♦ PSEUDOs : Illabye ♦ MESSAGES : 526 ♦ RÉPUTATION : 4073 ♦ DC & co : Raeryan, Elea, Selen, Violette ♦ DISPONIBILITÉ RP : ✓ Disponible— RACE DU PERSO : humaine — ORIGINAIRE DE : Haradrim, elle est née dans un village à la frontière de Khand à l'est — ÂGE DU PERSO : 27 ans — RANG SOCIAL : pauvre — MÉTIER PRATIQUÉ : voyante, danseuse, musicienne, comédienne — ARMES DU PERSO : un couteau bien caché sous ses jupons — ALLÉGEANCE〣GROUPE : son père, son groupe — VOYAGE AVEC : sa troupe de saltimbanques
Sujet: l'Aube d'un nouveau jour (Destan & Carmen) Mar 17 Mar 2020 - 15:11
Le bois se heurte, les claquements résonnent jusque dans la forêt. Parfois le bruissement des ailes des oiseaux effrayées perturbent ce silence, parfois ce sont leurs rires qui dérangent la quiétude. Rien d'affolant et non pas de guerre, juste un père et son fils qui chahutent à l'extérieur. Et par une douce journée d'été elle a laissé de côté ses occupations pour venir les regarder tous les deux. En sortant de la chaumière, un nouveau né dans les bras, elle découvre dans le coin de la cour Destan et son fils dans leur leçon du jour. Samael progresse, a sept ans déjà c'est un petit garçon vif qui essaye de piéger celui qui est devenu son père en transformant cela en jeu plutôt qu'en leçon pour savoir plus tard manier l'épée. Ici c'est essentiel, par les temps qui courent, elle ignore si la situation se stabilisera à l'avenir mais au moins il saura se défendre. Manque de concentration, aussi agité qu'un Haradrim mais ça ne suffit pas devant un soldat expérimenté comme Destan qui a toujours le temps de comprendre comment il fonctionne. Il ne perd pas espoir de le toucher du bout de son bâton, vise les jambes pour le faire plier et ne peut s'empêcher de retenir des petits rires amusés. Il proteste, parce qu'il n'y arrive pas, mais il n'abandonne pas.
Carmen avance lentement pour ne pas les déranger, puis s’assoit dans l'herbe. Le petit est content d'être dehors, ses grands yeux bleus ouverts et fasciné par les cimes des arbres qui se balancent doucement. La jeune femme en profite pour grignoter quelques biscuits qu'elle a fait tout juste, se demande si l'odeur sucrée finira par les déstabiliser tous les deux. Elle baisse les yeux sur Galaad qui gazouille tranquillement, le berce. C'est un enfant relativement calme et sage, pas de doute qu'il a hérité du caractère de son père alors que Samael tient plus de Carmen. Parfois elle a l'impression de se voir à travers lui quand elle était plus jeune, dans ses élans hyperactifs et son caractère bien trempé. Elle s'est assagie sur les années et les événements de sa vie, mais elle sait qu'il deviendra un homme bon et fort. Destan l'a aidée à l'éduquer, aucun doute que le destin était de les voir réunis maintenant. Il s'entend si bien avec lui, leur vie est devenue paisible et cela dure depuis quelques années maintenant.
Quand à sa vie avec Destan, elle se porte pour le mieux, amants de longue date, ils s'étaient promis de se retrouver s'ils restaient seuls tous les deux. Alors voilà, dans leur petite chaumière d'un village du Rohan, le temps suit son cours et elle est heureuse d'avoir enfin trouvé un endroit où rester. « Destan ? » Elle attend que l'homme tourne la tête et Samael en profite pour lui mettre un coup de baton dans les cuisses, clamant haut et fort sa victoire. Carmen éclate de rire, savait que son fils utiliserait cette occasion pour prendre le dessus.
