que les orques pouvaient se déplacer comme ils le désiraient pour tuer des innocents sur leurs passages. Et puis ses horribles trolls qui sentaient mauvais et qui pouvaient manger n'importe quoi qui commençaient à quitter les montagnes. Il était temps qu'elle soit sur ses gardes. Même de là où elle était, elle pouvait apercevoir de loin les sombres nuages ténébreux qui s'avançait jours après jours en terre du Milieu. Fenella se demandait déjà ce qui allait se passer, et comment tout ça allait pouvoir se terminer. Ce qu'elle espérait, c'était que ce soit le bien qui l'emporte contre le mal. Elle en avait pas d'entendre parler de toutes ces morts, et si elle pouvait faire quelque chose pour aider, elle le ferait.

Il y a vingt-trois ans, à Minas Tirith, dans une chambre de servante, allongée au beau milieu de la nuit, entourée d'autres servantes ainsi que pour seul soutient sa maîtresse à ses côtés, une femme allait bientôt accoucher. L'homme qu'elle aimait et avec qui elle avait eut cet enfant n'avait pas eut le choix de s'éloigner pour leur sécurité, et bien évidemment, ce dernier ne savait sans doute pas s'il s'agirait d'une fille ou d'un garçon. Les cris résonnaient, dans la chambre, mais aussi dans les couloirs. Elle poussait encore et encore pendant des heures. De temps à autres, une autre servante lui donnait un peu d'eau avant qu'elle ne recommence à pousser, souhaitant découvrir son enfant. Des heures passaient, et vint enfin au monde une adorable petite fille qui semblait déjà ressembler énormément à son père rien que par sa façon de regarder sa mère et les femmes les entourant. Avant de lui donner le bébé, une servante l'enveloppait dans une couverture tout en regardant le sexe de l'enfant avant de lui dire « c'est une fille.. une magnifique petite fille... » avant de lui laisser l'enfant. Nolwenn avait enfin sa fille dans ses bras, la gardant près d'elle en profitant du temps qu'elle avait pour la regarder tout en réfléchissant comment pourrait-elle bien l'appeler. Il y eut un énorme blanc jusqu'à ce que finalement, elle prononça « Fenella... Fenella Kentigern... ».



Quatre ans plus tard, Fenella avait déjà commencé à avoir une éducation en tant que servante, suivant les traces de sa mère qui commençait à s'inquiéter pour la sécurité de sa fille. Non pas à Minas Tirith, mais concernant le passé de son père, dont elle n'était pas encore prête à le lui en parler. Les années semblaient passer tellement vite qu'il fallait que Nolwenn trouve rapidement un moyen de mettre sa fille en toute sécurité. Pendant leurs temps libres, la mère et la fille se rendait souvent en compagnie de quelques autres servantes dans un lac ou une rivière, tout dépendait de leur humeur, soit pour nettoyer les vêtements sales, soit pour passer un peu de temps. Dans les deux cas, elles en profitaient toujours pour apprendre à Fenella à nager depuis le jour où elles avaient toutes vue que la petite semblait adorer l'eau et vouloir jouer avec les poissons.
Plus les années avançaient, plus il fallait au plus vite l'envoyer en sécurité, ce que sa mère ne devait pas manquer de faire.
Ce fut lorsque sa fille eut l'âge de sept ans qu'elle avait contacter deux hommes dont elle avait entièrement confiance pour qu'ils l'emmènent à Imladris, dans la cité du Seigneur Elrond, là où Fenella serait en sécurité et pourrait avoir une bonne éducation. Bien évidemment, avant de la laisser s'en aller, sa mère lui offrit un bâton avec une pierre bleu en tête, lui disant enfin « ton père l'avait fabriqué pour toi avant de devoir partir, si tu le croise un jour, il saura te reconnaître... Ma fille, prends soin de toi à partir de maintenant.. ». C'était à partir de cet instant précis que la jeune semi-Maia qui ignorait encore qu'elle l'était avait prit un grand et long chemin accompagnée de deux hommes jusqu'à Fondcombe...



Lors de son arrivée pour la première fois à Fondcombe, Fenella avait vu l'un des deux hommes qui l'accompagnait glisser une lettre au Seigneur Elrond qui était venu les accueillir. C'était lui dont lui parlait souvent sa mère, un elfe, et... une personne de confiance. L'enfant ne le connaissait pas encore, elle en avait juste entendu un peu parlé de la bouche de sa mère. Et puis un nom avait été prononcé en disant qu'il s'agissait de son père, Pallando, un mage bleu qu'ils n'avaient plus revu depuis plusieurs années. Penchant la tête sur le côté en écoutant les paroles, elle avait froncée les sourcils, concentrée, et découvrant à la fois. Mais ils n'en disaient pas plus, laissant les deux hommes repartir. Ce fut à partir de ce jour qu'elle devint une protégé du Seigneur de Fondcombe, et aurait commencée à être éduquée.
Elle avait donc grandie parmi les elfes, bien qu'elle n'en soit pas une, en toute sécurité, et éduquée par ces derniers. Mais par dessus tout, adorant cuisiner, elle avait insister pour apprendre un peu plus, et pouvoir faire de bon repas aux elfes. En échange de ses leçons de cuisine, elle du apprendre la guérison avec son bâton, voir même sans. pendant plusieurs années ce fut ainsi.
Un jour, elle avait été testée pour voir si elle pouvait ramener un mort à la vie, mais rien n'avait fonctionner, et elle avait comprit que ses pouvoirs étaient très limité.



On pouvait dire que beaucoup d'elfes avaient l'habitude des nombreux changements d'humeurs chez la jeune femme qui pouvait être aimable le matin, et finir arrogante le soir. Elle tenait particulièrement ça de sa mère qu'elle n'avait plus revu depuis ces sept ans, lui envoyant tout de même de nombreuses lettres -apportées par un messager- pour être certaine qu'elle allait bien. Avec ce qu'elle entendait concernant les orques qui se déplaçaient comme bon leur semblait pour tuer et piller les villages sur leur passage, elle avait besoin de nouvelles de la femme qui l'avait mise au monde.
Un matin, elle s'était réveillée de bonne humeur, se rendant en cuisine pour préparer un bon plat avec l'aide de quelques cuisinières avant de servir les plats. Et la minute d'après, elle était de mauvaise humeur sans raison spéciale. Comme ça. Il est évident qu'une personne ne la connaissant pas et n'ayant pas l'habitude de ses sautes d'humeurs ne l'apprécierait pas. Mais très peu importait la jeune femme, qui préférait rester elle-même plutôt que d'être fausse et faire semblant d'être une fille modèle.
Elle considérait le Seigneur Elrond comme un second père, lui qui l'avait éduqué et prit soin d'elle jusque là. Bien sûr, il ne remplacerait jamais son véritable père qu'elle n'avait jamais connu. Pallando c'était ça ? Est-ce qu'un jour elle pourrait le rencontrer ? Elle n'en savait strictement rien.
Au beau milieu de la nuit, il lui arrivait de se réveiller en sursaut après avoir fait toujours le même cauchemar concernant la mort de sa mère, ce qui l'inquiétait énormément au fur et à mesure que le temps passait. Bien que récemment elle faisait de moins en moins ce rêve horrible, elle le faisait toujours et se demandait s'il ne s'agissait pas d'un rêve prémonitoire qui lui préviendrait de la futur mort de sa mère. Malheureusement, elle ne pouvait pas se déplacer seule d'Imladris à un autre endroit, à cause des danger rôdant dans la terre du Milieu.