Sujet: Nimrodel [fiche validée] Sam 20 Déc 2014 - 20:39
Nimrodel
Seere ten'lye mela
NOM&PRÉNOM ▬Nimrodel est son seul et unique prénom SURNOM ▬ Après des millénaires d'existence, la belle a eu de nombreux surnoms. Son ancien nom quenya était Aurwen, fille lumineuse, mais seuls ceux qui conaissent son ascendance le savent sans pour autant l'appeler comme telle. Plus tard, elle a été nommée en nandorin Nimrodel qui signifie "Dame de la Grotte Blanche", une origine connue de peu et à présent perdue dans les affres du temps. Theldawen est aussi utilisé parmi les elfes sylvestres pour la désigner, bien que certains hommes aient entendu parler de "la femme aux pieds nus". Ce n'est que depuis peu que le surnom parfois peu élogieux de Ninrandir, vagabonde de la rivière, est utilisé pour désigner celle qui n'a plus de chez soi.ÂGE ▬Née durant le Premier Âge ou le temps s'écoulait sans réelle mesure, on ne peut calculer son âge, si ce n'est savoir qu'il est l'un des plus grand parmis les elfes. PATRIE, RACE ▬ C'est du sang d'elfe sylvain pur qui coule dans ses veines, une fierté qui se lit aisémment sur son visage. Issue des tous premiers nandor, Nimrodel n'hésite pas à rappeller son statut devant les autres races qu'elle apprécie peu. Bien qu'elle puisse être considérée comme une Laiquendë, elfe verte, elle a bien trop vagabondé entre les différents territoires nandor pour accepter plainement cette qualification. LIEU DE NAISSANCE ▬A l'est de la Terre du Milieu, dans un lieu qui n'avait pas encore de nom précis, si ce n'est "forêt" RANG SOCIAL ▬Sans maison, sans terres, Nimrodel est dans une situation délicate. Cependant, plusieurs millénaires ne sauraient réduire sa condition à celle d'une roturière, et elle est respectée en tant que fille de l'un des 3 couples originel Quendis, Enel et Enelyë, soeur jumelle de Lenwë roi des nandor et de Lorinand, tante de Denethor roi d'Ossiriand, ainsi que promise à l'ancien roi de Lothlorien Amroth. PROFESSION ▬AucuneSITUATION AMOUREUSE ▬ Promise au roi sindarin de Lorien Amroth, depuis la mort de ce dernier, Nimrodel est seule.POUVOIRS ▬Si la conaissance de l'elfe sur les arcanes magiques de ce monde sont étendues, elle n'en possède cependant aucun en plus de ce que sa condition d'elfe lui donne. Elle a cependant été renommée pour ses présage et pour son affinité avec les soins, ainsi que sa grande empathie envers toute chose. DE QUEL COTÉ IL EST ▬En dehors de tout conflit depuis toujours, si Nimrodel est d'un quelconque côté cela ne sera que pour préserver la paix coûte que coûte. GROUPE SOUHAITÉ ▬ Elfes
➴ Tout sur toi baby !
VOTRE PHYSIONOMIE ▬ Nimrodel est une elfe sortie du passé. Une Nandor aux cheveux sombres, bouclés, dénués la plupart du temps de tresses longuement étudiées, qui s'abattent sur son visage lorsque celle-ci le lèvre pour goûter au vent du Nord. Son pas silencieux et grâcieux serait le seul indice de son ascendance quasiment éteinte et qui pourtant est sa fierté, car lorsque sa chevelure sauvage cache ses oreilles effilées, Nimrodel ressemblerait presque à une humble humaine. Avec ses yeux bien trop grands, bien trop curieux, bien trop sombres pour ce qui est maintenant l'image type de l'elfe dans la pensée populaire. Oh non, Nimrodel n'a peut-être pas cette aura de pureté quasi-divine comme les autres sindarin et autres elfes n'aspirant qu'à la guerre, non, ce qui est selon elle tout à son honneur. Son visage presque juvénile inspire au contraire de l'admiration la curiosité, l'attention presque forcée de ceux qui l'entourent à poser leur regard vers cette femme à l'apparence si jeune.. Mais aux gestes mesurés d'un sage. Aux paroles douces mais mûrement réfléchies d'un être ayant vécu les millénaires, ayant survécu aux guerres, ayant tout perdu, tout y compris sa propre partie. Nimrodel n'a rien de noble dans son apparance, dans ses épaules basses, abaissées par le poids d'un peuple qui n'a plus qu'elle comme unique voix. Nimrodel n'a rien de noble, et tout de nandorien. Une apparence sauvage et unique qu'elle conserve tel un trésor. VOTRE STYLE VESTIMENTAIRE ▬Pieds nus, mains nues. Loin d'être vêtie d'habits léger et élégants, le genre de coupe faite au cheveux près pour bien s'ajuster avec son corps, l'elfe adopte du simple tissu fait par ses soins. Vêtements naturellement de couleurs grises, vertes ou maron, Nimrodel préfère l'aspect pratique à l'élégance, et n'hésite pas à se contenter du minimum nécessaire pour couvrir son corps sans pour autant entraver ses mouvements. La plupars du temps cependant, l'elfe porte une longue cape d'un gris aux teintes changeantes, capable d'arrêter des projectils basiques. Si autrefois elle était vêtue d'une robe blanche aux milles éclats, comme la légende et les chants le ventent, elle ne met ce genre d'habits qu'en de rares occasions. VOS PARTICULARITÉS ▬ Cachées et guéries par la magie elfique, lorsqu'elle est terriblement affaiblie ou sous le coup de la