Hirilhorn [fiche validée]

NOM&PRÉNOM ▬ Helevorn ("Verre Noir", donné par son père), Hirilhorn  (par sa mère et qui signifie "Arbre de la Dame"). SURNOM ▬ Helinyetillë ("Pensée" la fleur, c'est le surnom qu'on lui a donné). ÂGE ▬ 1939 ans. PATRIE, RACE ▬ Galadhrim d'ascendance Noldor   LIEU DE NAISSANCE ▬ Lorien. RANG SOCIAL ▬ Humble PROFESSION ▬ Garde de Lorien.  SITUATION AMOUREUSE ▬ Célibataire. POUVOIRS ▬ Dons prophétiques qui se manifestent par des intuitions et des certitudes inexplicables lorsqu'il se concentre à écouter les bruits de la nature et plus particulièrement le souffle du vent au creux de ses oreilles.

VOTRE PHYSIONOMIE ▬ Taille, poids, silhouette, yeux, cheveux ...
Pour parler de sa physionomie, parlons en premier lieu de sa silhouette. Celle-ci est plutôt élancé. Sans doute en raison du fait qu'il était une personne d'une bonne taille (1m89) avec un poids de 87 kilos. Ce poids est dû à sa masse musculaire qu'il a pu développé durant toute les années qu'il a passé à s'entraîner. Malgré cela sa musculature a toujours été relativement fine. De ce fait, même en s'entraînant, celle-ci restait fine. Tout ce qu'il avait pu faire était d'accentuer la courbure de ses traits entre ses muscles, la rendant un peu plus visible qu'elles ne l'étaient déjà. La couleur de ses cheveux sont noirs, comme ceux de ses parents. La longueur de sa chevelure va jusqu'au haut de ses omoplates. Ils sont toujours rebroussés en arrière et relativement bien coiffé. Sauf lorsqu'il combat.

Les yeux bleus qu'il a son très clair et assez expressif quand aux sentiments qu'il pourrait avoir.
VOTRE STYLE VESTIMENTAIRE ▬ Hirilhorn avait quelques effets en matières de vêtements elfique. Mais aucun ne sortait plus de l'ordinaire plus qu'un autre. Enfin, pour ceux qu'il avait l'habitude de mettre en tout ca. Car oui, il avait des tenues beaucoup plus léger que son armure elfique, mais il ne le mettait presque jamais. La couleur la plus souvent dominante dans ses tenues était le vert. Mais jamais le même vert. Bien qu'il aimait plus le vert forestier, il en mettait parfois avec des nuances plus sombre ou plus clair. Tout dépendra surtout de son humour du jour.

Néanmoins, vous le verrez le plus souvent en tenue de garde avec son armure sur son buste au dessus de sa toge vert forestier. De plus, il met des gantelets en cuir afin de se protéger lorsqu'il devait utiliser l'une de ses armes. Mais le fait est aussi que la protection que cela lui apportait était comme un gain de sécurité pour lui. Si bien qu'il choisissait le plus souvent de le mettre en tout temps.


VOS PARTICULARITÉS ▬ Aucune à dire pour le moment.

VOTRE CARACTÈRE ▬ Bien qu'il ne souhaite pas forcément le montrer, Hirilhorn est, malgré lui, quelqu'un de charismatique. Que ce soit par la poésie qu'il peut dire ou bien par sa prestance qu'il dégage. Il est et a toujours été une personne d'un grand calme. Il a tendance à s'enerver lorsqu'on fait allusion à son amie d'enfance ou lorsqu'il s'isole par moment.

Pourtant, Hirilhorn a un côté destructeur en lui. Côté qu'il arrive à canaliser par ses passions qu'il a et surtout lors de ses entraînements où sa rage s'évacue le plus souvent. Bien qu'il pourrait être plus locace, Hiri ne l'ai pas ou très peu. Il préfère de loin la vie qu'il mène en solitaire, cependant, cela ne l'empêche pas de montrer de la bonne humeur lors des fêtes ou évènement. En faisant ainsi, il a moins de chance de s'attacher et donc de souffrir. Cependant, il est une personne attentionné et respectueuse sur beaucoup de point. Notamment les fêtes ou la hiérarchie. Il adore les fêtes et lorsque cela était le  cas, il souriait de bon coeur.

