Teran [fiche validée]

NOM&PRÉNOM ▬ Teran Dagno. SURNOM ▬ Ren ÂGE ▬ 71 Race ▬ Dunedain   LIEU DE NAISSANCE ▬ Village prés de Fornost RANG SOCIAL ▬ Aisé PROFESSION ▬ Officier militaire  SITUATION AMOUREUSE ▬ CélibatairePOUVOIRS ▬ Se gratter partout dans le dos avec sa main droite

VOTRE PHYSIONOMIE ▬ Teran est assez grand pour un homme, mais de taille normale pour un Dundedain, il mesure 1m85. De corpulence normale, il est tout de même assez musclé, ce qui lui donne un poids de 75 kilos.

Sous son foulard noir, cachant un visage allongé, se cache une barbe de quelques jours. Il a des cheveux bouclés, de couleur noire geais et a des yeux gris. Son regard est empreint de tristesse mais également d’une dignité forçant le respect de ses contemporains.

Sous ses couches de vêtements, il a un corps dont les pectoraux ressortent particulièrement, mais dont quelques petits abdominaux ressortent faiblement. Un duvet de poil recouvre une partie de ses pecs et de son sternum.
Il a une posture fière et élégante, dû au fait d’un entrainement rigoureux lui apprenant à marcher et à courir d’un pas léger.    

VOTRE STYLE VESTIMENTAIRE ▬ Teran porte un plastron de cuir propre aux dunedain, le protégeant de la taille aux épaules . Les bras ne sont pas recouverts de celle-ci pour lui permettre de manier l’arc avec agilité. En revannche, ils sont recouverts d’un vêtement ample et vert kaki au bout duquel se trouvent un bracelet de métal entourant ses poignets et des gants de cuir, renforcés aux trois doigts lui servant à encocher la flèche. Une épée batarde est accorchée dans son dos.

Une ceinture de la même couleur que son armure et à laquelle pend deux dagues tient un pantalon ample et kaki lui permettant une certaine aisance lors de ses déplacements. De plus, le tissu est choisi de telle manière que bouger ne lui fait faire presque aucun bruit.
Il porte Des bottines de cuir, remontant le long de ses chevilles et lui serrant celles-ci afin qu’il ne se blesse pas en terrain accidenté.

Sur tout cela, repose une grande cape à capuche de la même couleur que le pantalon. Enfin, le visage de Teran est caché par un foulard noir lui entourant la gorge et remontant jusqu’à l’extrémité entre ses yeux et son nez, lui permettant tout de même d’avoir une vue dégagée pour tirer à l’arc.

VOS PARTICULARITÉS ▬ Au cours de ses raids, Teran n'a jamais été touché assez gravement que pour garder une cicatrice, mis à part celle dans son coeur. Cependant, il porte un tatouage allant de son épaule gauche à son avant bras, d'un loup. cela symbolise son acharnement à poursuivre son but ou sa proie.

VOTRE CARACTÈRE ▬ Teran est comme beaucoup de Dunedain assez taiseux, se trait de caractère fera en sorte que certains le considère comme quelqu'un de froid. Malgré sa peine, il parvient s'attacher facilement aux personnes qui l'entourent, notamment à ses compagnons d'armes en qui il a une foi et une allégence à toute épreuve. Il porte un air assez dur et est sévère pour tout ce qui touche à son métier. Il  est charismatique, force le respect lorsqu'il parle, que ce soit à ces hommes ou à d'autres inconnus.

Teran est quelqu'un de droit dans ses bottes, il a beaucoup d'éthique, mais lorsqu'il a un but, il est pret à presque tout pour y parvenir et balaye ce qui le sépare de son objectif. Sa droitesse le rend fort rigide, il est presque impossible de lui faire entendre un point de vue différent du sien.

Enfin, il est cultivé, de part ses années d'expériences et hais une chose par dessus tout, les orcs. Il donnera sans hésiter sa vie pour sauver la terre du milieu de ses ignobles créatures .

CE QUE VOUS AIMEZ ▬ Teran étant quelqu'un de rigoureux, il aime particulièrement le travail bien fait. En effet, si quelqu'un veut lui parraitre sympathique, ce n'est pas en lui offrant une quelconque victuaille mais plutot en montrant que ce dit personnage est un homme (femme) de confiance. Ce qu'il aime également comme qualité chez autrui est avoir du panache, il n'y a rien de plus insuportable que quelqu'un qui se vente de ses exploits.