♦ PSEUDOs : Artichaud ♦ MESSAGES : 181 ♦ RÉPUTATION : 1023 ♦ AVATAR : Iain Glen ♦ DC & co : Thorin Oakenshield & Bartholomew ♦ DISPONIBILITÉ RP : ✓ Disponible— RACE DU PERSO : Destan est un Homme, un simple Gondorien sans particularité aucune si ce n'est la fierté qu'il conserve, indéfectible, pour sa patrie. — ORIGINAIRE DE : Il est originaire de Dol Amroth, ancienne cité elfique et port fortifié sous la gouvernance de Princes Dunédains et l'Intendance du Gondor. — ÂGE DU PERSO : Il y a quarante-trois années que Destan foule la Terre du Milieu et il les supporte plutôt bien. — RANG SOCIAL : Assez pauvre comparé à ce qu'il aurait pu être au vue du grade qui était le sien auparavant. — MÉTIER PRATIQUÉ : Il a été Capitaine des Garde de la Porte Noire avant que les orcs ne les mettent en déroute. Désormais, il offre ses services aux caravaniers qu'il escorte durant leur voyage. — ARMES DU PERSO : Destan possède une épée dont il prend grand soin et qu'il chérit, Ascalon. — ALLÉGEANCE〣GROUPE : L'allégeance de Destan va à Turgon ainsi qu' Angelimir, Prince de Dol Amroth. — VOYAGE AVEC : Il voyage seul pour le moment, il a accompagné lors de son voyage de retour la dernière caravane qui était partie de la baie de Belfalas, désormais, avec la menace des Pirates, il est contraint à voyager en solitaire pour se trouver de nouvelles tâches. — AMOUREUSEMENT : Il a cessé de croire que le Grand Amour était pour le commun des mortels mais réservé à certains privilégiés.
Sujet: Re: l'Aube d'un nouveau jour (Destan & Carmen) Mar 17 Mar 2020 - 16:28
«L'Aube d'un jour nouveau »
Une petite forêt, simple mais suffisamment grande pour eux quatre. Elle lui fait penser a ce bosquet qu’il a laissé depuis longtemps derrière lui à la naissance des Montagnes Blanches et du Lossarnach. Cela fait bien longtemps qu’il n’a pas remis les pieds en Gondor mais il est bien trop occupé et heureux de sa condition pour s’en soucier désormais. Les bâtons de bois s’entrechoquent et résonnent au milieu des bruits de la forêt. Des oiseaux s’envolent dérangés par leur boucan dans la douceur de l’été.
L’ancien soldat prodigue ses conseils à son opposant d’une voix calme et douce : « Plus haut, plus bas, à gauche, tourne, attention ». Bientôt il n’aura plus besoin de parler, son élève s’améliore de jour en jour et s’il continue de s’entraîner avec autant d’envie et de concentration l’ancien capitaine devra se montrer bien plus exigeant que ce soit concernant sa prestation ou celle de son apprenti. Du coin de l’œil il voit Carmen sortir de la chaumière qu’ils ont investi, une ancienne cabane de bûcheron délaissée depuis plusieurs années maintenant et qu’un seigneur du Rohan lui avait indiqué pour payer les services rendus par Destan. Qui aurait pu dire que telle aurait été sa vie désormais ? Alors qu’il s’attelle à apprendre les rudiments du combat au jeune garçon qui tourne autour de lui, Carmen quant à elle tient dans ses bras leur enfant. Un fils blond comme les blés au regard bleu perçant, jamais Destan ne se serait imaginer vivre cette vie-là mais il en était reconnaissant à Iluvatar pour lui avoir offerte tout de même.
Il touche de son bâton l’épaule de Samael qui est devenu son enfant lui aussi. Peu lui importe les liens du sang, la couleur des cheveux, les traits ou celui qui avait permis de faire germer cette graine. Il était à présent là pour l’aider à croître et à s’épanouir, cela lui était amplement suffisant. Le petit garçon qui essaye de lui faire ployer les genoux à sept ans déjà, peut¬-être se distrait-il encore un peu mais Destan ne manque pas de lui rappeler par une estocade dans les côtes lorsque cela arrive. Le petit à en lui la fougue d’un haradrim, tout le côté de sa mère sans aucun doute mais Samael est têtu il ne lâchera rien tant qu’il n’aura pas réussi à le toucher au moins une fois. L’ancien sourit pour lui-même plus d’une fois lorsque le garçon se met à rigoler lorsqu’il lui chatouille le cou avec ses doigts après lui avoir touché le pied du bâton. Carmen s’est assise dans l’herbe non loin d’eux, elle grignote un biscuit, sans doute le goûter qu’elle proposera à Samael dans quelques temps. Soudain, celle avec qui il partage désormais sa vie l’appelle. Elle attend sans doute qu’il tourne la tête. L’idée de la regarder tenir son fils dans ses bras, assise dans l’herbe, ses longs cheveux sombres autour d’elle serait-elle plus forte que le gain de cette joute ? Il tourne alors la tête et Samael s’empresse de lui mettre un coup de bâton dans les cuisses avant de crier à la victoire.
