Elrohir [fiche validée]

NOM&PRÉNOM ▬ Elrohir SURNOM ▬ aucun. ÂGE ▬ 2811 ansPATRIE, RACE ▬ fils d'Elrond et de sa femme Celebrian, aujourd'hui partie pour les Terres Immortelles de Valinor, qui est la fille de lady Galadriel et de Celeborn. Prince d'Imladris, petit frère d'Elladan et frère ainé d'Arwen.  LIEU DE NAISSANCE ▬ ImladrisRANG SOCIAL ▬ prince, donc riche PROFESSION ▬ guerrier itinérant, instructeur à l'épée en Imladris quand il s'y trouve SITUATION AMOUREUSE ▬ célibataire POUVOIRS ▬ en tant que fils d'un médium et petit fils d'une autre médium et télépathe, Elrohir possède une certaine sensibilité, une sorte de sixième sens, mais ça ne va pas plus loin. ce n'est pas un réel don qu'il peut manipuler  DE QUEL COTÉ IL EST ▬ j'crois que papa me tue si je mets 'les méchants' alors... j'ai pas trop le choix GROUPE SOUHAITÉ ▬ J'peux aller chez les blancs ? Non ? Vraiment pas ? Alors les elfes ^^

VOTRE PHYSIONOMIE ▬ Grand, cheveux noirs, yeux marrons (comme papa !commentaire de la joueuse : il a les yeux gris papa heu. Comme maman Commentaire de la joueuse : ouais, maman elle devait avoir les yeux bleus vu mamie et papi... Des yeux CANONS QUOI. *regarde sa joueuse d'un air noir* ) avec les cheveux le plus généralement en bataille. Un elfe Noldor, quoi. Enfin, demi elfe. Enfin, non. Papa est un demi elfe, moi je suis un 3/4 elfe vu que maman est une elfe à 100%. ça vous fatigue ? Moi aussi.  Mais, il faut en passer par là. Alors, voilà : imaginez un guerrier, un vrai. Avec les muscles bien dessinés qui vont avec, les veines saillantes sur les bras, et cette épée toujours à son coté. Il possède une certaine prestance, même s'il a tendance à plus se faire oublier. Contrairement à la plupart des elfes, il porte les cheveux assez court, car il n'aime pas passer du temps et du temps à les démêler dans ses voyages. Il ne les laisse pousser que lors de ses séjours un peu plus long à Imladris, ce qui arrive... rarement ces derniers siècles. Il aime se les ébouriffer avant le combat, c'est une sorte de rituel pour lui.
   VOTRE STYLE VESTIMENTAIRE ▬ Généralement tunique en cuir par dessus une côte de maille très légère (guerrier powa ! ). Aranruth, mon épée à mon coté. J'suis Gaucher, donc sur la droite pour pouvoir la tirer (ouais c'est important à savoir ça ? ) Un arc sur le dos, même si c'est pas mon arme favorite. Bref, un truc simple. Et, quelque part sur ma tunique, la broche de ma cape, ailleurs... les armoireries d'Imladris, ma patrie.
M'habiller en prince ? Moi ? Ha... Ha... Ha...
   VOS PARTICULARITÉS ▬ rien à signaler.
   VOTRE CARACTÈRE ▬ D'un naturel souriant, Elrohir cache sans mal les peines qui lui montent régulièrement à la tête. Cependant, tête brûlée il est, et tête brûlée il restera : c'est le genre d'elfe à parler avant de réfléchir et à enchainer gaffe sur gaffe, même s'il ne s'en rend compte qu'après coup, quand on lui a bien tapé sur la tête pour lui mettre le nez dans ce qu'il a fait. Alors, oui, beaucoup vont vouloir l'étriper après cinq minutes passées avec lui, mais il s'en fiche un peu, en fait. Toujours dans la lune, dans un autre monde, il est totalement déconnecté de la réalité, sauf quand il s'agit réellement de frapper des orcs. Là, il est toujours partant, et parfaitement centré sur la réalité.
   CE QUE VOUS AIMEZ ▬ voyager sur le dos de mon cheval, les cheveux au vent, sans but précis
   VOUS AIMEZ FAIRE LA FÊTE, BOIRE, MANGER ▬ J'adore la bière des nains. Par contre, les soirées sans fin... sans moi
   AVEZ VOUS DES PASSIONS DANS LA VIE ▬ la chasse à l'orc. C'est un sport de tous les instants
   AVEZ-VOUS UN BUT DANS LA VIE ▬ Venger môman >.<
   CE QUE VOUS DÉTESTEZ ▬ les orcs.
   PROFITEUR OU DÉBROUILLARD ▬ débrouillard
   SUR QUI POUVEZ VOUS COMPTER EN CAS DE PROBLÈME ▬ Mon frère, Elladan. mamie et papa, aussi.
   COMMENT RÉAGISSEZ-VOUS FACE AU DANGER ▬ LEROYYYYYYYYYYYYYYYYY JENKINS !
   UN SECRET QUE VOUS GARDEZ ▬ heu. Non. Je ne vous dirais pas que c'est moi qui tenait l'arc qui a détruit la peinture familiale dans le couloir d'Imladris
   QU'EST-CE QUI VOUS FAIT HONTE ▬ le regard blessé de ma mère le jour où elle est partie pour Valinor, et ces quelques mots qu'elle m'a glissé pour me dire qu'elle aurait préféré mourir
   QUEL TYPE D'ARME AVEZ-VOUS ▬ Aranruth : c'était l'épée du roi Thingol de Doriath. Elle ne fut pas perdue lors de la ruine de Doriath et fit partie, au Second Âge, du Trésor des rois de Númenor, puis confiée à Elrohir lorsqu'il termina son apprentissage de guerrier. Une dague dans ma botte, une sur mon bras gauche et un arc sur mon dos
   QUELLE EST VOTRE PEUR ▬ non. Rien. Elladan, lâche cette grenouille bordel. Bon, d'accord, voir mon frère blessé ou mort.

