[Flash Back] I guess this is where it all started...

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Aedan & Destan

«Keep love in your heart. A life without it is like a sunless garden when the flowers are dead.»

Edoras … Il n’y avait pas bien longtemps, qu’il y était arrivé. Une nouvelle aventure se présentait à lui, en de nouveaux lieus, en de nouvelles terres. En fait, il n’y avait mis le pied que la vieille, revenant d’un long voyage, accompagné de quelques mésaventures. Il avait d’ailleurs encore quelques restes des marques pas encore complètement guérir. Rien qui ne puisse le déranger… Pas comme s’il n’avait pas l’habitude. Il ne se souvenait pas de la dernière fois ou sa peau et son corps n’avaient pas eu la moindre marque… Peut-être lorsqu’il était jeune enfant? Ce moment de sa vie qui lui était si loin derrière. Désormais mémoire devenue floue… Le lieu où il avait grandi, les visages de ce couple, ses parents… Commençait peu à peu à disparaître. La faute de la vieillesse ou du temps peut-être… Cela allait faire après tout, une bonne éternité que tout ceci était désormais derrière lui… Combien de temps? Il l’ignorait… Ayant abandonné cette idée de compter. Oublier…. À même son âge, la date de sa naissance… Et cette idée de chercher à comprendre ce pourquoi il lui prenait autant de temps avant de prendre des rides… Pas que cela le dérangeait tant d’avoir encore sa chevelure brune sans le moindre poil blanc, d’avoir encore sa jeunesse, sa vivacité. Alors qu’en temps normal il serait surement mort, ou alors canne à la main.

Enfin bref… Un peu courbaturé de ses derniers jours passés il s’était dit quoi de mieux que de prendre quelques jours de repos… Une petite pause d’aventures plus dangereuses, pour un moment de paix et de repos. C’était bien en cette soirée, qu’il avait fait la rencontre d’un maladroit. De l’alcool sur ses vêtements, il s’en serait bien passé. Sur ses blessures aussi. C’est que ça piquait hum. Mais bon, en voilà un qui avait su se faire racheter et gagner sa place à ses côtés pour une bien meilleure soirée. Il pouvait remercier son côté peu rancunier, son côté facile à vivre. Car il se trouva qu’une bonne rencontre se présenta à lui.

Et peut-être… Aurait-il la chance aujourd’hui de revoir ce joli visage? Il comptait bien rester en ces lieux pendant un moment, qui sait combien de temps. Et pour l’instant, il se promenait, il visitait les lieux à la recherche de tout comme de rien. Enfin peut-être pas tant que cela. Seulement en profitait-il pour observer le temps de sa quête. Qui ne consistait qu’à trouver une forge… Ses pauvres armes, vachement abîmées par un dernier rude événement… Elles avaient bien besoin de se faire remodeler un peu! Mais voilà, il cherchait et cherchait, ne sachant même pas pourquoi il s’obstinait à tenter de lire les écriteaux. Un peu trop orgueilleux pour demander son chemin, ne se fiant qu’au nom qu’on lui avait donné. Il passait pour un perdu, ne sachant pas, passant les portes, plusieurs fois dans le même endroit sans jamais s’y trouver.

Oh génial. Cela devait bien faire plusieurs fois qu’il passait devant sans même sans rendre compte. Trop dans sa bulle pour ne se fier à quoi que cela d’autre qu’à ses yeux. Inconscient du nombre de fois qu’il avait bien pu passer devant la source de sa quête… Oh ça va… Il était d’autant plus honteux de ne pas savoir lire quoi que cela soit, qui aurait pu l’aider à s’y retrouver. Au lieu de quoi, il laissa tomber pour le moment, lui et son air perdu, restant planté non loin…

Codes par Wild Hunger.

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— to ask you something really special.