Il aurait pu bloquer le bâton de l’enfant mais à quoi bon ? il avait bien combattu et il n’était nul besoin de le mettre en difficulté ou de le placer sans cesse en situation d’échec. Cela ne ferait pas de lui un meilleur bretteur et cela lui permettrait d’être bien plus motivé à la prochaine leçon. Après tout il pouvait toujours faire passer cela pour de la vieillesse. Il hoche la tête en reposant son regard sur Samael, plantant ses yeux dans celui du garçon: « Bien. Le devoir m’appelle et tu sais que l’on ne peut laisser quiconque en détresse. Va donc te débarbouiller nous n’avons pas terminé notre lecture d’hier.» Il s’avança alors vers Carmen et va s’asseoir prêt d’elle, laissant de côté son bâton, caresse les cheveux de son fils avant de déposer un baiser sur l’épaule de sa compagne et de s’adresser à elle, amusé :
« Plaît-il ? »
(c) REDBONE
Cármen
♦ PSEUDOs : Illabye ♦ MESSAGES : 526 ♦ RÉPUTATION : 4073 ♦ DC & co : Raeryan, Elea, Selen, Violette ♦ DISPONIBILITÉ RP : ✓ Disponible— RACE DU PERSO : humaine — ORIGINAIRE DE : Haradrim, elle est née dans un village à la frontière de Khand à l'est — ÂGE DU PERSO : 27 ans — RANG SOCIAL : pauvre — MÉTIER PRATIQUÉ : voyante, danseuse, musicienne, comédienne — ARMES DU PERSO : un couteau bien caché sous ses jupons — ALLÉGEANCE〣GROUPE : son père, son groupe — VOYAGE AVEC : sa troupe de saltimbanques
Sujet: Re: l'Aube d'un nouveau jour (Destan & Carmen) Sam 28 Mar 2020 - 11:20
C'est plaisant de les regarder tous les deux, tandis que son garçon grandi, Destan lui apprend à être un homme. Et il le fait bien, même si à la fin la sournoiserie de Samael vient mettre fin à l'apprentissage sous l'initiative de Carmen. Une vision des plus drôles, qui arrache un rire à la gitane. Destan donne quelques directives au jeune garçon avant qu'il ne puisse les rejoindre à son tour. Carmen observe alors son compagnon la rejoindre, alors que leur enfant dans ses bras gazouille paisiblement, curieux à l'environnement qui l'entoure et particulièrement éveillé lorsqu'il est dehors avec sa famille. Le sourire s'agrandit à l'attention de Destan, un baiser déposé sur son épaule, et sa question lui arrache un rire. Un air faussement mystérieux flotte à son regard avant de venir lui voler un baiser. « Hm ? Rien du tout ! » Elle se saisit d'un biscuit pour le lui mettre dans la bouche en guise de réponse au moins. Elle n'aurait jamais cru avoir une vie paisible après tout ce qu'il lui est arrivé, mais enfin ils y sont, tous les deux, ils se sont installés et elle ne prévoit pas de se remettre à voyager de si tôt bien qu'ayant ça dans le sang.
