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Enfin, je te trouve enfin - Elinà
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 Enfin, je te trouve enfin - Elinà

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MessageSujet: Enfin, je te trouve enfin - Elinà   Enfin, je te trouve enfin - Elinà EmptyDim 9 Oct 2016 - 4:45




"Enfin, je te trouve enfin."


Elinà & Dezial










Le Rohan avait littéralement complètement changé la vie de Dezial. Lui qui avait vécu sans réelles perspectives d'avenir tout le long de sa vie, si ce n'était veiller sur sa sœur. Lui qui avait vécu dans la crainte de ne rien pouvoir faire, de ne jamais devenir quelqu'un et de ne jamais faire honneur à son sang, il ne pouvait qu'être heureux. Ses aïeux avaient tous étés de grands combattants, de nobles soldats, de grands officiers de divers âges et, une légende se transmettait même au sein de leur famille, qu'un des leurs avait accompagné Isildur dans cette fameuse bataille entrée dans l'histoire, mais aussi dans la légende. De fait, avec une généalogie si prestigieuse, le natif du Gondor avait toujours espéré devenir quelqu'un d'important, lui aussi. Depuis sa tendre enfance, on lui avait conté des histoires, venant des quatre coins de la Terre du Milieu, vantant les faits d'armes exceptionnels de grands héros ayant changé l'histoire, en grande partie, par leur seule présence. C'est tout naturellement que le bambin espéra bien vite faire partie de ses grandes personnes lui aussi, un jour. Malheureusement, la vie qu'il avait suivi durant un long moment ne semblait absolument pas prendre ce chemin, à son plus grand désespoir. De part la santé fragile de sa mère, notre homme ne put que prendre les routes, faire la seule chose qu'il savait faire : se battre, pour essayer de faire quelques économies afin de l'aider. Ce n'est certainement pas en errant sur les routes, à la recherche du moindre travail que l'on devient un héros, cela, il en était parfaitement conscient. Malgré tout, l'humain gardait espoir et, cette nouvelle nation qui l'accueillit lui donna sa chance. Cela se fit malheureusement dans la douleur des plus horribles, la perte à la fois de sa mère et de son père, mais aussi la réalisation bien trop brutale de son impuissance et de sa faiblesse. Pour ne rien vous cacher, Dezial n'avait jamais pensé pouvoir se réveiller après ce jour-là. Et pourtant. Des cavaliers verts les avaient secourus, d'une mort certaine, avant qu'une elfe bienveillante ne soigne ce frère et cette sœur blessées et mourants.

Cette elfe, notre ami la chercha avec insistance pendant longtemps, très longtemps. Il eut le temps de faire ses preuves dans l'armée, devenir capitaine et même de devenir héraut pour sa nouvelle patrie. Durant chacun de ses voyages, le rescapé tentait tant bien que mal que de récolter des informations sur cette guérisseuse, dont il ne connaissait que le nom : Elinà. L'on racontait qu'elle vagabondait, pour aider le plus de personne. L'on racontait aussi qu'elle restait difficilement au même endroit, préférant continuer sa route, infatigable, pour aider ceux dans le besoin. Un grand cœur, elle en avait un, sans le moindre doute. Elle ne cherchait ni remerciement, ni récompenses, ne trouvant la plénitude que dans ces sourires et ces yeux remplis d'étoiles, lorsque son devoir était fait. L'homme avait fait tout ce qu'il lui était possible, demandant même à certains habitués de transmettre un message à cette femme, qu'il voulait la rencontrer. Mais, cela ne changea jamais rien. Sans nul doutes que cette inconnue ne souhaitait rencontrer un de ses précédents patients, uniquement pour entendre ses remerciements. Peut-être cela la gênait-elle ? Était-elle timide ? Peu à l'aise face à des gestes de gratitude ? Cela était envisageable mais, surtout, la chose n'arrangeait en rien notre cher capitaine. Peut-être aussi, tout simplement, qu'elle ne voyait pas l'intérêt de faire un déplacement, uniquement, pour permettre à un homme de la remercier. Sans nul doutes que cette femme avait bien plus important à faire.

