La fille de Dirgion || Meruva

NOM&PRÉNOM ▬ Meruva, fille de Dirgion -nous allons nous en tenir là-SURNOM ▬ Il faut éprouver de l’affection pour donner un surnom à quelqu’un.. revenez un autre jour ÂGE ▬ 126 ans PATRIE, RACE ▬ Je suis la fille de Dirgion, je ne peux en dire plus si ce n’est que je suis une naine.  LIEU DE NAISSANCE ▬ Ered Luìn RANG SOCIAL ▬ Pour pouvoir savoir si l’on est pauvre ou riche, il faut pouvoir se comparer aux autres et je sors trop peu pour cela. Selon ma propre estimation, je dirais que nous sommes suffisamment aisés pour ne pas avoir à nous plaindre. (fille de marchant) PROFESSION ▬ Faire la cuisine, laver la vaisselle, coudre, broder.. est-ce cela que vous vouliez dire ? SITUATION AMOUREUSE ▬ En quête de l’amour POUVOIRS ▬ Celui de me rendre invisible, de me soustraire au regard de mon père pour éviter son courroux DE QUEL COTÉ IL EST ▬ Celui de la liberté, celui des gentils GROUPE SOUHAITÉ ▬ NAIN

VOTRE PHYSIONOMIE ▬ Avec un mètre trente-deux pour la taille -et il n’est pas là question de circonférence- elle n’est pas petite pour une naine mais elle n’est pas bien grande non plus, elle n’est heureusement pas plus grande que son père, ce serait catastrophique. Elle a une taille marquée et une poitrine développée mais pas trop, masquée par la coupe de sa robe. Ses tenues donnent l’illusion qu’elle a de long bras comparés à la longueur de ses jambes mais quand on est une naine, on n’a pas les proportions d’un mangeur de salade. Pas grosse, ni maigre, son cou est fin et gracieux, masqué par de long cheveux bruns et ondulés qui lui arrivent jusqu’au milieu du dos qu’elle tresse chaque matin même si personne ne viendra la complimenter sur le soin accordé à sa coiffure. Ces derniers encadrent un visage fin aux lèvres joliment ourlées et aux yeux sombres. Elle est de complexion fragile mais ce n’est qu’une impression donnée par son maintien et la façon qu’elle a de baisser le regard pour éviter de croiser celui des autres. Sa barbe -parce qu’elle en a une- à la même teinte que ses cheveux. Celle-ci n’est pas très longue mais l’est tout de même suffisamment pour pouvoir l’orner et la tresser à l’image de sa chevelure.
Le reste de sa physionomie est cachée à votre indiscrétion.
VOTRE STYLE VESTIMENTAIRE ▬ Elle porte des robes, toujours et encore des robes. Rose, dorée, rouge, bleu, champagne, jaune, verte, les couleurs sont multiples et les ornements qui vont avec aussi. Serrées au niveau du buste, elle sont particulièrement évasées à partir de la taille, cachant tout ce qui pourrait attiser l’imagination. Les manches sont souvent longues et le col ne dévoile jamais plus que la peau blanche du haut de son thorax. Savoir ce qu’elle porte aux pieds n’est pas important mais l’on peut apercevoir de temps en temps un bout de son soulier quand elle allonge le pas. Il lui arrive d’agrémenter sa tenue par un châle ou encore une cape. Généralement de couleur sombre, elle est jetée sur ses épaules quand elle sort de chez elle, davantage pour masquer son visage de son capuchon que pour la protéger du froid et de l’humidité. Sachez également qu’elle porte une simple chemise ample de couleur blanche lorsqu’elle s’apprête à dormir, mais c’est déjà trop indiscret.
VOS PARTICULARITÉS ▬ Ses pieds sont légèrement en canard mais à moins de soulever sa robe, vous ne le remarquerez même pas.