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    VOUS ET LA TERRE DU MILIEU ▬
La Terre du Milieu… Ma patrie, mon amour. J’en ai écumé chaque recoin, exploré chaque grotte, visité chaque ville. Et puis, il y a cinq cent ans, tout a changé pour moi. L’explorateur qui souhaitait simplement s’amuser en ce monde a découvert l’horreur et la haine. Je n’ai jamais été usé par la violence, mais ce jour où j’ai découvert que ma mère avait été enlevée… Ce jour là j’ai changé, et j’ai laissé des émotions que trop humaines entrer dans mon cœur. La haine a porté mon épée alors que je la sauvais, et ma cape a couvert les épaules de son corps torturé. Il était trop tard pour l’esprit de mère. Elle n’allait pas bien, et elle n’a jamais été mieux. Un an plus tard, je l’ai accompagnée jusqu’aux Havres Gris, où elle a pris la mer pour aller rejoindre les Terres Immortelles de Valinor. Ce voyage a scellé mes derniers jours d’explorateur. Depuis ce jour, je suis un guerrier, dévoué à utiliser mon épée pour le bien, pour éradiquer toutes les menaces de la Terre du Milieu. Nombreuses sont les cicatrices qui ornent mon corps. Nombreuses sont les fois où je me suis retrouvé aux portes de la mort, mais où cette flamme qui brûle en moi a su aider les guérisseurs à me ramener parmi les vivants, pour que je recommence à peine mes blessures refermées.
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Dans votre monde, la plupart des histoires commencent par ‘il était une fois’. Et, la mienne pourrait commencer comme ça, par ces quelques petits mots. Il était une fois, Celebrian, une elfes aussi douce que magnifique, aimante et souriante, et Elrond, le premier des demi-elfes à avoir, de par ses actions, eu le choix de la vie mortelle ou de la vie Immortelle, disciple de Gil Galaad en personne. Un amour profond est né entre ces deux êtres. Il n’a fallu que onze années pour que voient le jour les jumeaux d’Imladris : Elladan, mon frère, né quelques minutes avant moi, et moi-même, et un siècle supplémentaire pour qu’Arwen, notre petite sœur, l’étoile du soir, rejoigne la famille. Notre enfance a été dorée, et je dois avouer que la complicité de ma mère me manque parfois, aujourd’hui. Nous avons atteint notre maturité peu avant que notre sœur ne naisse, et c’est à ce moment-là que Père, agacé par nos bêtises à répétitions, nous a envoyé, mon frère et moi en Mirkwood, pour suivre l’enseignement des maîtres d’armes de Thranduil, aux côtés du fils du roi de la forêt noire.

Oui, car mon frère et moi avons fait de nombreuses bêtises : de la chasse au warg, pour tenter de les domestiquer jusqu’à la tentative – relativement désespérée, il faut l’avouer de faire la cuisine à notre grand-mère. J’avoue : ma cuisine est une des pires choses possible et imaginable. Mais, mélanger des tripes à des vers de terre et du chocolat… Je pense que cette fois-là, c’était réellement la fois de trop. Deux jours plus tard, nous voilà sur les routes pour aller chez celui que je considère désormais comme mon oncle, pour apprendre le maniement des armes, la tactique et la stratégie militaire, et autres domaines politiques. Malheureusement pour Thranduil, si durant les deux premiers siècles, Elladan et moi avons été trop occupés – et fatigués – pour réellement nous amuser aux dépens de notre hôte, nous avons finis par nous habituer totalement à notre nouveau mode de vie, et nous avons recommencer nos farces, dont lui et son fils ont été les cibles. Bon, on les aime tout de même. D’ailleurs, il faut être réellement sincère : nous adorons les personnes auxquelles nous faisons des farces. Oui, même cette fois où on a cuisiné une souris à Haldir pour la lui faire manger. Même lui, on l’adore. On adore aussi Lindir, malgré son balai dans le derrière, et cet air absolument horrifié qui nait sur son visage à chaque fois qu’il nous voit revenir de voyage et poser nos bagages en Imladris. En fait, même si nous ne lui avons pas fait la moindre farce depuis un siècle, il continue d’avoir cette tête-là.

