Adelind, la Dame aux chevaux [validée]

NOM&PRÉNOM ▬ Adelind, fille de Monalind. SURNOM ▬ Tout le monde l'appelle par son prénom mais elle est aussi connue sous le nom de La Dame aux chevaux. ÂGE ▬ Trente et un ans. PATRIE, RACE ▬  Dame du Rohan.  LIEU DE NAISSANCE ▬ Aldburg. RANG SOCIAL ▬ Étant la fille du maire d'Aldburg, Adelind est une noble. Elle a été, plus tard, élevée au rang de Dame. PROFESSION ▬ Elle n'a pas réellement de profession mais elle dirige les terres et l'élevage de son mari.  SITUATION AMOUREUSE ▬ Mariée. POUVOIRS ▬ Aucun.

VOTRE PHYSIONOMIE ▬ Adelind est une femme mince et assez grande. Elle a les cheveux mi-long de la couleur de l'or. Enfant, elle les avait tellement long que sa nourrice s'amusait à les tresser de différentes manières. Adelind aimait se faire coiffer car cela la relaxait et la détendait si bien qu'elle s'endormait très souvent sur les genoux de sa gouvernante. Ses yeux d'une douce couleur noisette lui procuraient un léger regard confiant et intelligent. Sur son visage rond et fin, apparaissent fréquemment des sourires joyeux qui donnent confiance à son entourage et à ses invités. Confiance qui lui sert, quand elle en a besoin, à leur soutirer des informations importantes. Ses mouvements, devenues souples et gracieux grâce à son apprentissage étant jeune, lui donnent parfois une allure de chat mais cela montre aussi qu'elle est une femme déterminée peu importe ce qu'elle fait. Elle se tient droite et reste polie en toutes circonstances. Adelind ne porte pas de tatouages, parce qu'une Dame se doit de ne pas en avoir, ni de cicatrices car elle ne s'est jamais battue. La jeune femme vieillit au fil des années mais préfère ne pas y penser car elle ne supporterait pas de s'imaginer en vielle femme ridée.
   VOTRE STYLE VESTIMENTAIRE ▬ Adelind porte souvent de simples robes aux couleurs naturelles. Pour les cérémonies, elle porte des robes plus complexes. Elle aime pouvoir se mouvoir facilement dans n'importe quel vêtement. La jeune femme ne supporte pas les grosses robes car elle se sent privée de sa liberté et cela lui rappelle trop son enfance et les mauvais souvenirs qui vont avec. Elle possède aussi des tenues pour monter à cheval mais elle peut tout aussi bien utiliser ses robes. Elle aime aussi porter des manteaux de fourrure.
   VOS PARTICULARITÉS ▬ Elle n'a pas de particularités à déclarer.
   VOTRE CARACTÈRE ▬ Adelind est une femme au caractère fort mais c'est aussi une femme joyeuse. Elle ne fait jamais les choses à moitié et chacune de ses décisions est mûrement réfléchie mais, si elle a une idée en tête, elle ne la lâchera pas.
Elle aime passer du bon temps avec les personnes de son entourage et fait toujours attention à ce qu'elles soient heureuses.
Adelind est aussi une femme juste, elle ne supporte pas l'injustice et la maltraitance. Aussi elle aide son mari à les combattre et elle le garde sur le droit chemin.
Elle est une femme accueillante et attentive, mais elle peut utiliser cette facette pour vous soutirer des informations si elle en a besoin.
Elle porte des sentiments affectifs envers sa mère biologique, mais porte de plus grands sentiments pour sa nouvelle famille et sa nouvelle mère Aedwyn ainsi que son étalon, qui ne la quitterait pour rien au monde. Ses domestiques sont, pour elle, ses amies et elles ne supporterait pas de les traiter comme des esclaves. Elle aime son mari mais ne sait pas trop si c'est un réel amour ou juste des sentiments affectifs.
   CE QUE VOUS AIMEZ ▬ Adelind aime les animaux et son travail. Elle peut passer des journées à s'occuper de l'élevage, cela ne la gênerait pas du tout. Elle aime les après-midi où elle bouchonne Mistral. Elle aime aussi les soirées où elle lit dans la bibliothèque ou les soirées où elle discute ou joue avec Aedwyn.
