you haunt my life. { SIMBAD.

NOM&PRÉNOM ▬ Seulement Simbad. Il a abandonné depuis très longtemps le nom de la tribu Haradrim que son père criait haut et fort sans aucune honte, n'ayant jamais partagé ses idéaux répugnants, au goût du jeune homme. SURNOM ▬ Sa grande soeur s'amusait à l’appeler Simba lorsque l'envie lui prenait, bien que Sim revenait tout autant.  ÂGE ▬ Il possède vingt six ans. PATRIE, RACE ▬ Il fait partit du peuple des hommes, au coeur faible mais à la force de se relever à chaque bataille, originaire d'une tribu Haradrim qu'il renie.   LIEU DE NAISSANCE ▬ Né en Harad, c'est un Haradrim pur souche ; ces hommes du désert à la peau halée et n'ayant pas froid aux yeux. RANG SOCIAL ▬ Etant le dernier fils d'un chef de tribu d'Harad, son rang social est, logiquement, plus élevé qu'un homme de ferme par exemple ; mais les peuples du sud étant bien souvent pauvre, ce clan n'échappait alors pas à la règle. PROFESSION ▬ Mercenaire, rôdeur, chasseur... Tout est bon à prendre, tant qu'il gagne de l'argent par ce qu'il pratique, à ses yeux, c'est un métier.  SITUATION AMOUREUSE ▬ Son coeur est aussi vierge que la feuille de papier attendant qu'une plume encrée vienne la gratter ; célibataire pour faire plus simple. POUVOIRS ▬ Il ne sait même pas que la magie existe pour tout vous dire, alors non, il va de soi qu'il ne détient pas de pouvoirs.    DE QUEL COTÉ IL EST ▬ On ira dire qu'il est neutre, étant donné qu'il sert sa propre personne, mais il ne serait pas capable de pactiser avec les orcs et le grand oeil, ayant renié son père pour cela. GROUPE SOUHAITÉ ▬ Hommes.

VOTRE PHYSIONOMIE ▬ U.C
VOTRE STYLE VESTIMENTAIRE ▬ U.C
VOS PARTICULARITÉS ▬ Il a une cicatrice visible vers les cotes, souvenir d'un combat contre un ours, qu'il n'a d'ailleurs pas gagné, ayant réussi à prendre la fuite avant de se faire dévorer cru.
VOTRE CARACTÈRE ▬ U.C
CE QUE VOUS AIMEZ ▬ U.C
VOUS AIMEZ FAIRE LA FÊTE, BOIRE, MANGER ▬ U.C
AVEZ VOUS DES PASSIONS DANS LA VIE ▬ U.C
AVEZ-VOUS UN BUT DANS LA VIE ▬ U.C
CE QUE VOUS DÉTESTEZ ▬ Avant toute chose, bien en haut de la liste ; les orcs, les trolls, les créatures susceptible d’ôter la vie sans réfléchir ou par pur plaisir. Il en va de même pour les hommes ayant ce même comportement ; il les déteste par dessus tout. U.C
PROFITEUR OU DÉBROUILLARD ▬ Cela dépend des situation, il a tendance à se débrouiller par pure fierté ; mais il ne dit pas non lorsqu'il peut s'aider d'une autre personne.
SUR QUI POUVEZ VOUS COMPTER EN CAS DE PROBLÈME ▬ Seulement sur lui même, malheureusement.
COMMENT RÉAGISSEZ-VOUS FACE AU DANGER ▬ Sincèrement, cela dépend littéralement de la taille du danger. Il est vite impressionné et aura tendance à partir en courant s'il tombait sur une grosse bébête poilue faisant trois mètre de plus que lui. Mais si le contexte était différent et que, par exemple, il devait protéger quelqu'un, il n'hésiterais pas à mettre sa vie en danger.
UN SECRET QUE VOUS GARDEZ ▬ Aux alentours des forêts enchantées de la Lorien, il a croisé une elfe se baignant nue dans un lac... Et il s'est arrêté un instant, le souffle coupé par la beauté d'une créature immortelle.
QU'EST-CE QUI VOUS FAIT HONTE ▬ Une fois, il a essayé de coudre. Il s'est piqué le doigt avec l'aiguille. Il n'a plus jamais réessayé depuis.
QUEL TYPE D'ARME AVEZ-VOUS ▬ U.C
QUELLE EST VOTRE PEUR ▬ U.C

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VOUS ET LA TERRE DU MILIEU ▬ U.C