VOTRE CARACTÈRE ▬ Vous pourriez dire qu’elle n’en a pas, telle un pantin articulé aux ordres de son père. Elle n’a pas de personnalité, se contentant de hocher la tête et de sourire à qui la regarde. Ouvrez donc les yeux ! Un œil averti verrait les signes de ce qui se cache sous ce masque de poupée. Elle ne parle pas mais ne pense pas moins. Elle va dans un sens, obéissant docilement aux ordres de son père alors que son cœur lui crie de prendre l’autre chemin. Rien ne laisse transparaître ce combat intérieur si ce n’est parfois l’expression de son regard. Il ne porte pas le nom de miroir de l’âme pour qu’un chien s’y contemple. Elle a beau se laisser dicter, agissant de son mieux en publique pour ne pas avoir à essuyer les reproches de son père une fois à l’abris des regards indiscrets, il lui arrive de faire des maladresses. Timide au premier abord, quiconque aurait le loisir de la connaitre découvrirait un trésor. Un cœur glacé qui n’attend que d’être réchauffé.
Ses pensées sont sa personnalité. Elles bouillonnent et ne cessent de la tourmenter. Chaque action est commentée dans sa tête, chaque erreur, chaque geste, chaque image, elle n’est pas maniaque mais n’aime pas faire des erreurs, elle aime que les choses soient bien faites. Elle est également extrêmement prude, rougissant sous le flot de son imagination incontrôlée, elle se fustige souvent pour les visions indécentes (de regard croisant celui d’un homme) que lui dispense son esprit. Meruva est aussi atteinte de claustrophobie, ce qui est plutôt gênant quand on vit enfermé dans une montagne. Elle n’est pas gênée à chaque instant mais il peut se trouver des moments où elle est prise d’une crise, d’un violent besoin de sortir sans en avoir le droit, crise qu’elle ne peut que réprimer autant qu’elle le peut, frôlant la folie.
C’est un cœur tendre sous une gangue glacée, à vous de le trouver.
CE QUE VOUS AIMEZ ▬ Elle aime se conter des histoires, chevaleresques ou romanesques même si elle rougit souvent à l’évocation d’un simple baisé. Elle aime cuisiner, surtout les choses sucrées, se concentrer sur la tâche pour ne penser à rien d’autre jusqu’à l’obtention du résultat. Même si elle n’est pas très douée, elle apprécie tout autant la broderie, ainsi que de se laisser entraîner par la musique que produit son instrument.
VOUS AIMEZ FAIRE LA FÊTE, BOIRE, MANGER ▬ Pour cela, il faudrait qu’elle sache l’effet que ça fait, de faire la fête. Elle aime manger, certes, boire aussi mais de là à se sentir griser par les sensations et s’amuser, ce sentiment remonte à bien trop longtemps.
AVEZ VOUS DES PASSIONS DANS LA VIE ▬ Que ce soit jouer d’un instrument, broder, cuisiner, … beaucoup d’activités qui ne demandent aucune compagnie particulière malheureusement.
AVEZ-VOUS UN BUT DANS LA VIE ▬ Être libérée par l’amour.
CE QUE VOUS DÉTESTEZ ▬ Elle n’aime pas la sensation désagréable qu’elle a dans le dos, là où elle sent constamment le regard de son père mais elle s’en est accommodée à la longue. Elle n’aime pas se sentir enfermée même si c’est son lot quotidien. Les odeurs fortes et acres lui donnent la nausée.
PROFITEUR OU DÉBROUILLARD ▬ Ni l’un, ni l’autre, elle prend ce qu’on lui donne, ce qui est à sa portée.
SUR QUI POUVEZ VOUS COMPTER EN CAS DE PROBLÈME ▬ Son père sans doute, si c’est pour la réprimander ou lui reprocher la perte de temps qu’il a eu à l’éduquer à ce prix..
COMMENT RÉAGISSEZ-VOUS FACE AU DANGER ▬ La fuite est la meilleure solution mais il vaut mieux éviter de se mettre en mauvaise posture.
UN SECRET QUE VOUS GARDEZ ▬ Elle est une fois sortie de chez elle en douce, sans que son père n’en sache rien.
QU'EST-CE QUI VOUS FAIT HONTE ▬ L’explication donnée par sa dame de compagnie quant au sang de ses premières menstruations.
QUEL TYPE D'ARME AVEZ-VOUS ▬ Une aiguille ça compte ?
QUELLE EST VOTRE PEUR ▬ D’être à jamais enfermée comme emmurée vivante.