Teran est quelqu'un qui adore la liberté, il aime totu particulièrement sentir le vent souffler sur son visage, ainsi que les odeurs d'un endroit qu'il affectionne tout particulièrement: la foret. En effet s'il le pouvait, il resterait des heures en ce lieu où peersonne n'est là pour lui dire quoi faire, ou aller,... Le seul problème, ce qui l'empêche de faire cela sont les créatures maléfiques qui rodent dans les barrages. C'est en partie pour cela que son métier lui tient tant à coeur.

VOUS AIMEZ FAIRE LA FÊTE, BOIRE, MANGER ▬ Etant de nature assez discrète, il préfère se tenir à l'écart des festivités, car selon lui, tantque la terre du milieu n'est pas hors de danger, les peuples libres ne devraient pas laissser de répis aux êtres maléfiques. Il n'est en revanche pas contre une bière ou du vin lors des repas.

AVEZ VOUS DES PASSIONS DANS LA VIE ▬ Pour Terann, la chasse n'est pas seulement une passion, c'est un art. En effet, en, plus  de devoir développer des techniques lui permettant d'avancer sans être repérer même parles animaux, il faut pouvoir choisir ses proies avec intelligence et connaitre sont terrain de chasse. On tuera plutôt un vieux cerf en fin de vie qu'une biche prête à mettre bas, mais pour cela, il faut pouvoir déduire l'age, et la condition de chaque animal que l'on croise. Dans l'art de la chasse, la traque prend aussi une partie importante, pouvoir repérer des traces, les suivre, ne pas faire de bruit, se mettre contre le vent, camoufler son odeur sont autant de chose facile à énumérer, mais c'est une autre histoire lorsqu'il faut les mettre en pratique.

Enfin, plus que la chasse d'animaux, Teran adore chasser l'orc. Lorsqu'il en tue, il sent comme en sentiment du devoir accomplis d'avoir éradiquer une vermine de plus de cette terre, de sa terre.

AVEZ-VOUS UN BUT DANS LA VIE ▬ Son commandant, et compagnon Dunadan est mort en lui laissant quelques instructions. Pour Teran, il en va donc de son honneur d'accomplir les dernières volontés de son officier décédé.

CE QUE VOUS DÉTESTEZ ▬  Encore une fois, Teran n'est pas trop dérangé parce qu'il peut manger ou boire. Il a appris à survivre avec le stricte minimum et ne se plaint jamais du goût d'un aliment. En revanche, ce qu'il déteste sont la perfidie des uns et l'égocentrisme des autres. Pour quelqu'un passant sa vie à défendre la terre du milieu sans autre biens que l'or qu'il amasse grâce à sa paye et son équipement, cela le dégoute qu'une tierce personne fasse quelque chose en ne faisant pas passer l'intéret commun avant tout.

PROFITEUR OU DÉBROUILLARD ▬ Un Dunadan ne peut pas un être un s'il n'est pas débrouillard. Teran est capable de vivre seul en foret, sans l'aide de personne. Il y a d'ailleurs souvent songé, mais la fille du forgeron et les orcs trainant dans les barrages lui posent un soucis.

SUR QUI POUVEZ VOUS COMPTER EN CAS DE PROBLÈME ▬ Teran était sous officier d'une troupe de rodeur gondorien. Après la mort de son commandant qui lui était un Dunandan, ce fut au tour de Teran de devenir officier supérieur. Il a donc sous ses ordre 75 rodeurs du gondor.

COMMENT RÉAGISSEZ-VOUS FACE AU DANGER ▬ Pour Teran, le seul danger qui existe est pour ceux qui se mettraient en travers de son chemin. Néanmoins, il est la plupart du temps sur ses gardes, car en foret, le danger est partout. Teran n'est pas du genre à agir sans réfléchir, donc si quelque chose risque de mettre en péril la vie de ses homme ainsi que la sienne, il préfèrera créer un plan  afin d'éliminer la menace, tout en discretion.