« Then I feel you close, feel you close like you wanted me to, feel you close like you wanted me to... Believe in you. Don't you hold back. I can see in your mind, and your mind will set you free. And I feel you close, like you wanted me to believe in you.•• Aedan&Destan »

Un quotidien plat et lent, c’était ce que vivait Destan depuis plusieurs années maintenant. Rien d’inattendu ne se produisait, aucunes rencontres totalement fortuites… Il partageait son temps entre la forge de son père, l’aidant avec les matériaux, ou même en prenant quelques commandes que son vieux paternels ne pouvait réussir suite à la tonne de travail qui le fatiguait trop, et ses livres et écrits, livres d’ailleurs qui étaient souvent rapportés de la part de sa très chère mère. Dans ces cas là, il se trouvait une belle petite place au soleil, sur une muraille ou en hauteur, s’évadant ainsi pour plusieurs chapitres d’aventures, d’amour et de vengeance. Nombreuses sont les fois où il rêvait de devenir le héro de ses romans, ces mecs au brushing parfais, au visage magnifique et au courage aussi fort que le cœur d’un lion. Mais malheureusement, ce n’était que des pensées irréelles qui, si cela continuait ainsi, n’arriverait jamais à aboutir. Il faut dire que pour rêvasser, Destan était fort, mais lorsqu’il s’agissait de se donner un gros coup de pied dans le popotin pour se bouger et essayer de changer, là, il n’y avait plus personne. Il est le genre d’homme qui a constamment besoin d’un appui, un appui très fort et très motivant, sinon il n’arrivait pas à progresser et s’améliorer, voir même changer, comme il le souhaite depuis toujours. Enfin bon. Peut-être qu’un jour, je dis bien peut-être, il y arrivera. En attendant, il restait comme il était et dans un sens, il était très bien comme ça.

Mais en parlant des rencontres fortuites, je dois vous avouer que ce n’était pas vraiment exact. Il avait rencontré, par hasard et la veille d’aujourd’hui, un bel homme au nom qui lui était inconnu, en lui renversant un peu de sa boisson en se faisant bousculer par deux bougres qui se battaient. Pour se faire pardonner, il lui avait offert une autre pinte, et s’était sagement assis à ses cotés pour parler, avant d’être fasciné par ses récits. C’était un nomade, un homme de voyage qui avait vécut plein d’aventures ; d’ailleurs, cela se voyait très bien étant donné qu’il avait pas mal de blessures sur le corps. En une soirée, il apprécia la compagnie de cette personne dont il ne connaissait pas l’identité car il avait tout bêtement oublié de lui demander son nom. Il aurait aimé discuter un peu plus, histoire d’en apprendre encore sur les contrées de la terre du milieu bien qu’il aurait été capable de pâlir sous l’effroi, rien qu’en imaginant les aventures palpitantes que l’homme avait connu, emplies de monstres et d’autres créatures terrifiantes. Il l’avait quitté un peu plus tard : il ne pouvait se permettre de rentrer dans la nuit étant donné que le lendemain, il devait se rendre aux aurores à la forge afin d’aider son paternel, à nouveau. Et il ne le revit pas la matinée, ce qui étrangement le déçu un peu au fond de lui.

Donc, nous voilà en cette magnifique journée au soleil haut dans le ciel et à la température chaude et sèche. Habillé d’une chemise couleur terre et d’un pantalon noir et de sa taille, un tablier par-dessus ces fameuses couches, Destan travaillait à la forge, s’occupant de ranger quelques outils avant de se mettre à continuer le travail que son père n’avait pas fini : forger le reste d’épées, d’outils et d’objets appartenant à des gens qui en avaient besoin. Il n’était pas particulièrement amoureux de la forge, mais c’était de son devoir, en tant que fils, d’apprendre cet art beau et subtil malgré les apparences. Enfin bref, terminant de forger le reste d’une épée qui avait été malencontreusement brisée, il la mit dans le bassin d’eau froide afin de la terminer comme il se devait, avant de l’accrocher, retirant ses gants avant de s’essuyer le front du dos de la main, légèrement en sueur. Toujours à coté d’un four était vraiment épuisant, surtout vêtu comme il l’était ! Il retourna à l’entrée de la forge, allant saisir quelques autres armes qu’il avait posé là, dans l’idée de les rentrer, mais se stoppa quand son regard se posa sur une bouille qu’il avait déjà vu auparavant.