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VOUS ET LA TERRE DU MILIEU ▬ Elle n’a rien à craindre de la pluie là où elle est. Qu’il fasse beau, qu’il vente, qu’il neige, cela ne changera rien à son quotidien, alors des nuages... Une météorite pourrait très bien s’abattre sur la montagne qu’elle habite, son père trouverait toujours le moyen de la contraindre à obéir. Alors, chaque choses en son temps, il faut savoir s’occuper de ses propres problèmes avant de se sentir concerner par ceux des autres.
Si cela vous intéresse autant, c’était déjà un grand fléau que de subir Smaug, bien qu’elle n’était pas née à l’époque, ses oreilles n’étaient pas sourdes à cette histoire. Ce qu’elle a ressenti ? Elle s’est demandée ce que ça fait d’être libre comme un dragon -en tout bien tout honneur- avant d'afficher une moue révulsée à l’idée des corps calcinés de ceux de sa race. Il lui arrive de sentir les larmes lui monter aux yeux quand elle y pense..

Mon père m’a façonnée avant même que je ne sois née, avant même que je ne sois conçue. Je devrais donc dire que je suis plus née de l’esprit de mon père que des entrailles de ma mère, si mère il y a eu. Beaucoup de personnes veulent des fils, mon père, lui, voulait une fille, la fille parfaite. Si l’on ne m’avait répété à maintes reprises que je ressemblais fort à ma mère, j’aurais pu croire qu’il m’avait lui-même donné naissance ou pire, qu’il m’avait enlevée à mes vrais parents. Maintes fois, alors qu’il se montrait dur avec moi, mon esprit s’égarait et je me plaisais à croire que mes vrais parents m’attendaient quelque part mais la réalité était là, j’étais le produit de l’imagination de mon père.
Tirée de sa réflexion, je suis constituée d’un ensemble de règles que je dois appliquer à la lettre. Je ne sais pas quand, ni où il m’a inventée, ni ce à quoi il pensait à ce moment, mais je suis née. Ce ne devait, en tout cas, pas être à des choses bien joyeuses. Je pense qu’il a dû m’inventer dans un coin sombre et reculé, à l’écart de tous.
Je suis Meruva, la fille de mon père.

Je n’ai jamais connu de mère, cette dernière étant morte en couche des suites de ma venue au monde. Si j’en ai éprouvé de la culpabilité un jour, c’est bien lointain aujourd’hui. C’était il y a plus de douze décennies en Ered Luìn. Je ne sais pas comment cela s’est passé, s’il y a eut des complications, si elle était juste d’une grande fragilité. Personne ne m’a conté l’histoire de ma naissance en me regardant avec tendresses, si je veux savoir à quoi ressemblait ma mère, je dois me regarder dans le miroir. Est-ce que je lui ressemble sinon ? Ce n’est pas mon père qui me le dira, n’étant pas du genre à s’étendre en sentiments. Je crois que d’une certaine manière, mon père m’en veut, même si ma nourrice m’a souvent détrompée à ce sujet. Mon père est toujours froid et distant, ne me touche pas, me parle toujours sévèrement, comme s’il connaissait le moindre de mes faits et gestes et que ceux-ci ne lui conviennent pas. Il a d’ailleurs mis en place un système de règles strictes qui me définissent, en voici un petit exemple.