UN SECRET QUE VOUS GARDEZ ▬ Terann garde deux secrets, l'un qui lui fait honte, et l'autre qui n'aura jamais d'impacte sur sa vie, mis à part le mettre dans un état de dépression si quelqu'un le lui rappel. Le premier, et le plus dangereux pour lui est l'assassinat d'un forgeron qui se travaillait dans son avant poste. Le second est l'amour qu'il avait pour une fille de ce même village, dame qui est morte depuis peux.

QU'EST-CE QUI VOUS FAIT HONTE ▬ Ce qui lui fait honte est bien évidemment son plus gros secret, le meurtre du forgeron. Il l'a tué de sang froid par pure envie. Je ne développerai pas plus cela ici car c'est une partie de mon histoire.

QUEL TYPE D'ARME AVEZ-VOUS ▬  Teran a des armes de rodeurs, une épée, un arc composite, des flèche avec pointe en métal, plusieurs dagues et couteaux parsemés dans sa vestes ainsi que quelques cataplasmes et un briquet amadou.

QUELLE EST VOTRE PEUR ▬ La plus grande peur que Teran a est que quelqu'un découvre le meurtre qu'il a commis, cela l'obligerai à vivre en paria pour pouvoir accomplir la volonté de son défunt officier. Il a également peur de se disgracier, car lorsqu'il a une mission, il doit la mener à bien, sinon pour lui il ne vaut pas mieux que les bêtes féroces qu'il combat.

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VOUS ET LA TERRE DU MILIEU ▬  Teran a déjà une longue expérience de ce qu'est la vie, malheureusement une dure vie. Pour lui, celle-ci se minimisée en le combat du bien contre le mal. Il doit pouvoir vaincre les êtres maléfique ou le monde s'arrêtera.

Il est au courant de tout ce qui se trame en terre du milieu, mais pense que les humains et les elfes ont oubliés les services que son peuple a rendu. Il Pense également que tous les laissent pour comptent et que les autres peuples pensent que les Dunedain sont uniquement là pour empêcher le mal de s'étendre au nord.

En revanche, il a entendu dire que d'au sud les pirates et les orcs commençaient à bouger. Il parait également qu'ils auraient conclu une alliance afin de s'attaquer aux territoires humains. S'attaquer ou les traverser? En effet, seuls quelques villages Rohirims ont étés pillés, et les mouvements des orcs n'induisent en rien qu'ils comptent rester au rohan. Dans ce cas, trois choix s'offrent à eux, la Lorien, la Moria, ou Mirkwood. Etant donné que la plus grande concentration d'orc se trouve au sud,il serait fort intéressant d'aller y jeter un coup d'oeil.

« Grand-père, Grand père, raconte-moi une histoire s’il te plaît »
Un petit garçon haut comme trois pommes se jette sur les genoux de son parent qui lui lance un regard bienveillant et lui sourit. Le vieil homme de plusieurs centaines de printemps regarde par la fenêtre. Les derniers rayons de soleils disparaissent  lentement alors que les étoiles commencent à poindre le bout de leur nez et une voute céleste bleu marin remplace le bleu ciel qui avait dominé toute la journée. Son regard se posa à nouveau sur son petit fils et luis dit : « Il est tard, tu ferais mieux d’aller dormir, et ta grand-mère ne sera pas contente si quand elle revient tu ne dors pas. »

L’ enfant connaissant les points faibles de son aïeul, lui fait de gros yeux de chien battu et réussi à se faire couler une larme tout en disant : « S’il te plaaaaaaais »

Le vieil homme, décontenancé par ce qu’il voyait baissa pavillon et répondit : « Très bien, très bien, mais arrête de me regarder comme ça j’ai horreur de ça. »

Le garçon, de haut de ses 10 ans, lança un regard triomphant et alla chercher une couverture pour s’installer confortablement. « Le portrait craché de son père, qui le tient lui-même de son père » pensa le vieil homme. Il se racla la gorge et commença :