colère, les cicatrices récoltées au cours de sa longue vie peuvent ré-apparaitre. Trois larges et longues plaies béants se révèlent alors sur sa poitrine, souvenirs d'une hache orque à la première bataille de Beleriand. De même, sa main gauche voit parfois toute chaire fondre autour de ce qui n'est plus que le mince squelette de ses doigts, le reste ayant été soufflé par les flammes d'un Dragon il y a fort longtemps. Toutefois, à moins de bien la connaître ou de la pousser dans ses derniers retranchements, on ne peut deviner ces blessures que la magie a guérie de manière quasi-totale. Nimrodel est également capable de comprendre toutes les langues de la terre du milieu, sans pour autant les parler parfaitement. Si elle reste à l'aise dans sa langue natale, nandorien, ainsi qu'en sindarin, elle garde cependant un fort accent peu déplaisable dans les autres dialectes. VOTRE CARACTÈRE ▬ Paix, seere. C'est ce mot qui pourrait décrire à lui seul l'esprit libre de la nando. C'est ce mot qui pourrait expliquer l'ensemble de sa vie, de son passé, et de son présent. Lorsque l'on vit comme elle depuis le premier âge, lorsque l'on a vu comme elle d'incessantes guerres et bains de sang se déverser sur ces terres déchirées par la colère et la passion, alors vous comprendrez Nimrodel. Vous saisirrez cet éclat de tristesse, héritage de la disparition de sa propre race par d'autres plus guerrières. Vous ne la jugerez pas sur son sa fierté bien trop mal placée qu'elle expose face aux sindarins ou noldors, vous ne la jugerez pas sur sa langue qui se délie parfois bien trop vites, en de bien mauvaises occasions. Car vous saurez. Vous saurez que c'est pour éviter que le sang ne coule de nouveau à flot qu'elle est prête à verser le sien, mais aussi celui des autres. CE QUE VOUS AIMEZ ▬ Nimrodel aime la nature, les animaux, l'automne. Elle aime observer le trajet des lièvres, fugaces et rapides, l'ecclosion des oeufs d'oiseaux, une marre paisible dans laquelle se reflète la lune. Nimrodel aime le soleil qui caresse son visage. Le froid qui lui mord les os, qui la fait sentir vivante. Les légendes, les histoires et mythes, ces chansons que l'on fredonne dans tout le continent. La nando aime cela autant que de rester auprès d'un feu et de s'endormir devant. Se réveiller avec l'odeur du bois brûlé sur soi. Tout ce qui est si fragile et si facilement détruit lorsqu'une guerre se profile. VOUS AIMEZ FAIRE LA FÊTE, BOIRE, MANGER ▬ Solitaire, l'elfe n'est pas contre un peu de compagnie, du moment que cela reste calme. Dès que le ton monte, dès que trop de rires éclatent, l'elfe s'éloigne et s'écarte. Elle se sent à l'étroit. Elle continue son chemin seule. AVEZ VOUS DES PASSIONS DANS LA VIE ▬ Aucune spécialement. AVEZ-VOUS UN BUT DANS LA VIE ▬ La vie d'une elfe pouvant frôler l'immortalité, Nimrodel se serait planté une dague dans le coeur depuis longtemps si seulement quelque chose ne l'incitait pas à continuer de fouler ces terres gorgées d'un sang qu'elle veut nettoyer. Si auparavant, la promise au roi de Lothlorien voulait simplement fuir vers un espoir de paix en Valinor, c'est à présent sur ce sol qu'elle veut avoir un impact, et propager son idéal de paix dans le coeur de tous les dirigeants. C'est peut-être naïf, mais c'est tout ce qui reste à la dernière réelle représentante des nandor. CE QUE VOUS DÉTESTEZ ▬ Nimrodel n'aime pas les cris, les hurlements. Les mots proférés sans réfléchir, les gens qui s'accouplent sans réfléchir. la misère que la plupart des races apportent bien plus que le bien qu'ils peuvent créer. Le florissement de la civilisation des-dites races. Leur reconaissance, leur insouciance. Leur condescendante soif de sang. PROFITEUR OU DÉBROUILLARD ▬ Définitivement, Nimrodel est reconnue comme une grande solitaire, et de ce fait, est parfaitement autonome et ne saurait être à la botte de quelqu'un. SUR QUI POUVEZ VOUS COMPTER EN CAS DE PROBLÈME ▬ L'esprit d'Amroth, son promis mort en l'attente d'une terre paisible. COMMENT RÉAGISSEZ-VOUS FACE AU DANGER ▬ Nimrodel est quelqu'un qui a appris la valeur d'un instant gâché à réfléchir plutôt qu'à agir, et adaptera sa réaction en fonction de ce qu'elle a en face d'elle. Que le danger soit grand ou minime, l'elfe ne se réduit pas à ces considération pour choisir son action. UN SECRET QUE VOUS GARDEZ ▬ Aucun. L'histoire de Nimrodel est tellement connue qu'une rivière même porte son nom. La seule part d'ombre de sa vie serait son retour des montagnes blanches d'où elle avait présumément perdu la vie. Cependant, même cela est inconnu pour l'elfe qui depuis souffre de certaines mais rares hallucinations auditives. QU'EST-CE QUI VOUS FAIT HONTE ▬ Avoir persuadé son roi et amant Amroth d'aller en Valinor, ce qui a au final causé la perte de ce dernier. QUEL TYPE D'ARME AVEZ-VOUS ▬ Un arc, deux dagues et deux courtes épées. On n'est jamais trop prudent. QUELLE EST VOTRE PEUR ▬ Devoir combattre au sein d'une guerre sans fin.