   VOUS AIMEZ FAIRE LA FÊTE, BOIRE, MANGER ▬ Adelind n'est pas trop alcool. Elle boit ni trop ni pas assez. Elle fait toujours attention à rester sobre. Elle aime, par contre, les bals et autres rendez-vous près de la cheminée avec ses amies.
   AVEZ VOUS DES PASSIONS DANS LA VIE ▬ Adelind adore s'occuper des chevaux de leur élevage. Elle passe beaucoup de temps à faire en sorte que les moments passés dans ses écuries de ses animaux soient les meilleurs. Elle aime son travail et sa famille qui s'agrandit.
   AVEZ-VOUS UN BUT DANS LA VIE ▬ Ce qui donne envie à Adelind d'avancer dans sa vie est d'entretenir l'élevage et ses terres du mieux qu'elle peut. Mais surtout ce qu'elle veut le plus serait de donner un héritier à son mari.
   CE QUE VOUS DÉTESTEZ ▬ Adelind déteste les gens qui la regardent de haut mais ce qu'elle déteste le plus sont l'injustice et les hommes qui ne pensent qu'à la violence et la souffrance.
   PROFITEUR OU DÉBROUILLARD ▬ Adelind est débrouillarde. Elle préfère régler un problème seule plutôt que de mentir pour que quelqu'un fasse son travail à sa place.
   SUR QUI POUVEZ VOUS COMPTER EN CAS DE PROBLÈME ▬ Elle sait qu'elle peut compter sur sa servante Sanaré ainsi que sur Aedwyn qui l'aidera peu importe ce qu'il se passe. Mais la confiance partagée avec son mari lui permet de pouvoir compter sur lui en n'importe quelle circonstance.
   COMMENT RÉAGISSEZ-VOUS FACE AU DANGER ▬ Adelind est une femme réfléchie et qui sait se battre. Elle saurait se battre si elle sait qu'elle peut régler cette situation seule mais, si elle pense l'inverse, elle saura aller chercher de l'aide.
   UN SECRET QUE VOUS GARDEZ ▬ Adelind n'a pas de secret cachés. Elle parle à Aedwyn ou à son mari si elle doute sur quelque chose ou sur quelqu'un.
   QU'EST-CE QUI VOUS FAIT HONTE ▬ Le fait d'avoir crû que son père était un homme intelligent et d'avoir suivi aveuglément tout ce qu'il lui demandait de faire. La vérité était qu'il n'avait fait que l'utiliser pour son propre image de maire et qu'il n'était qu'un homme idiot et arrogant. Adelind ne pouvait pas y penser sans ressentir de la haine envers son ancienne inconscience.
   QUEL TYPE D'ARME AVEZ-VOUS ▬ Adelind sait manier l'arc et les dagues mais n'arrive à rien avec les épées. Ce n'est pas faute d'avoir essayé.
   QUELLE EST VOTRE PEUR ▬ La chose qui lui fait le plus peur est de savoir qu'un jour Cenhelm et Aedwyn partiront dans un autre monde et qu'elle sera seule à veiller sur les pas de son futur enfant.

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    VOUS ET LA TERRE DU MILIEU ▬ Adelind ne connaît la terre du milieu que par les livres et les histoires. Elle sait ce qu'il se passe grâce aux discutions qu'elle écoute sur le marché ou par les informations que lui donne Cenhelm. Elle sent parfois que les temps changent et que le mal approche. Le vent apporte des ondes négatives qui agitent les chevaux en box. Elle ne les ressent pas mais voit l'agitation de ses animaux. Comme elle ne s'aventura pas plus loin que le Gondor elle ne s'en préoccupe pas mais continue à se tenir au courant. Elle ne supporte pas les pirates et se méfie d'eux alors quand ils réussissent à voler leurs objets de valeur, ses hommes, qui savent se battre, lui ramènent les pirates attrapés et, en sa compagnie, passent un mauvais quart d'heure. Puis ils étaient amenés en prison. Adelind et Aedwyn ont dû engager plus d'hommes pour pouvoir protéger leur élevage et leur maison des passages d'armées d'orcs. Elles prirent des hommes en qui elles pouvaient avoir confiance, des hommes qu'elles connaissaient.