« Je vais te raconter l’histoire d’un homme, ou plus précisément d’un Dunedain, comme nous. Il a vécu… Ooooh, il est né il y a au moins 250 ans en Arnor. Son père était un rodeur et sa mère travaillait chez eux, elle s’occupait de la tenue de la maison et de l’éducation de son fils pour les dix premières années de sa vie. Celle-ci fut heureuse, le petit garçon grandit entouré d’amis fidèles et de sa famille. Mais, vint le jour où son père prit en charge son éducation. Cet homme était dur, intransigeant, mais juste. Il avait acquis beaucoup de connaissance au fur et à mesure de ses voyages, et appris à son fils le maniement de l’épée, de la dague, de l’arc, à se camoufler, comment marcher discrètement et survivre en forêt. Il lui apprit également le sindarin, et quelques rudiments en Quenian, les langues elfiques. Le jour de ses 21 ans, Teran reçus son épée, et du fabriquer son propre arc, le jour de sa majorité était venu, il avait l’âge désormais d’entrer dans la confrérie des rodeurs du nord. Pour cela, il du prononcer un serement, il du jurer de protéger les peuples libres d'Arda, c'est ainsi qu'il entra dans l'armée régulière du Gondor,

Bien que l’Angmar ait été vaincue depuis près de 1000 ans, les créatures maléfiques qui y vivaient sont toujours fort présentes dans le territoire et sur ses frontières. Une guerre permanente faisait rage entre les rodeurs tentant d’exterminer la vermine grouillante et les orcs et autres créatures, nés pour détruire. Bien vite, Teran fut envoyé au nord est, pour surveiller la frontière avec le pays maléfique. Leur Garnison composée d’une centaine d’hommes était fixée dans un petit village du nom de Formen (avant poste fictif). Les personnes qui y vivaient étaient constamment sous la menace d’une attaque orc ou même des sauvages qui habitaient dans le coin. La raison pour laquelle les habitants restaient était l’importance stratégique de celui-ci. Les femmes et les enfants des soldats permanents de l’endroit y avaient élu domicile pour être près d’un père ou d’un mari.  Ce qui servait au départ d’avant-poste entouré de mur, devint donc bientôt un hameau, puis un village.

C’est là que Teran rencontra Delnisse, une jeune femme, fille du forgeron qui tenait une place importante au sein du village. Lorsqu’il ne partait pas patrouiller, il s’assaillait sur le mur d’enceinte ou un ballot de foin près de la forge afin d’observe la jolie demoiselle vaquer à ses occupations. Etant de nature fort timide, il n’osa jamais l’approcher, juste quelques regards en coin à de rares occasions. Au fil des années, ils vieillirent tous deux, elle se maria avec un l’apprenti de son père 10 ans plus tard. Pour noyer son chagrin, Teran se concentra sur son entrainement, sur les différentes tactiques militaires à utiliser en divers occasions, c’est ainsi qu’il monta en grade pour bientôt être pris en charge par l’officier supérieur qui était lui aussi un Dunadan. Il vécu, apprenant le métier de commandant durant 40 ans.

Un jour, alors que la moitié de la garnison, composée de rodeurs gondoriens, était partie chasser un groupe d’orc aperçu la veille par des éclaireurs, une fumée noire monta dans le ciel. Celle-ci était assez loin, en direction du village. Se retournant, la compagnie rentra le plus vite possible, mais il était trop tard, la presque totalité des habitations étaient brûlées et les derniers retardataires du contingent d’orc qui était passé par la finissaient les blessés. Sur le sol, gisaient des cadavres de civils et de soldats, ces excréments d’humanoïdes avaient dû attaquer par surprise, et 100 soldats pris au dépourvus ne suffisaient pas à  contrer une attaque de 350 orcs. Teran arriva avec les éclaireurs du groupe, pris de panique, il courut vers la forge en tuant les quelques orcs sur son passage. Il entra dans la maison en flamme et découvrit le mari de Delnisse au prise avec une créature. Il inspecta la pièce autour de lui, et vit sa bien-aimée couchée par terre, commençant un long et interminable sommeil.

Fou de rage et de tristesse, il encocha une flèche et la tira dans la nuque de la créature maléfique. Dehors, il entendit la lutte entre le reste du groupe qui venait d’arriver et l’arrière garde de l’armée d’orc qui rappliquait. Il regarda le forgerons dans les yeux, attrapa une flèche orc plantée dans le sol, l’encocha et dit à l’homme devant lui : « Si tu n’as pas été capable de la protéger, tu n’as pas le droit de vivre. » et il lâcha la corde. La flèche se planta directement dans le cœur de la malheureuse victime. Celle-ci, les yeux toujours surpris du retournement de situation s’effondra les yeux grands ouvert, et partit rejoindre sa femme, dans les cavernes de Mandos.