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VOUS ET LA TERRE DU MILIEU ▬ Lorsque ses yeux se sont ouverts, lorsque ses pas l'ont détourné des montagnes lanches au sein desquelles elle s'était perdue, Nimrodel ne savait pas si elle rêvait toujours ou non. Si ce danger, si ces engeances réveillées n'étaient qu'un tour de son esprit ou non. Sa peau frissonait à l'air chargé de peur et de noirceur, à ce vent qui susurrait à ses oreilles qu'une guerre se préparait. Les odeurs sylvaines avaient changé, et ce qui était autrefois un mélange de pollen et de pelage animal était devenu une odeur aussi métallique que le sang. Au sein de ses terres à présent sous le contrôle de Dame Galadriel, Thranduil, et autres sindarins qu'elle ne conaissait que peu, Nimrodel est perdue. Elle doit regagner son influence, son importance, elle doit faire en sorte que sa voix porte pour éviter qu'un jour, la Terre du Milieu ne résonne des cris de souffrance de la guerre. Une voix pour éviter des miliers hurlements d'agonie. Nimrodel est prête à quiter ses terres natales non pas pour fuir, mais pour avoir de l'importance désormais.
➴ Derrière l'écran...
PSEUDO ▬ BulleDog. SWEG JE SAIS. ÂGE ▬ 18 ans et 2 carottes PASSIONS ▬Lire, faire/écouter de la musique.. FILMS & SÉRIES ▬Les films que j'ai adoré sont tous issus de livres (Batman:TDKR, Fight Club, Clockwork orange, Drive..) donc je ne les consière pas vraiment comme tel ; et pour les séries j'aime beaucoup de genre différents de BattleStar Galactica à The Shield, en passant par Hannibal, The Office, AHS, Dr Who et of course, Game of :) PRÉSENCE ▬J'ai une relation fusionelle avec mon pc.. sauf en temps de partiels. TON AVIS SUR LE FORUM ▬EYEGASM COMMENT ES-TU ARRIVÉ ICI ▬Je sais plus. Je suis tombée dans les pommes en arrivant dessus donc.. Au hasard, topsite ? TON AVATAR ▬Keira Knightley.. Pirate of the Carribean ? REGLEMENT▬
Spoiler:
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UN TRUC EN + ▬J'VOUS AIME PUTAIN.
Dernière édition par Nimrodel le Ven 26 Déc 2014 - 20:28, édité 27 fois
Nimrodel était la promise d'Amroth. En Lothlorien, la vie avait repris une teinte sylvaine malgré que leur roi soit sindarin. Car le roi était amoureux de la nandorienne, celle dans la cabane près de la rivière qui plus tard portera son nom. La dernière de son espèce à présent mêlée avec ces elfes qu'elle considère comme barbares. Guerriers. Nimrodel a établit avec Amroth une paix et une vie hors du temps sur le royaume qu'il contrôlait. On dit que la rivière chantait l'harmonie qu'ils avaient fait régner, et que seule l'éternité sera le témoin de la paix que les amants avaient créé. Nimrodel, la dernière des nandor.
Les millénaires s'écoulaient. Les sindarins prenaient de plus en plus de pouvoir, et l'elfe s'exilait. Son existence devenait un mythe, puis une légende. Un être tellement reclu que l'on doutait de son existence. Une femme près de sa rivière qui murmurait à son époux de ne pas céder à l'instinct guerrier de sa race. Une femme qui, dans sa cabane dans les arbres, seule, refusait de se marier au Roi de Lothlorien. Un sang différent coulait dans ses veines, un sang qu'elle ne pouvait ni ne voulait partager. Nimrodel était seule. Bientôt, elle ne fut plus nomée que pour la rivière qui portait son doux nom.
Puis Balrog s'éveilla plusieurs millénaires après que l'exitence de l'elfe ne fut plus que des murmures. Une guerre, une menace se profilait. Elle fuya. L'unique héritière des siens, qu'elle pensait, l'unique représentante de ce peuple à présent appellé "sylvain" ne devait pas mourir. Elle était une histoire, un conte. Un trésor à elle seule. Elle et sa fierté fuyèrent alors, loin de cette rivière près de laquelle elle avait toujours vécu, loin de Lothlorien qui était son royaume pour se diriger près de la forêt de Fangorn. Les chants racontent alors que le roi quitta son trône pour la rattraper, laissa son peuple pour la persuader de rester.