« — Oh, mais vous êtes... Ah, tien, comme on se retrouve ! Que venez vous faire ici ? »

Dans un sens, la question était un peu idiote. Le voir, comme ça, planté devant la forge… C’était qu’il avait besoin d’y aller. Mais il préférait attendre pour écouter sa réponse, s’adossant gentiment aux gonds de la porte tout en fixant le bel homme, les sourcils haussé, l’air doux.

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Il dû bien se mettre en mode réflexion, tentant de voir dans son esprit, les possibilités qui s’offraient à lui. Piller sur son orgueil et demander un guide ne semblait pas être une option, tout simplement car il n’aimait pas ainsi poser ce genre de question. Il avait cette impression que sa grande débrouillardise allait en être affectée. Tout comme cette image qu’il projetait. Un grand voyageur, qui ne savait pas retrouver son chemin. Enfin, tout ceci était bien banal, mais il y a de ses moments où il ne fallait pas tant chercher à le comprendre. Son caractère obstiné qui l’empêchait d’avancer… Il en était bien conscient malgré tout.

Mais voilà que peut-être, une aide lui vint presque naturellement jusqu’à lui. Une force invisible qui eut peut-être pitié de lui et qui lui donna ce petit coup de pouce. Communément appelé une pincée de destin. Ce jeune homme, il l’eut bien vite reconnu. Son visage bien familier, son nom toutefois inconnu. Et les voilà se recroisant, peut-être un peu plus tôt qu’il ne l’aurait imaginé. Rien qui ne puisse lui déplaire, bien au contraire, si ce ne fut pas ce petit sourire en coin qu’il afficha à sa vue. N’avait-il pas passé une bonne soirée la veille après tout? Il lui offrit un hochement de tête en salutation, un peu aussi en forme d’appui. Pour ainsi dire, eh oui, c’était bien lui.

Toutefois à cette question, son air changea quelque peu pour cette forme de malaise, de gêne. Cette pointe de honte qui faisait son apparition… Il tentait du mieux qu’il le pouvait pour la faire fuir… Mais bon, il y a de ses signes qui ne mentent pas. Tel que regarder un peu partout sauf le jeune homme. Et il cherchait ses mots, surtout. Une phrase complète, il semblait avoir oublié en cet instant comment cela se faisait, fonctionnait.

« Huh bah… Rien de….particulier… »

Hum oui, évidemment. C’est que décidément, il se refusait même d’avouer et d’accepter cette forme d’aide qui lui était ainsi offerte. Enfin du moins, pour le moment. Il ne laissa que quelques secondes en suspens, semblant réfléchir pendant ce temps. Sa raison ayant enfin gagnée le combat, il regarda enfin droit devant lui, devant quelque peu relever la tête pour croiser un peu mieux ce regard posé sur lui.

« Enfin presque… Il se pourrait… Que cela fasse un bon moment que je …Cherche une forge? Vous n’auriez pas une indication à… Me donner? C’est qu’il se pourrait que mes armes aient besoin de se faire quelque peu rafistoler. »

Oh bon, si, il tentait quelque peu de malgré tout, changer le sujet parmi sa question. Ou simplement, faire partir cette émotion indésirable qui le prenait et se concentrant sur autre chose que la perte de son chemin, la stagnation de sa petite quête…
Codes par Wild Hunger.

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— to ask you something really special.