Pour ne rien vous cacher, Dezial aurait pu abandonner, de nombreuses fois. Ce fut sa sœur, qui lui rappelait à chaque fois ce devoir qui l'incombait, même si cela devait lui prendre plus de soixante ans, il devait le faire. En effet, si Rowena pouvait sourire, vivre, être heureuse ou encore la serrer dans ses bras lorsqu'il rentrait, c'était en grande partie grâce à cette mystérieuse guérisseuse. Rien. Rien n'a jamais été plus important aux yeux du héraut que sa cadette. Sans doutes que rien ne le fut par la suite, d'ailleurs. Ainsi, dès qu'il avait une baisse de motivation, face à cette mission presque divine, il lui suffisait de retrouver la force dans son regard et son rire, pour être gonflé à bloc, une fois encore.

C'est après un peu plus de dix ans passés à la chercher, encore et encore, à questionner tous les villageois à chacun de ses passages, que le gondorien eut enfin la chance qu'il attendait depuis si longtemps. C'est sur le retour d'une de ses missions en tant que héraut, que lassé du voyagé, Dezial prit un peu de repos dans un petit village. Espérant prendre un bon repas, se reposer, pour mieux repartir. Son retour n'était au final que peu important. Si notre amis s'était déplacé à cette époque, cela ne fut que pour porter un cadeau diplomatique, rien de plus. A vrai dire, il n'y eut même pas de réponse officielle. Réponse qui arriverait sans nul doutes quelques semaines plus tard, par l'un de leur propre messager, mais, je m'égare, cela n'a au final que peu d'importance. Ainsi, tout juste arrivé dans ce village et, après avoir déposa paquetage et monture à l'auberge, notre homme se décida à promener un peu dans cet endroit qu'il ne connaissait que peu, avant que la nuit ne tombe. Ce fut à ce moment-là qu'une silhouette attira son attention. Celle d'une elfe. Bien trop amoureux de la gente féminine de cette espèce, notre ami ne se trompait que très rarement lorsqu'il en apercevait, même de dos. Mais plus que cela, cette silhouette semblait étrangement correspondre aux descriptions qu'on lui avait fait jusqu'à maintenant. Cheveux, taille, silhouette mais aussi l'équipement qu'elle portait avec elle. Était-ce réel ? En toute honnêteté, l'Homme eut du mal à y croire durant un instant.  

Mais, plutôt que de se poser des questions et prendre le risque de perdre sa trace, il avança vers elle, à pas rapide, pour la rattraper, elle qui semblait déterminée à aller on ne sait-où. Alors, arrivé à portée de voix, le héraut tenta de l'interpeller, afin d'être sûr de son identité. « Excusez-moi ! Dame Elinà ? » C'était-elle. Du moins, c'est ce qu'il en déduit lorsqu'elle se retourna. Mais alors que leurs yeux se croisèrent, il y eut quelque chose qui fit accélérer son cœur. Ce n'était pas la joie de la retrouver, enfin, étrangement. Ce fut quelque chose de bien plus physique, cette elfe était subjuguante, hypnotisante, merveilleuse. Oh, de tels épithètes, notre ami en eut d’innombrables qui lui vinrent à l'esprit, mais, aucun ne semblait être suffisamment profond et fort pour décrire ce qu'il voyait. Peut-être était-ce son attrait particulier pour cette race qui parlait ? Peut-être était-ce simplement une vérité universelle ? Nous le sûmes jamais. Restant bouche-bée devant ce spectacle féerique quelques instants, son esprit finit par revenir à la place qui lui était due, lui faisant ainsi comprendre toute l'étendue du problème. « Je … Veuillez m'excuser, l'on m'a souvent fait des descriptions de votre personne, mais … Jamais quiconque n'a, ne serait-ce qu'à un moment, suggéré à quel point vous étiez belle. Et pourtant … C'est sans nul doutes une des choses qui frappe le plus. » Était-ce son visage ? Son sourire ? Sa coiffure ? Ses traits ? Sa silhouette ? Ce qu'elle dégageait ? A vrai dire, même lui ne sut jamais mettre de mot sur cette sensation. « Mais, je m'égare, veuillez me pardonner. Je … Cela fait plus de dix ans que je vous cherche, je suis si heureux que mon cœur semble être capable de rompre à tout moment. » Qu'il avoua, sans la moindre gêne en riant de la façon des plus heureuses et des plus chaleureuses, avant de reprendre, toujours avec cet entrain, entre deux rires amusés. « Mais, rassurez-vous, je ne vous cherchais pas pour quelque chose d'étrange je ... »