« Seere ten'lye mela. »
La paix pour notre amour. Celle qui n'avait parlé que le nandorin par fierté avait alors articulé le sindarin pour celui qu'elle aimait, racontaient les fables et les contes. La sauvage Nimrodel avait accepté de lier son sang à celui d'Amroth à condition qu'ils rejoignent ensemble Valinor. A condition qu'ils quittent ces terres de guerre et de corruption pour rejoindre celles de leur race. Ils marchèrent. Se séparèrent. Les montagnes blanches furent leur obstacle et Nimrodel fut perdue, seule, auprès d'une rivière. L'on raconte que ses paupières devinrent lourdes, que ses rêves s'envolèrent. Dans les chants des tavernes, on dit qu'un mal mystique envellopa la conscience de l'elfe qui s'assoupit alors pendant plusieurs siècles, rêvant du premier âge ou elle et nandor foulaient seul les bois intouchés.
Le chant s'arrête à son réveil. Il s'arrête à cet être perdu qui rejoint finalement le port ou son aimé l'a attendu des siècles durant pour aller à Valinor, et s'est noyé au cours d'une tempête. Le chant s'arrête à ses cris de rage, de peur. De solitude. Le chant s'arrête à cet nandorienne qui décide de finir ses jours dans les inquiétantes montagnes blanches, à la conquête d'une mort mettant fin à son existance.
Mais la rivière n'a pas finit de couler, de murmurer son retour, sa vie. Les flots clapottent à propos de celle qui revenait comme dans un rêve des mortelles montagnes blanches. Si Galadriel a pris le contrôle de Lothlorien, les bois où elle et Amroth régnaient en paix, si tout son monde a disparu, Nimrodel elle, est toujours vivante. Et elle sent le sang dans l'air, la peur et la guerre.
Version longue:
Un jour, ils furent. Leurs yeux s’ouvrirent sur le monde étoilé, et leurs bouches nommèrent. Chaque chose, chaque miracle que leur créateur Iluvatar leur permettait de voir était associé à un nom. Ils étaient avides de vie de savoir, de choses, et s’appelèrent les Quendis. Ils étaient trois couples, et d’eux furent créé les trois groupes principaux qui plus tard scinderont les elfes. Il y avait Imin, Tata, Enel et ce dernier eu avec Enelyë des jumeaux que la légende nomma Lenwë et Aurwen. L’un était agile tandis que sa sœur rayonnait de curiosité et d’amour pour ce qui l’entourait. Les pas de cette dernière suivaient ceux des siens tandis que le nez levé vers le ciel, le jeune être qu’elle était restait fascinée par ce qui l’entourait. D’autres furent plus curieux, et leurs pas furent plus épars. Ils disparurent, emmenés par un cavalier sombre auquel aucun nom n’avait encore été attribué. Les ombres de ce monde qu’ils foulaient caressèrent bientôt le peuple nouveau-né et leur faisait entendre de crissant murmures. Des susurrements. La peur commençait à s’infiltrer pour la toute première fois dans leurs esprits, avant que celui qui était lumineux n’arrive et ne chasse tout cela. Et contrairement au cavalier sombre, lui s’appelait Oromë, et dans son visage rayonnait la beauté de ce qu’il appelait Aman. Une terre absente de toute la noirceur qui entourait peu à peu les Quendi, une terre qu’il a rapidement rejoint. Seuls, d’autres encore disparurent, jusqu’à ce qu’ils ne soient qu’un petit groupe des enfants d’Iluvatar. La peur, sentiment désormais bien connu, envahissait leur cœur. Les semblables d’Oromë revinrent d’Aman pour combattre le responsable de cette corruption en Terre du Milieu, un cavalier Noir qui avait désormais un nom : Melkor. Un nom qui flottait dans le vent, froissait les feuilles, et était colporté par tous les animaux. Si les Quendis savaient nommer, s’ils savaient parler, ils ne pouvaient que fuir pour éviter de se faire prendre dans cette guerre, ou dans les griffes de Melkor. Face aux ténèbres, Aurwen trouva une grotte d’une blancheur digne de la Lune, et on la nomma Nimrodel. Une magie semblait habiter l’endroit, et bientôt, ils découvrirent que cette même magie coulait dans leurs veines, et en usèrent pour se protéger de la guerre qui les menaçait. Une guerre causée par ceux d’Oromë, qui à présent étaient craints. Peu importait la lumière qu’ils avaient en eux, les Quendis, une fois en sécurité hors de la grotte, ne voulurent suivre ceux qui n’étaient connu que pour la destruction de ces paysages qu’ils avaient adoré.