« Then I feel you close, feel you close like you wanted me to, feel you close like you wanted me to... Believe in you. Don't you hold back. I can see in your mind, and your mind will set you free. And I feel you close, like you wanted me to believe in you.•• Aedan&Destan »

Destan fut surpris de lire une certaine gêne sur le visage de l’homme un peu plus loin. Qu’y avait-il de si embarrassant ? S’était-il tout simplement perdu, ou quelque chose dans ces eaux là ? Après tout, il fallait dire que le ranger était de passage à Edoras, et qu’en plus il venait tout juste d’arriver. Donc, rien d’étonnant à cela en fin de compte. Mais, ne savait-il pas lire, ou même aborder des gens pour demander son chemin ? Destan ne se posa pas plus la question en entendant la première réponse de l’homme. Il semblait être du genre fier, à ne pas demander d’aide en mode « je sais comment faire, je suis fort et j’ai besoin de personne ». Pourquoi la plupart des hommes —voir même des femmes ? — étaient bien souvent trop fiers ? Alors qu’une seule petite question permettrait de se sortir de l’emmerde dans laquelle on était… Au pire, ils n’avaient qu’à se dire qu’ils ne reverraient jamais la personne qu’ils questionnaient à propos de leur route, s’ils avaient peur des moqueries. Mais il semblerait que cette catégorie de personnes soignait le regard qu’il donnait aux gens autour d’eux. Cela se comprenait dans un sens, Destan rêvait d’être bien vu de partout, tel un dieu, enfin non, plutôt un héro, oui, voilà. Un héro. Mais, changeons de sujet. Destan haussa ses sourcils, observant le monsieur qu’il avait rencontré l’autre fois. Ce dernier releva une seconde fois son regard pour fixer les yeux bleus et translucides du jeune apprenti forgeron, ce dernier le regardant toujours attentivement.

Mais quelle fut sa surprise en entendant la deuxième sentence de l’homme. Il cherchait la forge, apparemment. Comme c’était… Amusant ? Destan écarquilla les yeux, clignant ceux-ci bêtement, comme s’il venait d’entendre une blague de très mauvais gout. Se… moquait-il de lui ? Enfin… Il y avait quand même…

Destan leva lentement son regard, regardant la pancarte en hauteur, planté dans le bois de la poutre, avec un symbole d’enclume, de marteau, et écrit en belle lettres ouvragées « Forge ». Heum. Il ne savait vraiment pas lire alors ? Possible, fortement possible. Mais quand même, il y avait des symboles qui rappelaient les principaux matériaux qu’utilisait un forgeron, quand même… Alors soit il le faisait exprès, soit il était… Pas doué. Débile ? Ou fatigué. Bref, notre jeune poule mouillée regarda à nouveau l’homme. Destan n’était pas méchant, il ne jugeait jamais en général, donc se contenta de papillonner des yeux avant de plisser légèrement ceux-ci.

« — Auriez-vous besoin de mon aide, donc ? »

Phrase qui voulait faire passer un message très très clair. Il regarda d’ailleurs rapidement la pancarte, à nouveau, puis l’homme, lui souriant gentiment, pour ne pas rire. Après coup, il trouvait ça très drôle, et surtout, très craquant. Bah, oui. Comment dire, cet homme lui avait bien plu hier, et aujourd’hui, le voir en mode tout paumé tout perdu, ça ne pouvait l’empêcher de le faire fondre au fond de lui. Cœur d’artichaut, Destan avait tendance à s’accrocher vite à quelqu’un si ce dit quelqu’un le touchait. Là, le mystérieux ranger avait quelque chose d’attachant, et le blondinet l’avait bien remarqué, s’accrochant à cela.

Il reprit un air sincèrement gentils et doux, croisant les bras, fixant dans le blanc des yeux l’homme et ce dans un sourire à demis amusé par la situation.