Les souvenirs s'étiolent, certains plus que d'autres, seuls restent en surface sa rencontre avec Destan et la vie avec les gitans, ses parents qui auraient voulu la voir ainsi épanouie. Elle le sait, ils veillent sur leur deux enfants et ont bénit leur mariage depuis les cieux. Maintenant il n'y a rien qui puisse altérer à leur bonheur, la tristesse et la douleur sont passés. Carmen remet l'enfant dans les bras de son père, après un baiser déposé doucement sur le front du nourrisson que lui aussi puisse à son tour profiter de la présence paternelle. Et Samael revient, trouve naturellement sa place, s’asseyant lourdement sur les genoux de sa mère pour chiper un biscuit. « Alors tu es encore plus fort aujourd'hui ? » Le garçon acquiesce dans un rire, il espère être aussi fort et habile que Destan au combat et elle lui donne toutes les raisons de l'espérer. Pour bon nombre de fois où il lui est venu en aide quand elle se faisait maltraiter, pour le jour de leur rencontre, alors qu'il l'a sauvée des eaux. Arrivera un jour où il voudra partir d'ici, voir le Gondor, Minas Tirith et les elfes ; car il a le voyage dans le sang de part son père biologique mais aussi de part Carmen qui a passé le plus clair de sa vie sur les routes. Elle espère qu'il ne rencontrera pas d’embûches, préférerait qu'il entre dans la garde du Rohan afin qu'il reste toujours proche d'eux. « Papa a dit qu'on allait bientôt utiliser des vraies épées. » Il annonce, Carmen hausse les sourcils et tourne le regard vers son compagnon pour avoir la véracité de ses propos. Elle sait que Samael est un petit malin qui aime bien amplifier ce que l'on dit et qui prend souvent le mot « bientôt » comme « demain » et qu'il se voit déjà manier Ascalon. C'est Destan qui juge de son évolution, même si pour elle même a dix ans de plus elle préférera qu'il le fasse avec des bâtons.
Il finit par leur fausser compagnie, préférant aller voir les chevaux et laisse les trois personnages toujours tranquillement assis dans l'herbe. « Est ce qu'il t'a dit qu'il voulait explorer les contrées du monde ? » Destan sait qu'elle est inquiète de le voir s'éloigner, ça la préoccupe. Elle le regarde au loin caresser les chevaux, sans doute espère t-il avoir le sien très bientôt.
♦ PSEUDOs : Artichaud ♦ MESSAGES : 181 ♦ RÉPUTATION : 1023 ♦ AVATAR : Iain Glen ♦ DC & co : Thorin Oakenshield & Bartholomew ♦ DISPONIBILITÉ RP : ✓ Disponible— RACE DU PERSO : Destan est un Homme, un simple Gondorien sans particularité aucune si ce n'est la fierté qu'il conserve, indéfectible, pour sa patrie. — ORIGINAIRE DE : Il est originaire de Dol Amroth, ancienne cité elfique et port fortifié sous la gouvernance de Princes Dunédains et l'Intendance du Gondor. — ÂGE DU PERSO : Il y a quarante-trois années que Destan foule la Terre du Milieu et il les supporte plutôt bien. — RANG SOCIAL : Assez pauvre comparé à ce qu'il aurait pu être au vue du grade qui était le sien auparavant. — MÉTIER PRATIQUÉ : Il a été Capitaine des Garde de la Porte Noire avant que les orcs ne les mettent en déroute. Désormais, il offre ses services aux caravaniers qu'il escorte durant leur voyage. — ARMES DU PERSO : Destan possède une épée dont il prend grand soin et qu'il chérit, Ascalon. — ALLÉGEANCE〣GROUPE : L'allégeance de Destan va à Turgon ainsi qu' Angelimir, Prince de Dol Amroth. — VOYAGE AVEC : Il voyage seul pour le moment, il a accompagné lors de son voyage de retour la dernière caravane qui était partie de la baie de Belfalas, désormais, avec la menace des Pirates, il est contraint à voyager en solitaire pour se trouver de nouvelles tâches. — AMOUREUSEMENT : Il a cessé de croire que le Grand Amour était pour le commun des mortels mais réservé à certains privilégiés.