Trois d’entre eux partirent en émissaire vers Valinor, terre ou Oromë voulait les emmener et revinrent avec un émerveillement pareil aux premiers jours en Terre du Milieu. Nimrodel et d’autres oublièrent alors leur peur et leur firent confiance, tandis que d’autres restèrent. Pour la première fois, les Quendis qui avaient toujours été ensemble se séparèrent, un souvenir douloureux pour la dame de la grotte Blanche. Durant leur voyage vers l’Ouest, vers Valinor, ses pensées restèrent auprès de ceux qui n’avaient voulu partir avec eux, et lorsque la menace des Monts Brumeux s’imposa devant eux, elle ne voulut continuer. Ces montagnes avaient été érigées par Melkor, ce même Melkor qui avait commencé une guerre et séparé les Quendis, formant le premier schisme entre les élus qui s’étaient éveillés près d’un lac, un jour. La peur de franchir cet obstacle saisit le cœur de Nimrodel, et les autres, pour des raisons rattachées à l’idée de ce cavalier noir, ne voulurent également pas aller plus loin. Mais les fils et filles de l’elfe Imin et Tata continuèrent, et bientôt, ceux d’Enel se retrouvèrent seuls au pied de ces terrifiantes montagnes. Lenwë, son frère, les mena alors plus au Sud près de la rivière et des arbres qui masquaient la vue des monts brumeux, et leurs esprits s’adoucirent. Tout comme sa jumelle, il fut appelé Dan en souvenir de son action pour les siens. Proches de tout ce qu’ils aimaient, l’eau et la nature, ils s’appelèrent les Nandor et ne regrettèrent pas de renoncer à Valinor. Ils vécurent en paix, oublièrent la guerre, vivant simplement près de l’eau.
Près d’une rivière que je chérissais, près d’une rivière tellement semblable j'ai revu le passé et les miens, près de cette rivière je me suis assoupie.
Il y avait eu le massacre des miens par les Noldor. Il y avait eu la bataille de Beleriand qui avait vu le roi d’Ossiriand, des Nandors de l’Ouest, Denethor son propre neveu mourir. Il y avait des tensions, et puis, il y avait elle. Ce jour, on l’a nommé Mereth Aderthad. Pour moi, ce fut celui ou je redécouvris de nouveau celle qui nous avait abrité au tout début de notre vie. Elle et son air austère alors que tous les autres, qu’ils soient sindarin noldor ou sylvains, profitaient de cette première réunion en paix et en harmonie. Nimrodel était celle qui savait. Elle était celle qui avait assisté à la mort du fils de son jumeau, et avec ses cicatrices à la gorge à peine soignée, la belle dénigrait les miens de n’avoir pu empêcher cette mort. Elle était celle qui avait pleuré des larmes dans des ruisseaux gorgés de sang. La nandor observait en silence ceux qui avaient tué pour de maudits bateau, ceux qui avaient tué leurs propres frères elfes pour un simple voyage. Nimrodel était celle qui avait permis aux fils et filles d’Iluvatar de survivre, et nous voir mourir la rendait malade. Moi, la voir me rendait heureux.
Je n’avais pas la chance d’être de la même race qu’elle, et de ce fait, elle m’ignorait. Elle me parlait à demi-mots. Lors de Mereth Aderthad, lors de cette fête ou nous étions tous réunis, elle qui souhaitait tant l’apaisement des conflits ne faisait que nous rappeler ce pourquoi nous avions besoin d’être unis. Ce pourquoi nous avons oublié qu’à l’origine, nous n’étions qu’un. De Quendis, nous nous étions séparés en différents noms, créant autant de conflits que de nouveau mots créés. Elle disait que ceux qui parlaient avaient que trop nommé, qu’il était temps qu’ils se taisent. Que tous ces mots disparaissent et que l’on vive sans eux à présent, puisque c’est du silence que nous sommes nés. Nimrodel était peu aimée en ce temps-là, car elle savait. Car au fond d’elle, son âme se tordait de douleur en prévoyant les guerres inévitables qui étaient à venir.
A Mereth Aderthad, elle m’a dit être nulle part et partout à la foi. Après la mort de Denethor, après avoir reçu par trois fois une hache dans sa poitrine, Nimrodel avait quitté Ossiriand. Seule, elle traversait dorénavant les montagnes brumeuses qui autrefois la terrifiaient, et voyageait dans tous les territoires nandor pour s’assurer que la paix régnait parmi les siens. Si personne ne voulait entendre ses mots, au moins verraient-ils ses gestes. La guerre ne lui faisait plus peur, et la mort l’avait endurcie. Depuis la grotte blanche, la belle avait changé, m’avait charmé. Malgré sa froideur et la tristesse qui se lisait dans ses yeux autrefois curieux et doux, une étincelle d’espoir restait.
Une étincelle digne de la lumière de Valinor, que j’ai gardé en mon cœur, sur ce bateau. Pour des siècles j’attendrais Nimrodel pour rejoindre la paix avec celle qui n’en a que trop souffert. Il faut juste qu’elle franchisse ces montagnes blanches, et nous seront heureux. Par Iluvatar, faites que ces Monts ne fassent pas d’elle une nandor de nouveau. Faites qu’elle les franchisse et me rejoignent. Cela fait depuis tellement longtemps que j’attends.
L’arc et la flèche de Nimrodel. Si la nando excècre guerre et violence, si elle ne donne aucun nom à aucune de ses armes, son arc s’appelait Canya, Imprudente. Mais l’elfe n’a probablement jamais prononcé ce mot, car jamais elle ne nommerait quoi que ce soit en quenya.