Hiri ne le dit pas forcement, mais dans les mots qu'il pourrait dire se cache de la subtilité bien dosé. Et parfois même, il lui arrive de dire des choses subtile sans le savoir. Toutefois, si jamais vous venez le voir alors qu'il a son cyclone dans la tête, gare à vous. Il a encore besoin de contrôle dans ses moments pour retenir sa rage et le plus souvent, il manie des armes pour se calmer. Mais, il ne peut contrôler ses moments. Cela est dû à son don prophétique.

De plus, par moment, il est plus perdu que d'ordinaire et cherche un point d'ancrage pour l'être moins. Mais il n'y arrive tout simplement pas.
CE QUE VOUS AIMEZ ▬ Il apprécier la tranquillité, le vent, la poésie, les fraises des bois ainsi que les fêtes.
VOUS AIMEZ FAIRE LA FÊTE, BOIRE, MANGER ▬ il aime faire la fête, boire ou manger. Cependant, étant en proie à un coeur meurtri, il reste en retrait et préfère être éloigné des gens. On pourrait dire que les fêtes est l'un des seul moment où il arrive à sourire et rire de bon coeur.
AVEZ VOUS DES PASSIONS DANS LA VIE ▬ La harpe et les chants poétique, la littérature ainsi que les langues. C'est une chose qu'il apprécie et qui arrive à le calmer.
AVEZ-VOUS UN BUT DANS LA VIE ▬ Son but est de réussir à réparer son coeur qui est meurtri et de savoir pourquoi.
CE QUE VOUS DÉTESTEZ ▬ S'attacher ou se lier aux personnes, cela fait trop souffrir. Les orcs, Son don prophétique
PROFITEUR OU DÉBROUILLARD ▬ Bien qu'il ne l'avouera jamais il a trop longtemps par le passé été se reposer sur des gens. Mais aujourd'hui, il mène une vie de solitude dans les bois de la Lorien dans le but de se trouver et de savoir ce qu'il doit faire.
SUR QUI POUVEZ VOUS COMPTER EN CAS DE PROBLÈME ▬ Sur personne. Jamais il ne demandera de l'aide à qui que ce soit. Sa fierté et sa solitude l'empêcherait de faire la part des choses.
COMMENT RÉAGISSEZ-VOUS FACE AU DANGER ▬ On fuit et on réplique. Un stratagème permettant de survivre plus longtemps et d'avoir moins de poursuivant.
UN SECRET QUE VOUS GARDEZ ▬ PAr le passé, il s'était trop attaché à une personne sans le savoir et lorsqu'il est parti, son coeur a été détruit. Il n'espère plus rien de la vie, bien qu'au fond de lui une étincelle brûle encore de mille feux.
QU'EST-CE QUI VOUS FAIT HONTE ▬ Ce qui lui fait honte et d'avoir pu se lier autant en amitié avec une amie d'enfance et d'avoir eu le coeur en lambeau.
QUEL TYPE D'ARME AVEZ-VOUS ▬ D'une lance et d'un arc. Il sait parfaitement s'en servir.
QUELLE EST VOTRE PEUR ▬ Le peur de l'amitié. Hiri s'attache trop vite s'il se lie d'amitié et il a peur de souffrir encore et que son coeur ne soit détruit plus qu'il ne l'ai déjà.

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VOUS ET LA TERRE DU MILIEU ▬ Hiri n'a que faire de ce qu'il peut se passer en dehors de la lothlorien. La protection de la forêt est tout ce qu'il a, tout ce qu'il souhaite et tout ce qu'il mérite pour le moment. Il a déjà vaincu des créatures étranges qui semblait selon lui apparaître de plus en plus. Sans compter les orcs qui s'aventuraient par moment et qu'il achevait par son talent à l'arc ou à la lance. Il n'était pas question pour lui de laisser qui que ce soit pénétrer dans cette forêt. Et si jamais il se devait de quitter la lothlorien, alors c'est qu'une personne aura su le toucher par les misère qu'il pourrait subir, lui et son peuple. Mais Hiri continuait de souffrir qu'il était assez têtu pour écouter qui que ce soit hormis les nobles elfes qu'il servait.

Naissance et deuil:

Voilà bientôt presque deux millénaires qu'il a vu le jour. Bon, il lui restait encore un peu plus d'un demi-siècle avant que cela ne devienne le cas, mais bon. Quoi qu'il en soit, il est né d'une union de deux elfes galadhrims et est enfant unique. Par ailleurs, des amis à ses parents avaient donné eux aussi naissance à un enfant, mais une fille le même jour qu'Hiri. Comme ils espéraient, ils sont vite devenus amis et Hiri s'amusait énormément avec Erydrin. Elle était comme sa jumelle. Bien qu'ils étaient de parents différents, il la voyait comme sa petite soeur qu'il voulait impressionner.