Règle #1 : Tu te comporteras avec dignité
Règle #2 : Souris lorsqu’on te regarde
Règle #3 : Tu feras en sorte d’être au dessus de tout reproche

Je dois toujours surveiller le moindre de mes actes, qu’il soit là ou non. Je le soupçonne de me faire surveiller, à moins qu’il ne soit omniscient, même si je ne fais rien d’extraordinaire. Mais sa parole fait loi et il m’arrive d’avoir l’impression de vivre sur des charbons ardents. Je sens son regard peser sur moi en permanence, provocant une brûlure dans mon dos, pile entre les omoplates. Quand j’étais petite, j’avais essayé de voir cette brûlure, me tordant dans tout les sens devant un miroir dans ce but, je crois maintenant qu’elle est simplement invisible. Je croyais à beaucoup de choses enfant, la plupart sortait de la bouche de mon créateur. Les années ont passé mais les choses n’ont pas changé, ses paroles font loi même si je doute.

Alors que j’étais encore jeune, mon père est partit pendant près de six mois, je laissant seule avec celle qui avait ma charge en l’absence d’une mère. Ce fut sans doute les six mois les plus beaux de ma vie. Je vivais dans la famille de ma nourrice, courrais dans les couloirs, pourchassée par cette dernière qui me réprimandait avec un sourire aux lèvres. Je jouais avec les autres enfants de mon âge. On pouvait entendre mon rire résonner dans les couloirs jusqu’à l’extérieur. J’étais très jeune mais je me souviens de l’expression de mon père quand il rentra. Je l’attendais à la porte, impatiente et fébrile, j’avais hâte de lui raconter tout ce qui m’était arrivé pendant son absence. Ne m’accordant pas un regard, il avait retrouvé notre foyer pour s’enfermer dans son bureau sans avoir dit un mot. Je ne le retrouvais que bien plus tard à l’heure du dîner, nous nous trouvions face à face à manger en silence quand, n’y tenant plus, je commençais à babiller pour combler le silence trop pesant pour la jeune enfant que j’étais. Je lui parlais de tout et de rien, ponctuant mon récit de grands mouvements et de petits bruitages. Sans élever la voix, il s’adressa à moi.


Je glapissais sous l’effet de la douche froide qu’avait provoqué le ton qu’il avait employé. Plus jamais je n’oubliais cet instant, ce sentiment. L’homme en face de moi était un étranger qui différait de l’image que je m’étais construite de lui durant son absence. Se levant de table, il avait gratifié ma nourrice d’un “elle a changé” qui n’avait rien de plaisant avant de retourner s’enfermer dans son bureau, je ne revoyais plus jamais ma nourrice. Il ne faisait aucun doute qu’elle avait été froidement congédiée. Après cet incident, il ne me laissa plus jamais seule, m’emmenant dans les rares déplacements qu’il entreprenait, que ce soit dans la montagne ou en dehors. C’est d’ailleurs un peu grâce à cela que je pus découvrir le monde extérieur mais je n’eus pas le loisir de profiter de lui, devant supporter le regard réporbateur de mon père chaque fois que mon regard s’égarait et mon expression se faisait ébahie. Une naine ne devait pas aspirer au monde extérieur, c’était indigne.

Bien que je sois encore jeune, on m’attribua une dame de compagnie. C’était très différent de ce que j’avais connu avec ma nourrice, plus sévère, austère, mais elle convenait parfaitement aux critères fixés par mon père. A ses côtés, j’évoluais dans le droit chemin, sans aucune liberté. Je cotoyais rarement les gens de ma propre espèce, passant le plus clair de mon temps enfermée dans nos appartements avec pour seule visite ceux qui dispensait mon enseignement. Mes seuls amis étaient mes livres, trop peu nombreux pour m’apporter un véritable réconfort. Je rêvais de sortir, de rencontrer des gens, de me faire des amies. Il me fallut convaincre ma dame de compagnie pour ne serait-ce que songer en parler à mon père. C’est lui qui vint me trouver pour ma première sortie en publique. Ce fut mon premier moment de “liberté” et pourtant je n’adressais la parole à personne, j’étais entourée de tant de personne et me sentait pourtant si seule. Après cette première sortie, je pus commencer à sortir plus souvent mais je ne pouvais impunément adresser la parole aux gens que je croisais. Je ne sortais que quelques minutes par jour, trop peu pour pouvoir me lier avec qui que ce soit.