Ce fut Finrod Felagund, roi des Noldor qui articula ces syllabes. Une flèche décochée, prête à se loger dans son front, c’était ce qu’il appelait une imprudente décision. Il était en Ossiriand sur son cheval, élevé et grand face à celle qui, pieds nus, le menaçait. Ses longs cheveux bouclés formaient une crinière qui contrastait avec l’apparence presque pure qu’avait le roi qu’elle menaçait. Cependant, aucune envie de sang n’habitait Nimrodel, pas plus que l’agressivité était dans l’esprit du Roi auquel la nandor manquait de respect, car tous deux venaient de voir la même chose et tous deux étaient habités d’une grande joie. Finrod était juste entré sur des terres qui ne lui appartenaient pas, et lentement, la flèche fut rangée dans son carquois et Nimrodel bredouilla quelques mots de Quenya en guise d’hommage. Ce même jour, ils s’assirent côte à côte dans la forêt des nandor mais aussi avec les inconnus. Ce fut lorsqu’elle donna son arc à ces derniers, finement ouvragé et travaillé, que Finrod dit une seconde fois canya. Car ce qu’ils avaient en face d’eux étaient non pas des elfes, mais des Edain – les premiers Hommes. Imprudente Nimrodel, curieuse Nimrodel qui croyait avoir en face d’elle les premiers représentants d’une race puisque c’était la première fois qu’aucun Eldar en voyaient. Si elle repartit au crépuscule pour prévenir les siens de cette découverte, Finrod lui resta, et à son retour la belle vit que les humains admiraient un roi qui n’était pas le leur.
Plusieurs jours se passèrent sans qu’ils n’apprennent l’origine de ces êtres visiblement plus limités qu’eux. Si Nimrodel n’appréciait que peu la facilité avec laquelle on pouvait les émerveiller, avec laquelle Finrod les avait totalement charmé, les deux elfes eurent un doux ressentiment commun vis-à-vis de cette race qui ne souhaitait dire d’où elle venait. Leur dirigeant s’appelait Bëor, et dans les mots qu’il pesait pour détourner ce sujet, celle aux pieds nus reconnu la manière dont il ne voulait pas nommer les choses. Puisque tout nommer revenait à créer autant de conflits que de mots, Bëor restait vague, et Nimrodel compris rapidement l’enjeu qu’il y avait derrière. Elle repartit une dernière fois vers les siens et le lendemain, tous les nandor d’Ossiriand, les Laiquendi, tendirent leurs arcs et tinrent droites leurs flèches en direction d’hommes qui allaient attirer la guerre et le sang. Nimrodel savait, et pour une fois, ils l’avaient écouté.
Et pour la troisième fois, Finrod murmura canya en partant avec les hommes loin d’Ossiriand, sous la flèche de nouveau prête de l’elfe sylvaine.
Seule, personne ne l’écoutait de nouveau. Les Laiquendi n’avaient que trop fuit la guerre pour suivre celle qui pourtant, aurait donné sa vie pour les protéger. Elle est partie seule, sur ma demande. Sur la demande d’un elfe sindarin qu’elle n’avait vu qu’une seule fois lors de Mereth Aderthad, Nimrodel vint combattre une dernière fois. Une dernière fois, elle accepta de sortir ses lames pour combattre le mal ultime et apporter une paix définitive. Tout comme moi, elle avait vu les créatures de Melkor, que nous appellions Morgoth depuis, ses dragons, ses orcs. Ses yeux de glace ont fondu de terreur devant la vision de son bras calciné face au souffle d’un dragon - son étincelle d’espoir s’est définitivement éteinte en voyant les humains se retourner contre nous. Nimrodel a fuit la bataille, comme beaucoup d’autres. Ceux qui sont restés sont morts, tandis que ceux qui sont partis étaient sans espoir. Ma dame de la grotte blanche n’avait perdu aucun des siens comme moi, aucune âme n’était à pleurer. Non.. C’était sa dernière once d’espérance qui était morte ce jour-là.
Nimrodel a vu les elfes s’entre-déchirer, se voler et se dénoncer pour les Silmarils, la lumière de Valinor. Nimrodel a vu l’envie naturelle des siens se transformer en quelque chose de vil jusqu’à les corrompre. Quelque part entre Ossiriand et le Val d’Anduin, elle a entendu la guerre entre les nains et les miens, et a probablement été l'une des Laiquendi à cribler de flèches ceux qui sont passés sur son chemin sans pour autant prendre part au conflit. Lors de la Guerre de la Grande Colère, je l’ai cherché en vain, mais jamais elle ne revint sur aucun champ de bataille ne fut-ce pour mettre un terme à Morgoth. Les miens et noldors vinrent sur ses terres en exil, celle des nandor, et elle se cacha. Nimrodel aurait pu se montrer, s'imposer, faire en sorte que ses terres et celles des siens ne soient pas ainsi bafouées. Mais le silence et la peur des mots, des conflits s'était emparé d'elle, et seul le murmure de la rivière était tolérable pour ses oreilles. Dans sa cabane au sommet des arbres, proche d’une rivière ou son regard se perdait sans cesse dans un voile de mélancolie, elle m’a murmuré être terrifiée. Elle m’a dit ressentir jusque dans ses propres os le danger qu’il y avait à conférer du pouvoir à des êtres fratricides et immortels, à des nains qui avaient pillé, et aux humains qui avaient trahis. Mais les anneaux furent tout de même créés, et je succédais à mon père sur les terres de la dame aux pieds nus.