« — Par contre, je suis désolé mais ce sera payant. Enfin, je peux presque vous faire un prix en fait, je dois avouer que je vous ai trouvé fort sympathique hier. Vous ne m'avez même pas donné votre nom ! »

Remarque, Destan non plus n’avait pas dit comment lui-même s’appelait, donc ils étaient tout deux des têtes de moineaux. En tout cas, ce qui était sûr, c’était qu’il l’appréciait. Il était timide de base, et la phrase précédente avait un petit fond d’vœux sur les pensées qu’il avait envers le rôdeur… mais il était bien trop innocent pour se rendre compte lui-même de ses propos, sans quoi il aurait surement rougit, bêtement.

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Oh oui, il y tenait à sa fierté de mâle. Convaincu au plus haut point qu’il était un grand débrouillard, qui n’avait besoin de personne. Et encore moins pour demander son chemin. Un grand voyageur qui ne savait pas s’y trouver… De quoi aurait-il l’air? Il perdrait toute crédibilité, et surtout, laisserait croire au pire des défauts qu’un aventurier ne puisse avoir. En l’occurrence, un bien piètre sens de l’orientation. Chose qui n’était pas du tout le cas. Mais décidément, c’était soit cela, soit avouait-il dans un certain sens, qu’il était certainement le pire des prototypes en ce qui concernait l’analphabétisme. Il ne savait même pas écrire son propre nom, ne sachant pas imaginer ceux qu’on lui disait. Il savait toutefois lire les images évidemment. Mais bon, son obstination et son entêtement lui avaient décidément fait perdre cette autre alternative de se fier aux dessins des écriteaux.

Il en payait désormais le prix, et ô combien le savait il en voyant cet air changé sur les traits de son interlocuteur. Il crut y lire un certain étonnement, un certain doute face à ses derniers dires. Aedan suivit son regard, se dirigeant ainsi vers cette chose qu’il semblait avoir manquée. Qui pourtant était franchement flagrant maintenant qu’il le réalisait. Oh mais que voyons-nous? Si ce n’était pas sa honte un peu plus ravivé, mélangé à cette gêne, mélangé à ces quelques douces teintes de rosés qui eurent fait leur apparition sur les joues de l’homme. Il venait fraîchement de se ridiculiser, de s’humilier lui-même… Et le voilà désormais convaincu des jugements de l’autre, qu’il y en ait réellement eu ou pas. Mais voilà qui lui offrit tout de même cette porte de sortie, pour ainsi faire mine qu’il ne lui avait pas demandé on chemin, vers une forge quelconque. Plutôt… Son aide oui.

« Huh… Oui. C’est cela… »

Ses traits redevinrent un peu plus à la normal au fil des secondes, pour laisser place à cet air semi-boudeur en fait. Il aurait préféré ne pas y voir ce sourire sur les lèvres de l’autre. Ne lui donnant que cette envie de lui dire : « Oh ça va…. Je ne vous ai rien demandé, vous n’avez rien entendu, pas la peine d’en rajouter... ». Bien entendu, le silence fut, et pour une fois il ne se laissa pas gagner par son côté grognon. Tout simplement car le jeune homme n’avait pas à payer pour son humeur. D’autant plus qu’il lui offrait son aide. Car après tout, on ne crache pas dans la main qui vous est tendue. Surtout si tous deux avaient bien sympathisés la veille, et avaient créé ce début de petit lien amical.

« Oh ne vous en faites pas, j’ai de quoi payer. »

Le voilà qui sortait sa bourse en guise de preuve, affichant enfin ce petit sourire. Le changement de sujet l’obligeait. Tout comme cette drôle de réalisation qu’effectivement, tous deux ignoraient le nom de l’un et de l’autre. Cocasse… Car ils avaient tout de même bien discuté au cours de cette dite soirée.

« Sentiment partagé.»

Son sourire se vit un peu plus agrandi, alors qu’il se permit cette petite mise en scène pour ainsi se présenter. D’une bien légère révérence, le jeune blond ayant droit à la fois à l’homme, à la fois au serviteur de tous genres.

« Aedan Deldaceth pour vous servir… Et vous êtes…? »

Codes par Wild Hunger.

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