Adelind est née en l'an 2910 à Aldburg. Elle vit au manoir de ses parents. Son père est le maire de la ville. Elle était donc une fille noble et vivait facilement. Fille unique, le manoir était son terrain de jeu et, avec sa nourrice Sanaré, faisait de géantes parties de cache-cache. Elle s'amusait mais travaillait beaucoup. Dés son plus jeune âge, elle apprit à écrire, à coudre, à cuisiner, à monter à cheval, ainsi que de savoir se défendre et toutes autres choses qu'une dame devait savoir faire. Adelind ressortait fatiguée de ses longues journées et Sanaré était souvent contrainte de la porter, endormie, jusqu'à sa chambre.

Son père l'amenait souvent dans ses réunions. Au début, Adelind se sentait fière d'y aller avec comme titre « fille du maire » mais elle s'y ennuya très rapidement. Heureusement, des invités, revenant plusieurs fois au manoir, pensaient à lui ramener quelques cadeaux. Ce fut pour elle les seuls moments positifs de ces soirées.

Adelind aimait les goûters que sa mère organisait, une fois par semaine, dans les jardins. Cette dernière y invitait quelques bourgeoises, et amies, de la ville avec leurs enfants. La petite fille pouvait ainsi jouait avec d'autres filles de son âge pendant quelques heures. Elle attendait avec impatience ce jour car il était pour elle un jour de liberté. Pouvoir parler à des enfants et jouer avec eux était un immense bonheur. Le soir elle se disait qu'ils reviendraient dans trente jour et elle discutait avec Sanaré des jeux faits en leurs compagnie. Mais dans son lit, Adelind ne pouvait s’empêcher de penser à la journée monotone qui l'attendait le lendemain.

Un jour, Adelind rentra dans les cuisines, se cacha derrière une plante et attendit. Sanaré voulait encore une fois l'habiller pour une des nombreuses cérémonies de son père. L'enfant n'avait pas envie, elle en avait assez de tout cela, de toutes ces grosses robes. « J'ai huit ans trois quarts. Je veux juste jouer moi ! » Une main se posa sur son épaule et Adelind sursauta. « Arrête de râler et viens sinon ton père va te gronder. » Lui déclara Sanaré d'une voix douce. « Mais je vais encore m'ennuyer... » bouda la blondinette. Cette dernière se leva finalement, l'air boudeur. Elle aimait Sanaré. Elle était gentille et elle jouait avec elle. Elle était aussi grande, belle et jeune. Ses cheveux mi-longs encadraient son visage rond aux yeux noisette, en de magnifiques boucles rousses.
Elles partirent lentement dans les appartements de l'enfant et la préparèrent pour la soirée qui l'attendait.

Quelques années plus tard, Adelind entra dans le salon en compagnie de ses parents et s'assit face à eux. Elle les admirait. Son père était le maire de la ville, elle l'imaginait comme étant un homme intelligent. Mais elle le voyait très peu. Ils ne se croisaient que pendant les repas ou les réunions où elle était plusieurs fois conviée. Sa douce mère quand à elle lui apprenait certaines choses, comme la couture ou les coutumes nobles, mais laissait le reste de son apprentissage à sa nourrice. Elles se voyaient donc plus souvent.