J’écoutais ses murmures, et en Lorién, je régnais en elfe nandor. Je régnais comme elle le voulait, en paix. Parfois, elle quittait son isolement pour venir voir les siens, mais les siens n’étaient plus. Ils étaient sylvains ou galadhrim, le sang nandor s’étant lié à celui de ces autres races qui l’effrayaient ; alors elle s’exclu encore plus. La guerre était sur ses lèvres, dans le bruissement des feuilles selon elle. Les nains arrivèrent en Lorién, réfugiés de la Moria – et Nimrodel partit. Elle fuya. Je l’ai retrouvé devant une forêt qui l’empêchait d’entrer. Je l’ai trouvée allongée sur le sol, à l’agonie. Folle. Je l’ai trouvé les larmes baignant ses yeux, m’implorant de l’emmener loin d’ici, loin de la guerre, de l’emmener en Valinor ou elle n’a jamais été afin que là-bas, elle soit finalement mienne. Il nous suffisait simplement de franchir les montagnes blanches, mais c'est là que je l'ai perdue. Nimrodel a parlé pour la première fois sindarin ce jour-là.
Et c’est en hurlant son nom sans aucune réponse que je vais mourir. En hurlant le nom de la nandor qui n’est jamais venue, je vais me noyer.
Un jour, elle s’éveilla. Regarda le ciel étoilé, mais sans dire un seul mot, car elle avait déjà tout nommé. Puis observa la rivière à côté de laquelle elle s’était assoupie, observa les pics montagneux qui l’entouraient, et réalisa que son aimé devait l’attendre. Alors elle se leva, souple et agile, dévala la Montagne Blanche au sein de laquelle elle s’était perdue puis endormie. Sa robe d’un blanc rappelant l’éclat de la Lune se déchira sur milles branches et rochers, pour autant de secondes qu'Amroth avait passé à attendre et pleurée sa bien-aimée. Sans aucune arme, sans aucune notion du temps qui s’était écoulé, elle descendit aussi rapidement que le souffle du vent de la montagne maudite et arriva sur une plage déserte.
« AMROTH. »
On dit que sa voix a recouvert le bruit des vagues et qu’un instant, l’océan se tut pour écouter son cri de détresse.
« Mela en' coiamin ! »
J’ai imploré le ciel gorgé de pluie de me cacher la vision des débris d’un bateau que ramenaient les vagues, de recouvrir les murmures de ces planches qui disaient avoir été celles du bateau de mon aimé, avant qu'une tempête ne déchire son navire sur lequel il m'a tant attendu. Mes genoux ont touché le sable qui pleurait la perte de mon Roi, mes mains ont recouvert mon visage indigne de poser son regard sur ces sombres rivages. Près de l’eau je ne m’assoupirais plus. Sur ces terres, je ne fuirais plus. Pour Amroth.
Dernière édition par Nimrodel le Jeu 25 Déc 2014 - 23:45, édité 21 fois
Bienv'nue à toi et bon courage pour ta fichette ^^
Dwalin
AZAGHÂL KHUZD ♦ NAIN
♦ PSEUDOs : Dwal ♦ MESSAGES : 6430 ♦ RÉPUTATION : 2993 ♦ AVATAR : Graham McTavish ♦ DC & co : Tobold & Csiasan ♦ DISPONIBILITÉ RP : ~ A discuter— RACE DU PERSO : Nain et fier de l'être. — ORIGINAIRE DE : Exilé d'Erebor, réside actuellement à Ered Luin — ÂGE DU PERSO : 168 ans et toutes ses dents (mais pas ses cheveux). — RANG SOCIAL : Seigneur nain. — MÉTIER PRATIQUÉ : Guerrier dans l'âme et avant tout. Il passe les jours calmes à la Forge. — ARMES DU PERSO : Tout est une arme pour lui. Sinon : Marteau, Haches, Dagues, Armure de poings, Crâne — ALLÉGEANCE〣GROUPE : Sa loyauté va à Thorin et à son frère aîné. — VOYAGE AVEC : Ses armes. — AMOUREUSEMENT : Veuf depuis 80 longues années. En proie aux regrets et à l'hésitation, à la crainte de blesser et celle de trahir.
Coucou Bienvenue parmi nous ! Bon courage pour al rédaction, si tu as des questions n'hésite pas à nous solliciter ^^
Thorin Oakenshield
DURIN'S HEIR ♦ NAIN
♦ PSEUDOs : Artichaud ♦ MESSAGES : 1292 ♦ RÉPUTATION : 2234 ♦ AVATAR : Richard Armitage ♦ DC & co : Destan & Bartholomew ♦ DISPONIBILITÉ RP : ✓ Disponible— RACE DU PERSO : Un Nain bien évidemment, le peuple le plus fier et brave que la Terre du Milieu ait porté. — ORIGINAIRE DE : La Montagne Solitaire, Royaume des Héritiers de Dùrin avant que la Limace ne s'en empare. — ÂGE DU PERSO : 195 longues années depuis sa naissance dans les Halls de la Montagne Solitaire. — RANG SOCIAL : Seigneur Nain et donc riche. Du moins lorsqu'il deviendra le Roi sous la Montagne. — MÉTIER PRATIQUÉ : Forgeron il fût un temps lors des années d'errance. — ARMES DU PERSO : Hache, Arc, Epée et sa condescendance pour ceux qui ne méritent que son plus profond mépris. — ALLÉGEANCE〣GROUPE : Les nains, son peuple et plus particulièrement la Lignée de Dùrin dont il est l'Héritier. — VOYAGE AVEC : Kili, son neveu, dans les plaines de l'Eriador à la recherche de la Sépulture de celui qui fût son père avant de disparaître. — AMOUREUSEMENT : Le Seigneur Nain n'a nulle épouse, cela a faillis mais il a été éconduis, il ne s'en plaint néanmoins pas. Il est à l'image des murs qu'il habite, silencieux et froid, seul et grave.