« Est-ce que tu crois aux fantômes ? Les morts qui reviennent hanter les vivants pour se venger ? »
« Je crois surtout que tout est ta faute et que tu n’arrives pas à assumer ça. A force d'en voir, tu finiras par en devenir un toi même. »




La terre du milieu est vaste, grande, pleine de dangers qui ne sont pas forcément évidents à détecter, et surtout, riche en culture et différentes ethnie.  Les montagnes ne manquent pas à l’appel, les rivières ne se font pas rare et l’abondance touche certaine régions, plus souvent les forêts entourant la lisière des derniers royaumes elfiques encore vivant en cet âge. Les climats sont pourtant bien différents d’une région à l’autre, et s’il y en a une qui se distingue des autres, c’est bel et bien la région d’Harad, signifiant « le sud » en sindarin. En effet ; des déserts à perte de vue, des dunes et un soleil de plomb ; les oasis ne sont pas abondantes et se font même presque rare, tandis que le vent se fait sec, et les tempêtes de sable aiment s’en prendre régulièrement à la population qui vit en ce lieu. Être Haradrim, ce n’est pas de tout repos ; et c’est ce que Simbad appris dès son plus jeune âge.
A défaut d’être né dans la région ayant été en guerre sanglante contre le Gondor, Simbad n’a jamais quitté sa terre natale. Il faut savoir néanmoins qu’Harad est divisé en deux parties bien distinctes : L’Harad du nord, avec ces fameux déserts et tonnes de sable fin, tandis qu’il y a l’Harad sud, avec ses jungles tropicales et sa faune sauvage et excessivement dangereuse.

Né dans une des tribus nomades du nord, Simbad est le dernier fils de Malik, chef de ce clan et partisan du Mordor. Et comme si cela ne suffisait pas à augmenter les conditions inévitablement pénibles dans lesquelles le jeune Suderon avait dû grandir, il était le dernier fils, en effet, mais il était venu après cinq autres frères et sœur. Pour être exact, cette descendance comptait cinq garçons et une fille. Sachant ainsi les idéaux du père, ces derniers s’étaient vite propagé dans la tête de ses garçons. De plus, il n’était pas du tout du genre à être tendre ; si vous étiez en mal d’amour paternel ou maternel, il aurait mieux valu fuir cette famille en toute hâte, surtout lorsque l’on sait qu’Azia, la mère de Simbad, est morte en le mettant au monde, dû aux conditions difficiles et surtout, à ses cinq autres enfants l’ayant épuisé durant toutes ces années passées. A peine pouvait-il mettre un pied devant l’autre qu’il était sur les routes avec cette fameuse tribu, aux côtés de ses frères qui lui vouaient une haine sans nom, tout comme son père d’ailleurs ; ils rejetaient tous sans exceptions la mort de leur très chère génitrice sur lui. Naela, sa grande-sœur, prenait en revanche soin de lui et ne pensait aucunement les propos que ses autres frères crachaient comme du venin envers le pauvre garçon, veillant sur lui de manière sur-protectrice, comme pour remplacer cet amour maternel dont l’Haradrim n’avait jamais pu en  goûter la douceur. Si ce n’était pas le soleil aussi brûlant que les flammes de la montagne du destin qui écrasait le moral de Simbad, ses frères et son père s’en chargeaient avec plaisir.



Il regardait souvent les étoiles, en ce temps-là. Quittant momentanément la tente où il dormait avec ses frères afin de se sentir enfin seul et en paix, allongé sur le sable, les yeux parcourant l'infinité et la grandeur des cieux insondables. Que devait-on croire, lorsqu’on savait que la mort de notre génitrice était en partie  due par « notre faute » ? Un enfant, innocent et aux pensées pures, tel que l’était Simbad en ce temps-là, se posait milles et une questions, sous ces lumières éternelles qui avaient vu naître et mourir ses ancêtres.  Malheureusement, les seules réponses qu’il recevait en ce temps-là étaient des rires mauvais, des regards haineux ou des reproches très mal trouvés. Il se laissait bien sûr marcher sur les pieds, souvent la tête basse et la mine boudeuse, et en lui, l’incompréhension se retrouvait alors transformée en rage. Néanmoins, cette colère lui était bénéfique dans un certain sens : il se disait qu’il serait mieux qu'eux plus tard, rêvant de quitter cette région aride afin de pouvoir voyager, devenant ainsi ce qu'il voulait être : un homme libre.

U.C