L'homme se mit à parler de l'importance de la jeune fille dans la famille. Discours qu'Adelind connaissait par cœur mais qui l'ennuyait. Il lui faisait cette conversation au moins une fois par mois. « Pour te donner confiance, » lui disait-il. Elle n'y croyait pas du tout et voulait surtout faire autre chose qu'écouter son père. « C'est pour cela que, comme tu as bientôt dix-sept ans, nous avons décidé de te marier. ». « Me marier ? » répéta-t-elle surprise. Ils n'avaient jamais parlé de ce sujet alors elle s'attendait à ce qu'il soit abordé beaucoup plus tard et non maintenant. « Ne t'inquiète pas ma chérie, ce n'est pas prévu pour maintenant. » la rassura sa mère en posant une main réconfortante sur son bras. « Il est prévu deux mois après ton anniversaire. ».

Adelind ne comprenait pas pourquoi ils avait décidé cela et quel avantage lui apportait cette décision. Confuse elle bafouilla un acquiescement et demanda qui était l'homme choisi. Ce fut sa mère qui, en coupant de court la réponse de son père, lui dit calmement. « Un homme sage et aimable qui saura prendre soin de toi, mon enfant. » Surprise, l'adolescente bougonna. « Vous ne voulez donc pas me dire son nom ! ». « Cenhelm le Chevalin, fils de Sanhelm. Cela te va comme réponse, fille ? » S'exclama l'homme en haussant le ton. Adelind baissa la tête « Oui père. Puis-je aller dans ma chambre maintenant ? »

Elle se leva et sortit de la salle en larmes. Elle n'avait jamais pensé au mariage, n'avait jamais cru que ses parents la trahiraient. Si elle avait voulu se marier se serait avec un homme qu'elle aurait choisi. La jeune fille ne pouvait pas râler sur son paternel par respect et par obligation. Quelques minutes après, Adelind trouva Sanaré aux écuries. Elle lui expliqua ce qui la mettait dans cet état la. Cette dernière la réconforta et elles passèrent la fin de la journée à s'occuper des équidés.

L'année passa et Adelind, la mort dans l'âme se maria à Cenhelm. Son mari avait vingt ans de plus qu'elle. Arrivée dans sa nouvelle demeure elle se sentit perdue mais son mari fit tout pour qu'elle se sente ici comme chez elle. Ils apprirent à se connaître. Adelind se rendit compte que Cenhelm, sous ses airs froid et distant, était un homme gentil et aimable. Elle rencontra Aedwyn, la mère de Cen. Toutes deux s'entendirent à merveille et cette dernière aida beaucoup la jeune fille à s'installer. Cenhelm lui donna peu à peu du travail et elle s'occupa avec plaisir des terres de son mari. Un jour, Adelind apprit que son amie Sanaré était renvoyée de son travail de domestique du maire. Elle la prit alors à son service.

Adelind aimait son travail. Elle avait sous ses ordres environ une cinquantaine d'hommes pour s'occuper des chevaux et des terres. Une vingtaine pour les champs, une dizaine pour s'occuper des écuries et une vingtaine pour dresser les animaux. Ses chevaux étaient vendus principalement aux cohortes du Rohan, ainsi qu'à quelques villageois ou à certains nobles. Ils étaient dressés en fonction des potentiels acheteurs mais étaient essentiellement des chevaux de guerre.

La jeune femme vivait maintenant entourée de ses animaux favoris et ce n'était pas pour lui déplaire. Le matin elle se levait tôt après le lever du soleil et ses servantes venaient l'habiller. Elle n'était pas une femme qui traitait ses domestiques comme des animaux. Elle préférait discuter et tisser des liens avec elles. Ensuite elle allait prendre son petit déjeuner, fait par Sanaré, en compagnie d'Aedwyn.

A la fin du repas elle allait dans son bureau et recevait tout les chefs d'équipes lui faisant leurs rapports des problèmes et des améliorations des travaux de la journée précédente. Cela prenait donc plusieurs heures de la matinée mais Adelind savait que c'était pour le bien des chevaux et de son élevage. Elle prenait cela très à cœur. Après venait la visite de certains commandants des cohortes venant demander des équidés ou venant voir si ils étaient fin prêts à partir avec eux. A certains moment, il fallait qu'elle leur rappelle qu'ils étaient des êtres vivants et non des objets. Puis elle partait, si elle avait le temps, sur le marché en compagnie d'Aedwyn et parfois de Cenhelm. Elle y passait du bon temps à parler aux marchands, en achetant et aussi en vendant, à certains moments, des chevaux de tractage.