Ne réussissant à trouver les bons mots pour réellement tout expliquer, sans doutes trop excité par tout ce qu'il se passait, il se contenta de soulever sa chemise de lin, dévoilant certes, sa musculature, qui était plutôt agréablement bien taillée, mais surtout, une hideuse cicatrice qui prenait une grande partie de son flanc, vestige d'une blessure qui aurait dû être mortelle. « Il y a presque onze ans, on s'est fait attaquer par des orcs. Mon père est mort, ma sœur et moi avons été violemment blessés. Une telle blessure … Je … J'aurais dû en mourir. Aucun Homme n'aurait pu me guérir et vous … Vous étiez-là, vous m'avez permis de vivre un peu plus longtemps. Mais surtout … Surtout, vous avez sauvé ma sœur, sans la moindre séquelle. Elle peut vivre, sourire, rire, être heureuse, tout ça, grâce à vous … Je ... » Dezial eut une petite larme qui perla le long de sa joue qu'il s'empressa d'essuyer du revers de son pouce en riant de cette façon étrange qu'ont les gens triste à qui on essaie de remonter le moral. « Merci. Merci infiniment. » Qu'il rajouta, heureux d'enfin avoir atteint un des buts de sa vie.


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MessageSujet: Re: Enfin, je te trouve enfin - Elinà   Enfin, je te trouve enfin - Elinà EmptyDim 9 Oct 2016 - 21:35

Le frisson du voyage. Elinà ne le ressentait plus beaucoup, depuis trois ans. Elle s’était pratiquement sédentarisée. Elle ne sortait presque plus d’Imladris. Le regard de l’elfe se perdait sur cette cité qu’elle appréciait. Sur cette cité qu’elle aimait. Imladris était le lieu qu’elle avait choisi pour vivre sa vie. Elle se rappellerait toujours la première fois qu’elle avait vu la cité, pauvre petite chose de douze ans, pleurant silencieusement dans les bras de l’elfe qui la tenait contre lui. A l’instant où elle avait vu la beauté, tout s’était effacé autour d’elle. Les larmes avaient arrêté de couler, tant la stupeur qui l’avait gagnée avait surpassé tout le reste. Les larmes n’étaient revenues que bien plus tard, lorsqu’elle avait été seule. Aujourd’hui encore, la magnificience d’Imladris effaçait tout. Sauf cette langueur qui l’embrasait de plus en plus. Elle avait l’impression que le monde était en train de ralentir, que tout était en train de se changer en un immobilisme qui endormait ses sens.

Elle devait partir. Elle devait retrouver les routes. Ressentir ce petit frisson qui allait lui permettre de revenir à la vie. De quitter cette langueur. Elinà n’aimait pas la routine. Elle détestait ça. Elle adorait passer sur les routes, aller de village en village, soignant ceux et celles qui en avaient besoin. Elle aimait se sentir utile. Vraiment utile. Pas comme à Imladris, où elle n’était qu’une guérisseuse parmi tant d’autres. Elle savait que de nombreux villages n’avaient pas d’autres guérisseurs. Que sa venue pouvait sauver des vies. De nombreuses vies. Elle allait dispenser quelques petits enseignements, par-ci par-là. Leur apprendre une nouvelle fois à mélanger les herbes pour soigner les rhumes, éviter les infections et d’autres remèdes simples du même genre. Elle le répétait à chaque fois, mais à chaque fois qu’elle repassait, il semblait que le savoir s’était déjà perdu. C’était épuisant, non ? Répéter, encore et encore, chaque fois la même chose tout en sachant pertinemment qu’ils allaient oublier d’ici la fois suivante où elle viendrait leur rendre visite. Ces humains étaient réellement …. Epuisants. Mais, c’était pour cela qu’elle les aimait autant. Ils changeaient des elfes. Les elfes n’oubliaient jamais.

Elle ne gardait pas souvenir de tous ceux qu’elle soignait. Il y en avait tant. Certains s’imprimaient dans son esprit plus que d’autres, parce que la blessure était imposante ou la maladie était rare. Et puis, bien souvent, il se passait une dizaine ou une vingtaine d’année avant qu’elle ne recroise un patient. Alors, elle ne les reconnaissait pas. Pas forcément. Les humains vieillissaient là où elle restait toujours la même. Parfois, elle reconnaissait les descendants d’une lignée avec laquelle elle avait une certaine affinité. La plupart du temps, elle les reconnaissait avec une certaine surprise. Un nez pointu, un sourire dévoilant une fossette, une moue boudeuse… Elle était heureuse de voir les lignées continuer leur vie.