Je marche la tête haute, je baisse le regard devant les hommes, je ne cours pas, … je respire difficilement. Je crois que j’ai des élans de claustrophobie. Je crois que c’est le fait de vivre dans la montagne, j’ai besoin d’air frais, j’ai besoin de voir du vert.. toute sorte de vert. La dernière fois que j’ai vu l’extérieur remonte à tellement longtemps, je suis maintenant persuadée que ce n’était que mon imagination, qu’un rêve né de mes lectures trop nombreuses d’après mon père. Mais j’aime lire, m’abreuver des histoires même si les histoires restraçant l’amour me font rougir alors qu’ils ne s’accordent qu’un regard. Je connais mes livres par coeur, tant et si bien que je n’ai pas besoin de les ouvrir. Il m’arrive parfois de m’étendre sur mon lit et de me les réciter les yeux fermés en me plongeant dans leur univers. C’est mal ce que je fais et je le sais, mes joues s’enflamment à la simple idée que mon père sait ce que je pense. Mais son visage impassible ne laisse rien transparaitre, aussi impassible que la pierre de ma prison.

Pourtant je suis une naine. Je devrais être libre, me battre farouchement pour cette liberté. J’ai le pouvoir de décider, rien ne peut m’être imposé. Mais j’ai une brûlure dans le dos, celle provoquée par les yeux de mon père et j’obéis simplement. Je souris poliment, je ne regarde pas les gens dans les yeux, je n’élève pas la voix, je ne fais pas de bruit, je cache qui je suis.
Le jour où je serais libre sera le jour où je prendrais un époux. Je suis en âge de me marier mais comment tomber amoureuse quand on a si peu de libertés. J’attend celui qui viendra m’enlever à mon père et me voler mon coeur car..

Je suis avant tout Meruva, la fille de mon père et sa parole fait loi.

Maintenant mon brave, je t'invite à te créer une fiche de relationship ici ; c'est conseillé pour te dépatouiller des relations de ton personnage ! ici, tu pourras lister tes RPs en tout genre, encore une fois pour voir clair ! Pense à mettre les liens vers ta fiche et ces différentes petites choses dans ton profil, c'est bien pratique !
Il y a aussi la possibilité de se créer un journal intime ici, pratique si tu veux t'occuper en attendant une réponse de ton coéquipier de RP. Quand à cette section, il t'est possible d'y passer des petites annonces comiques, qui défileront sur le forum. Ah tiens, tant qu'on y pense, ça te dit, un rang ? Vas-y donc.

Plus sérieux à présent ; si tu as un personnage en lien avec le tien et que tu veux le proposer aux autres joueurs, tu peux créer ton propre prédéfini ici ! Enfin, quand l'envie de RP te prendra, tu pourras alors te diriger par là pour faire une petite demande pour ceux qui pourraient être intéressés ! Enfin, n'oublie pas d'aller au bottin à avatar pour dire quel est le nom de ton acteur, merci ! Cela évitera les doublons.

Maintenant, préparez vos bières et autres boissons alcoolisées car voilà la partie la mieux arrosée ! Je t'invite à flooder un max pour faire vivre le forum, ainsi que de jouer aux jeux ; ça ne prend que quelques secondes par jours/postes, et en plus, ça te fait grimper le nombre de messages pour d'éventuels doubles comptes ! Ah et tant que j'y pense ! N'oublie pas de voter, ça pourrait de permettre de gagner des cadeaux trop cool ! N'oublie pas non plus d'aller t'informer sur ce que sont les points de réputations, et ce que tu peux aussi gagner avec ! Et si tu es téméraire et veux t'amuser à relever des défis, vas-y, n'hésite pas !

Et voilà, je t'ai tout dit à présent. J'espère que tu t'amuseras bien parmi nous, Meruva... En espérant que tu survives en Terre du Milieu !