Hiri passait de nombreuses années, insouciant du monde l'entourant, s'amusant avec Erydrin en partageant énormément de moment de bonheur avec elle. Et lorsqu'il ne se trouvait pas avec elle, ses parents lui enseignaient l'art de la poésie et de la littérature. Sujet qui passionnait Hiri depuis qu'il avait entendu un poème d'un elfe. Ses parents lui avait trouvé des personnes pour lui enseigner tout cela ainsi que la linguistique. Chose qui ne cessait de le passionner encore et encore. Pourtant, il appréciait encore plus les moments qu'il passait avec son amie Erydrin.

En un demi-siècle d'existence Hiri avait beaucoup appris. Que ce soit sur les langues, la poésie ou bien d'autres choses. Cependant, il ne s'attendait pas du tout au fait qu'elle puisse partir du jour au lendemain alors qu'il s'était autant attaché à elle. Cela avait été une déchirure pour lui. Si grande que son coeur se retrouvait déchiré de mille et une façon possible. Si ce n'était plus encore... Jamais il n'aurait pensé s'être autant attaché à Ery alors qu'il n'avait que 51 ans. Et bien qu'ils s'étaient faits la promesse de se revoir avec le sourire avant qu'elle ne s'en aille, Hiri avait vraiment mal au coeur. C'était une amitié si forte, si fusionnel, qu'il perdait une grande partie de lui en la voyant disparaître au loin.

Durant des jours entiers, Hiri était inconsolable et il ne voulait rien manger. Néanmoins, Hiri continuait d'étudier en se remémorant les moments passer avec Ery. Sans elle il était perdu et ne savait pas trop ce qu'il pouvait valoir. Elle était sa moitié et il ne pensait pas que s'attacher autant à une amie puisse faire autant souffrir. Il se jura dans les jours à venir de ne plus s'attacher à qui que ce soit. Hiri n'oubliait pas pour autant sa place ou même la promesse qu'il lui avait faite. En fait, s'était s'en doute la seule chose qui faisait qu'il tenait encore à elle. Cela et aussi le fait qu'il ne savait pas trop la raison du fait qu'il est autant souffert.

Mais le pire était à venir... Diamarth, la mentor d'Ery annonçait à tout le monde à son retour, qu'Ery ne s'était pas remise de la perte de ses parents. Et lorsqu'elle était venue voir Hiri qui était en train d'étudier, il lâchait sa plume en tremblotant. Ainsi, elle allait vivre chez les humains et avait oublié leur promesse. Elle avait osée préférée vivre avec des êtres humains plutôt que de tenir sa promesse. Cela le déchirait encore plus qu'avant. Il avait perdu complètement l'étincelle le rattachant à elle. Ou pour être exact, il le cachait et ne le montrait plus. L'espoir qui l'animait encore avait disparu de ses actes et ses paroles.

Depuis lors, Hiri rentrait en période de deuil et son caractère changeait petit à petit pour une personne de plus en plus solitaire s'ouvrant peu aux autres. Malgré tout, il continuait de lire, étudier la linguistique ou la poésie. Mais le moindre petit détail pouvant lui rappeler Ery ne l'enchantait pas du tout. De plus, il prenait cela très au sérieux. Plus il entendait parler de choses pouvant lui rappeler Ery plus son deuil était difficile. Il lui fallut attendre de longues années avant que son deuil ne soit fini. Certaines personnes l'avaient aidé à surmonter ce deuil. Notamment des personnes de la garde qui cherchait à lui changer les idées en l'emmenant parfois avec eux. Et ce n'était qu'en 1099 du troisième âge qu'il réussit à faire son deuil. Hiri avait à ce moment-là, 97 ans.

Passion et solitude:

Hiri passait des années à se cloitrer chez son petit chez lui où il logeait à l'orée du village et ce dans l'unique but d'être seul. Mais c'est surtout qu'il recherchait la sérénité à la solitude et trop de choses dans le village lui rappelait des moments passés avec Erydrin. Il s'acharnait à étudier la poésie et la linguistique. Mais cela n'était plus suffisant pour lui. Au point qu'après quelques siècles, il décidait d'étudier les arts militaires, en commençant en premier lieu à savoir utiliser et maîtriser un arc. Certains gardes étaient réticent de l'accueillir, mais grâce à ceux qu'il voyait et qui l'avait aidé lors de son deuil, ce malaise passait rapidement.