De retour à la maison, le déjeuner passé, Adelind allait voir son magnifique étalon. Sa robe était d'un beau bai clair et possédait une liste blanche sur sa tête. Il se nommait Mistral. Adelind avait assisté à sa naissance. Ce fut une très dur mise à bas pour la mère et elle ne se releva pas. La jeune femme avait donc pris le poulain sous son aille et s'en occupa comme une jument se serait occupée de son petit. Un lien fort se créa entre eux et le jeune étalon fut enlevé de la liste des chevaux des cohortes. En grandissant, il devint un cheval rapide et fort. A chaque début d'après-midi, ils partaient en une longue balade autour des terres avec une domestique et sa monture. Puis elle rentrait et, après s'être habillée plus convenablement, dînait en compagnie de sa famille. Le repas terminé, elle partait lire dans la bibliothèque. Adelind pouvait y passer des heures sans en être lassée. C'était son univers depuis son enfance. Elle s'y enfermait quand elle avait besoin de réfléchir ou de se vider l'esprit. Aujourd'hui, les livres était une part d'elle.

Plus les années passaient, plus Adelind changeait. Elle n'était plus la jeune fille qui sortait tout juste de l'adolescence, inconsciente du monde et vive, elle prenait de l'assurance et était devenue une femme forte et réfléchie. Avec son mari, ils formaient un couple de soutien et de confiance.

Chaque dimanche, le maire de la ville venait dîner chez eux. Ils dirigeaient ses choix politiques de façon à ce que les idées du couple soient appliqués. Adelind savait que son père ne pouvait pas repartir tant qu'ils n’avaient pas eu ce qu'ils voulaient. Ils faisaient ensuite un tournoi de jeux équestres. Adelind s'amusait beaucoup, même si son père était là. L'homme repartait, joyeux, sans se douter des activités de sa fille et de son mari. La jeune femme prenait tout cela comme une vengeance envers son père qui n'avait fait que l'utiliser depuis sa naissance comme un objet.

Les années passèrent jusqu'au jour où Cenhelm rentra à la maison avec une nouvelle des plus bouleversantes. Il avait un fils, ou plutôt un bâtard, mais ce nom serait moins agréable pour le jeune homme en question, et il partait le retrouver. Adelind acquiesça tant bien que mal. Elle ne voulait pas qu'il s'en aille pendant des mois et des mois. Son courage, qu'elle avait mis des semaines à mettre en place, venait tout juste de s'effondrer. Elle voulait lui dire qu'il ne pouvait pas partir, pas maintenant alors qu'elle attendait enfin un enfant. Qu'il devait rester avec elle, qu'elle avait besoin de lui ici et non loin de la maison. Au lieu de cela, Adelind se laissa prendre dans ses bras et ne dit rien.

Deux jours de préparatifs après, il partit et elle pleura en silence jusqu'à ce qu'Aedwyn la prenne dans un câlin de réconfort. C'était elle qui l'avait vu. C'était elle qui lui avait dit qu'elle était enceinte. Aedwyn la fit rentrer et boire un thé. Adelind se devait de rester forte même dans ces circonstances mais la femme savait que cette dernière aurait besoin d'aide et elle lui donnerait avec plaisir.

Adelind passa le reste de sa journée en compagnie de son étalon mais le soir venu une flamme nouvelle était apparue dans ses yeux. Elle danserait sous les étoiles du destin et braverait tous les obstacles placés sur son chemin jusqu'au retour de son mari.

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Et voilà, je t'ai tout dit à présent. J'espère que tu t'amuseras bien parmi nous, Adelind... En espérant que tu survives en Terre du Milieu !