Merci Aiw ! Non, elle n'est jamais allée en Valinor, ce n'est pas une Noldor mais une Nandor :hmm?: Mais je suis sûre que les millénaires nous ont permi de nous voir une fois, au minimum ! Je vais poster une histoire plus détaillée justemment, pour que cela soit clair
Oui ils sont distincts aussi des Sindar :) Ils ont dévellopé leur propre culture de leur côté avant d'être assimilé avec sindars et noldors et devenir les elfes sylvains aux origines plus diverses, faisant disparaitre le "sang originel" des nandors, si je ne me trompe pas huhu. En tout cas oui, je commence à réfléchir à ça de mon côté avant d'être validée :lovu:
Dernière édition par Nimrodel le Mar 23 Déc 2014 - 20:39, édité 1 fois
♦ PSEUDOs : Artichaud ♦ MESSAGES : 1292 ♦ RÉPUTATION : 2234 ♦ AVATAR : Richard Armitage ♦ DC & co : Destan & Bartholomew ♦ DISPONIBILITÉ RP : ✓ Disponible— RACE DU PERSO : Un Nain bien évidemment, le peuple le plus fier et brave que la Terre du Milieu ait porté. — ORIGINAIRE DE : La Montagne Solitaire, Royaume des Héritiers de Dùrin avant que la Limace ne s'en empare. — ÂGE DU PERSO : 195 longues années depuis sa naissance dans les Halls de la Montagne Solitaire. — RANG SOCIAL : Seigneur Nain et donc riche. Du moins lorsqu'il deviendra le Roi sous la Montagne. — MÉTIER PRATIQUÉ : Forgeron il fût un temps lors des années d'errance. — ARMES DU PERSO : Hache, Arc, Epée et sa condescendance pour ceux qui ne méritent que son plus profond mépris. — ALLÉGEANCE〣GROUPE : Les nains, son peuple et plus particulièrement la Lignée de Dùrin dont il est l'Héritier. — VOYAGE AVEC : Kili, son neveu, dans les plaines de l'Eriador à la recherche de la Sépulture de celui qui fût son père avant de disparaître. — AMOUREUSEMENT : Le Seigneur Nain n'a nulle épouse, cela a faillis mais il a été éconduis, il ne s'en plaint néanmoins pas. Il est à l'image des murs qu'il habite, silencieux et froid, seul et grave.
➴ Avis sur la fiche — Nous te remercions pour les modifications que tu as apporté à ta fiche avec ta charmante version longue tout aussi bien écrite que la courte et nous sommes donc heureux de te valider Si tu as une question quelconque, ou quelque chose à faire savoir, n'hésites pas à contacter le staff par tout les moyens qui existent : chat box, MP, section questions... Sur ce, bon jeu et encore bienvenue parmi nous !
COOL, J'SUIS VALIDÉ !
... Mais, et maintenant ?
Maintenant mon brave, je t'invite à te créer une fiche de relationship ici ; c'est conseillé pour te dépatouiller des relations de ton personnage ! ici, tu pourras lister tes RPs en tout genre, encore une fois pour voir clair ! Pense à mettre les liens vers ta fiche et ces différentes petites choses dans ton profil, c'est bien pratique ! Il y a aussi la possibilité de se créer un journal intime ici, pratique si tu veux t'occuper en attendant une réponse de ton coéquipier de RP. Quand à cette section, il t'est possible d'y passer des petites annonces comiques, qui défileront sur le forum. Ah tiens, tant qu'on y pense, ça te dit, un rang ? Vas-y donc.
Plus sérieux à présent ; si tu as un personnage en lien avec le tien et que tu veux le proposer aux autres joueurs, tu peux créer ton propre prédéfini ici ! Enfin, quand l'envie de RP te prendra, tu pourras alors te diriger par là pour faire une petite demande pour ceux qui pourraient être intéressés ! Enfin, n'oublie pas d'aller au bottin à avatar pour dire quel est le nom de ton acteur, merci ! Cela évitera les doublons.
Maintenant, préparez vos bières et autres boissons alcoolisées car voilà la partie la mieux arrosée ! Je t'invite à flooder un max pour faire vivre le forum, ainsi que de jouer aux jeux ; ça ne prend que quelques secondes par jours/postes, et en plus, ça te fait grimper le nombre de messages pour d'éventuels doubles comptes ! Ah et tant que j'y pense ! N'oublie pas de voter, ça pourrait de permettre de gagner des cadeaux trop cool ! N'oublie pas non plus d'aller t'informer sur ce que sont les points de réputations, et ce que tu peux aussi gagner avec ! Et si tu es téméraire et veux t'amuser à relever des défis, vas-y, n'hésite pas !
Et voilà, je t'ai tout dit à présent. J'espère que tu t'amuseras bien parmi nous, Nimrodel... En espérant que tu survives en Terre du Milieu !