Et puis, de manière bien plus rare, il y avait ceux qui voulaient la remercier pour un acte de bonté qu’elle avait eu pour eux. Elinà avait tendance à essayer de les éviter, ceux-là. Elle n’était pas à l’aise avec tout ça. Vraiment pas. Elle n’aimait pas qu’on la remercie. Elle ne faisait que son travail. Son travail était de soigner les gens, de les faire aller mieux, de guérir leurs blessures. Elle n’aimait pas qu’on se répande en effusions pour elle. C’était la vie qu’elle avait choisie. Le chemin qu’elle avait pris. Elle avait appris des meilleurs, et aujourd’hui elle appliquait son savoir. Ce n’était, à ses yeux, pas plus compliqué que cela. Elle passait son temps à s’occuper des autres. Ceux qui pouvaient payer, payaient. Les autres se contentaient de lui donner un bon repas chaud, ça suffisait. Elle ne faisait pas ça pour la gloire ni pour l’argent. Juste parce qu’elle aimait ça. Elle aimait son métier.

Mais pour l’heure, Elinà s’ennuyait à Imladris. Alors, elle prit un coffre emplit de plantes et de mixtures, quelques vêtements de rechange, et elle se rendit aux écuries. Elle harnacha Foudre, son étalon noir, et elle s’éloigna de la cité sans un seul regard en arrière. Elle reviendrait. Elle le savait. Et, si elle mourait sur le chemin, victime des orcs… Hey bien, elle ne regretterait rien. Jamais. Elle se dirigea vers le Rohan. Elle chevaucha jusqu’à ce que sa monture soit trop fatiguée pour la porter. Là, elle s’arrêta dans un petit village. Elle y soigna deux demoiselles qui avaient attrapé une grippe et elle remit en place la jambe d’un homme qui se l’était déplacée en tombant d’un échafaudage, alors qu’il réparait le toit. Elle lui indiqua de se reposer, et décida de rester quelques jours pour voir comment se passait la guérison de l’homme.

Dans le soir naissant, elle s’éloigna de la petite maison où l’homme s’était installé. Elle avait attaché son coffret à sa taille grâce à une longue lanière de cuir. Elle portait une robe bleue et blanche, très simple, et elle avait laissé sa cape à l’auberge. Elle ne s’embarrassait pas avec lorsque la température était encore clémente. Elle marchait lentement dans la cité tout en faisant l’inventaire dans sa tête des plantes qu’il lui faudrait remplacer pour éviter de se retrouver en manque dans le prochain village, lorsque quelqu’un prononça son nom. Elle se retourna, surprise, et elle observa l’homme qui venait de lui parler. Allons bon. Qui était-ce ? Il n’avait pas l’air d’avoir besoin d’elle. L’elfe n’aima pas réellement le regard qu’il lui retourna au premier abord. Il y avait une faim étrange dans ses yeux. Elle regretta de ne pas avoir de cape à refermer autour d’elle pour se préserver. Son compliment la fit sourire, mais elle garda les sourcils légèrement froncés, un air interrogatif sur ses traits. Elle faillit lui demander si c’était la première fois qu’il voyait une elfe, mais elle se retint. Ce n’était pas très poli. Décidément, Elladan et Elrohir avaient cette sale tendance à lui déteindre dessus. Les jumeaux d’Elrond étaient de vrais démons. Finalement les explications vinrent. Voilà dix ans qu’il la cherchait. Calmez donc votre cœur, je n’aimerais pas avoir à le soigner. C’est difficile à soigner, un cœur. Elle plaisantait, évidemment. Elle n’était pas sûre que son pouvoir suffise pour faire repartir un cœur. Elle n’avait jamais essayé. Elle n’allait pas commencer à faire d’étranges expériences maintenant…

Elle attendait qu’il vienne lui expliquer qui il était. Car, elle ne le voyait pas. Dix ans plus tôt, il devait être tout juste sorti de l’adolescence. Aujourd’hui, c’était un homme fait. Son visage ne lui disait rien. Elle pencha la tête sur le côté et elle observa avec un peu plus d’attention celui qui se trouvait face à elle. Il lui expliqua qu’elle avait sauvé sa sœur et lui, onze ans plus tôt, mais que leur père était mort. Elle hocha la tête. Elle se rappelait de leurs blessures. Pas vraiment d’eux. Un sourire amusé se plaça sur ses lèvres alors qu’elle prenait une inspiration. C’est mon travail, dit-elle avec simplicité. Vous n’avez pas à me remercier d’avoir fait ce pour quoi Illùvatar m’a posée sur le monde.

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