Teran resta quelques secondes à regarder le corps de la femme qu’il a aimé pendant plusieurs années, celles-ci lui parurent des heures entières. Soudain, la porte de la forge s’ouvrit avec fracas, un rodeur entra, vit le carnage et dit à Teran : « Il faut partir, le gros de leur armée ne va pas tarder à arriver, leur arrière garde est déjà sur nous, nous devons f… » sa phrase se termina dans un gargouillement alors qu’il s’effondrait à son tour, une hache plantée dans le dos. Teran sortis de sa transe et décocha une flèche sur l’orc qui entrait dans la demeure. Il sortit en courant et vit le combat qui faisait rage dans les rues. Soudain, une corne se fit entendre, elle sonnait la retraite des rodeurs. Chaque dunedain repartit de là où ils étaient arrivés, poursuivis par les orcs. Ils seraient évidemment plus en sureté dans la forêt. Ils parcoururent plusieurs miles en direction de fornost, car bien que la cité soit en ruine, un autre avant-poste y avait élu domicile, celui-ci composé de 500 rodeurs.

Ils s’arrêtèrent près d’un cours d’eau pour compter leurs disparut ainsi que les blessés. Seuls 75 étaient encore un état de se battre, et 20 manquaient à l’appel. Bien que Teran ne soit pas blessé physiquement, il l’était intérieurement. Il s’en voulait de ne pas avoir été la pour la sauver, d’avoir tué le forgerons par simple jalousie et d’avoir fait tuer un de ses frères d’armes. Des tenant la tête entre les deux mains, une larme coula le long de sa joue, il l’essuya bien vite avant que quelqu’un ne la remarque. Parmi les blessés, l’officier de la garnison, celui-ci avait été porté par deux soldats qui désormais, exténué, ne pouvaient plus le tirer. Il était trop tard pour lui, à l’agonie, ses derniers ordres furent de rejoindre la garnison de Fornost et de reprendre l’avant-poste perdu. Teran s’approcha de lui, et il lui fut remis l’écusson tenant la cape de l’officier, symbole de son grade. C’est ainsi que Teran partit à la tête du groupe, en direction de l’ancienne capital.

Arrivés sur place, il se présenta devant le commandant de cette garnison pour lui expliquer la tragédie qui c’était produite, et les derniers ordres de feu son supérieur. Le commandant étant plus haut gradé que lui, l’empêcha de reprendre le village perdu. Car une nouvelle menace faisait surface, les orcs avaient été vu en nombre se déplacer à l'intérieur des terres du rohan et plusieurs attaques des pirates avaient déjà étés contrées. Beaucoup de soldats étaient donc rappelés du Nord pour aller au sud et les petits avants postes n'étaient donc plus à prendre en compte. De plus, certaines régions à risque, plus importante que l'Arnor étaient souvent menacées, telle que l'ithilien. il était donc primordial de faire revenir des troupes afin de conserver ces territoires. Etant obligé d’accepter, il se jura néanmoins un jour d’aller libérer le village, à la tête de ses compagnons. »

Soudain, une voix de vieille femme, mais puissante cria : « Ren, tu n’as pas honte de raconter une telle histoire à ton petit fils avant qu’il aille se coucher. Il ne pourra pas dormir de la nuit à cause de toi ! » En effet, Teran vit dans le regard de son petit-fils une certaine crainte, mais également une certaine envie de connaitre la suite, il répondit : « Oui mimine, tu as raison, je n’aurais pas dû. » Mais il ajouta en chuchotant dans l’oreille de son petit-fils : « Mais ceci n’est que le début désastreux d’une grande aventure pleine de surprise et de rebondissement. Si tu veux, je te raconterai la suite, mais pour l’heure va dormir. »

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Et voilà, je t'ai tout dit à présent. J'espère que tu t'amuseras bien parmi nous, Teran... En espérant que tu survives en Terre du Milieu !