En le voyant s'améliorer aussi rapidement dans les arts militaires, Hiri surprenait plus d'un garde. Et bien qu'il y en avait toujours qui n'arrivait pas à l'accepter, au fil des entraînements qu'il faisait et des combats qu'il engageait, Hiri se trouvait être une personne digne de confiance. Les gardes ne l'appréciant pas, acceptaient le fait qu'il s'améliorait. Et ils espéraient qu'il continuerait à évoluer dans le bon sens. Hiri se surprenait même lui-même en appréciant ce métier au plus haut point. Pas autant que la poésie ou la linguistique, mais cela l'aidait tellement à canaliser sa rage qu'il n'aurait pas pu espérer mieux.

Il continuait d'étudier afin d'être encore meilleur qu'il ne l'ait. Il se penchait d'ailleurs un peu plus sur les dons prophétiques par moment. Le fait que son don prophétique survienne quand bon pouvait lui sembler ne l'aidait guère. Si bien qu'il en vient à étudier tout ce qu'il y avait à savoir sur les dons de prophètes et les prophètes eux-mêmes. Le savoir est une force qui allait surement lui permettre de surmonter ce qu'il vivait.

La façon dont il avait de voir le monde changeait un peu en apprenant le maniement de l'arc. Mais rapidement, cela ne lui suffisait plus. Si bien qu'il finit par choisir d'apprendre le maniement d'une arme plus lourde, la lance. Grâce à cela il pouvait défouler sa rage et tout son ressenti dans son arme. Hiri ne le cachait pas aux gardes afin qu'il n'en vienne à blesser personne. Le fait qu'il montrait sa rage l'aidait à extérioriser ses idées noires. Bien qu'il ait fait le deuil il y a des années de cela, intérieurement, il souffrait toujours. A tel point qu'il y passait une grande partie de ses journées pour être apaisé un maximum. Et ne pouvant pas sans passer, il se déchargeait continuellement chaque jour pour se sentir mieux.

Prenant de plus en plus de plaisir à manier des armes et aux arts militaires dans sa globalité, il décidait  d'entrer dans la garde de la Lorien. Cela lui permettait d'aller partout dans la forêt en faisant des patrouilles, chasser les intrus, ramener ce qui intéressait la dame qu'il servait (Galadriel). Ce métier lui convenait vraiment et bien qu'il ne le montrât pas tout le temps, il appréciait les moments passés avec les gardes. Mais il avait ce besoin aussi en lui d'être seul. Durant des siècles et des siècles, il ne cessait de surprendre ceux avec qui il patrouillait. Et bien qu'on lui proposât des promotions pour avoir un meilleur rang, il refusait catégoriquement de façon poétique. Cela était surtout dû au fait qu'il avait des impulsions de violences et de rage. Et, selon lui cela ne convenait pas à quelqu'un possédant un plus au rang. La garde lui a permis de tirer des leçons comme le fait de ne pas ce renfermer sur lui-même. Et bien qu'il le soit toujours un peu, il s'ouvrait petit à petit aux autres.

De plus, il ne se sentait pas être quelqu'un qui pouvait diriger qui que ce soit. Son coeur, son âme ne méritait plus rien selon lui. Il avait tout perdu par le passé et il ne le montrait pas. Peu lui importait si des dames de la lorien pouvaient s'enticher de lui ou non. Pour le moment, il se complaisait à être avec ses connaissances et continuer d'étudier ses passions. Ce qui était peu de choses, mais suffisamment pour qu'il puisse être satisfait de lui. Jamais jusqu'à aujourd'hui il n'avait songé à quitter ses terres. Et il ne voyait pas par ailleurs, la raison pour laquelle il le ferait aujourd'hui. La Lothlórien était tout ce qu'il méritait.

Presque deux millénaires s'était écoulé depuis sa naissance et il était redouté en tant que manieur de lance et d'arc. Personne ne contestait ce point et les gardes l'appréciaient maintenant de l'avoir parmi eux, même ceux étant réticent par le passé. Hiri pouvait rester de très long moment tout seul à méditer, penser, réfléchir à son avenir ou à ce qu'il aurait pu faire. Mais surtout, il cherchait à connaitre davantage de choses sur son fameux don prophétique. La vie n'était pas simple pour un elfe de 1939 ans en ayant subi autant de souffrance intérieure et le subissant encore aujourd'hui. Mais si on avait besoin de lui, il serait là.

   
   

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   Et voilà, je t'ai tout dit à présent. J'espère que tu t'amuseras bien parmi nous, Hirilhorn... En espérant que tu survives en Terre du Milieu !