Mais, reprenons la chronologie de ma vie. Vous voyez que j’ai tendance à dire ‘nous’, depuis quelques lignes, n’est ce pas ? C’est simplement qu’il y a cette extension de moi-même dont je dois vous parler : Elladan. Il est mon ombre autant que je suis la sienne. Nous sommes inséparables, toujours liés l’un à l’autre, incapables de faire un pas l’un sans l’autre à moins d’être brouillé. Durant près de deux millénaires nous avons voyagé : explorant ce monde dans lequel nous vivons. Des plaines glacées du Nord aux longues chevauchées dans le sud des Terres du Milieu. Parfois, nous sommes restés plus longtemps que prévu à un endroit, comme ces nombreuses fois où nous avons rejoint les dùdenains durant quelques années, jusqu’à ce que la dure réalité de leur vie éphémère ne nous fasse retourner sur la route, restant de passage partout, embrassant notre immortalité comme si elle n’avait de fin, développant notre style de combat si particulier et complémentaire : moi à l’épée, Elladan à l’arc. Mais, tout finit par avoir une fin, et cette bulle dorée de voyages, de combats éphémères contre les orcs, à qui en cette époque nous ne cherchions réellement aucune noire, a fini par nous exploser au visage.

2509 du 3° âge. Je n’oublierai jamais cette année, alors que Mère se rendait en Lorien pour rendre visite à Galadriel, ma grand-mère, son escorte a été attaquée par des orcs. Mère a été enlevée, et son escorte est revenue, blessée et affaiblie vers Imladris. Nous les avons croisés sur le chemin, et Elladan et moi avons lancés nos chevaux aux trousses des orcs, jusqu’à les trouver, entendant les hurlements de terreur de notre mère sous la torture qu’elle était en train de subir. Notre sang n’a fait qu’un tour, et j’ai tiré Aranruth de son fourreau, me lançant dans leur grotte sans même descendre de mon cheval. Là, je ne me souvient plus exactement de ce qu’il s’est passé, mais nous avons réussi à anéantir la plupart des orcs, faisant fuir les autres d’un simple regard. Là, nous avons récupéré Mère et l’avons ramenée à Imladris. Sa convalescence a été longue, et je suis restée à son côté à chaque instant, l’accompagnant même lorsqu’elle a décidé de prendre le chemin des Terres Immortelles. Là, j’ai longuement hésité, attendant avec elle le bateau elfique qui la conduirait jusqu’à Valinor. Brisée de l’intérieur, elle est partie en brisant une part de mon cœur, cette petite part que je n’ai jamais partagée avec Elladan. Je n’ai jamais partagé cette souffrance avec quiconque, mais je n’avais pas besoin de mettre des mots dessus pour lire dans le regard de mon frère la même peine à peine voilée.

De ce moment, notre vie a changé. Terminés les nombreux voyages sans fin dans le seul but de voir du pays. Désormais, c’est la chasse à l’orc qui nous a animé l’un comme l’autre. Les flèches d’Elladan sifflant à mes oreilles pendant que mon épée cherche le chemin des points vitaux des orcs et des gobelins devant nous. Ma vie ne semble avoir aucune fin, et même avec les nombreuses blessures dont mon corps s’orne régulièrement, je ne compte pas m’arrêter là. Je n’ai pas envie de voir cette vie avoir une fin. Je veux juste continuer à me battre, à venger cette peine que je vois à chaque fois que je ferme les yeux dans le regard de ma mère.

D’aucuns disent que je suis un elfe solitaire. C’est le cas. Il n’y a qu’une seule personne qui a su passer outre cette part d’ombre : mon frère. Et, jusqu’à la fin des temps, j’ai envie de continuer à avancer, de continuer à me battre, pour apporter un peu plus de sûreté à ce monde. Je sais parfaitement que ma simple présence n’aura réellement pas la moindre influence, c’est pourquoi, lorsque je passe en Imladris, je partage les connaissances que j’ai pu récupérer sur la route à tous ceux qui requièrent mon enseignement.
Aujourd’hui, ce combat n’est pas terminé. En fait, j’ai cette impression qui me colle à la peau qu’il ne fait réellement que commencer.

Maintenant mon brave, je t'invite à te créer une fiche de relationship ici ; c'est conseillé pour te dépatouiller des relations de ton personnage ! ici, tu pourras lister tes RPs en tout genre, encore une fois pour voir clair ! Pense à mettre les liens vers ta fiche et ces différentes petites choses dans ton profil, c'est bien pratique !
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Et voilà, je t'ai tout dit à présent. J'espère que tu t'amuseras bien parmi nous, Elrohir... En espérant que tu survives en Terre du Milieu !