Sujet: Re: l'Aube d'un nouveau jour (Destan & Carmen) Mer 1 Avr 2020 - 0:12
«L'Aube d'un jour nouveau »
La jeune femme lâcha un rire en réponse à sa question avant de se parer d'un voile de mystère et de voler un baiser au Gondorien. Elle ajouta ensuite qu'elle qu'il n'y avait rien du tout et enfourna un biscuit qu'elle avait préparé dans la bouche de son compagnon. Fort heureusement pour Destan les biscuits étaient bien préparés et n'allaient pas manquer de l’étouffer. Il savoura le goûter imposé en silence, profitant de la présence de cette famille qui était désormais la sienne. Carmen lui tendit le nourrisson et l'ancien capitaine de la Porte Noire pris doucement son fils au creux de ses bras. Il lui avait été donné de contempler des choses magnifiques dans sa vie, nombreuses et immortelles pour certaines mais le regard perçant de son fils, leur fils était quelque chose d'incomparable. Il était étrange que le destin lui ait offert cette vie là après tout ce temps mais il ne s'en plaignait pas outre mesure, bien au contraire. Il caressait doucement les cheveux blond de Galaad lorsque Samaël revint trouver une place près d'eux sur les genoux de Carmen qui lui demanda s'il était devenu plus fort. Le petit acquiesça en souriant et en riant avant de reprendre la parole appelant Destan « papa » au passage. Le mot sonnait toujours étrangement à se oreilles. Non pas qu'il lui ait déplu mais parce qu'il avait longtemps estimé ne pas le mériter. Non pas par modestie mais il n'avait songé que cela puisse se révéler important pour l'enfant et désormais cela était devenu important pour lui. Jamais il ne pourrait remplacer le père, le sang dont Samael était issu, il ne savait et ne le souhaitait pas mais il était prêt à aimer ce petit homme et l'éduquer comme sa propre chaire. Cela il en avait été persuadé dès le moment où il avait posé les yeux sur lui au milieu de cet abris de fortune dans lequel ils s'étaient réfugiés. Il laissa Carmen tourner son visage vers lui afin de vérifier si les dires du petit étaient vrais concernant les réelles épées. Sans se départir d'un sourire Destan répondit habilement:
« Bientôt, lorsque nous auront réussi à rencontrer une mouette. »
Mais avant qu'une telle chose arrive il leur faudrait être bien proche de l'Anduin car jamais ces oiseaux ne remontaient aussi loin dans les terres et c'était mieux ainsi. Les mouettes méritaient les rivages iodés de la baie de Belfalas ou de la grande mer. Samaël ne resta que peu de temps auprès d'eux. Son biscuit englouti et il était déjà auprès des chevaux. Carmen en profita pour s'enquérir des souhaits émis par le petit auprès de Destan et ce dernier lui répondit doucement :
« Il m'en a effectivement touché quelques mots. Mais je ne suis pas certain qu'ils sache exactement jusqu'où va le monde. »
Il la savait inquiète mais un jour viendrait où Samaël devrait partir pour devenir celui qu'il voudrait être. Chaque êtres qui foulait cette terre se retouvait un jour dans cette situation. Le voyage initiatique différait ensuite, il était plus ou moins long. Certain traversaient la Terre du Milieu tandis que d'autres s'arrêtaient au premier village. Chacun y voyait les signes qu'il voulait y voir et ceux qui souhaitaient reprendre leur route le ferait. D'autres s'installaient, trouvaient une compagne un métier et s’accommodaient fort aisément d'une telle vie. Samaël ne serait pas de ceux là il en était persuadé. Le sang des nomades coulaient dans se veines et sa curiosité aurait besoin d'être étanchée tôt ou tard. Il sourit néanmoins à Carmen avant de lui dire doucement pour ne pas qu'elle s'inquiète plus avant :
« Mais rien n'empêche de commencer à l'explorer avec lui le temps qu'il soit prêt. »
Ils pouvaient commencer simplement, de cette clairière à une autre. Mais il était difficile de s'éloigne de trop pour Destan. Il aurait été seul avec Samaël sans doute seraient-ils aller vagabonder sur les routes mais l'ancienne Capitaine du Gondor se devait de veiller sur des choses bien plus précieuse que l'appel des plains et de la route. Il posa son nez sur celui de Galaad tout doucement avant de l'embrasser sur le front. Pas maintenant,pour l'instant il avait deux fils à élever et une compagne à chérir, l'aventure reviendrait et peut-être serait-elle la dernière qu'il vivrait alors il n'était pas si pressé.
(c) REDBONE
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