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“L'alcool tue lentement. On s'en fout. On n'est pas pressés.” G. Courteline [RP FINI] - Page 2
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 “L'alcool tue lentement. On s'en fout. On n'est pas pressés.” G. Courteline [RP FINI]

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MessageSujet: Re: “L'alcool tue lentement. On s'en fout. On n'est pas pressés.” G. Courteline [RP FINI]   “L'alcool tue lentement. On s'en fout. On n'est pas pressés.” G. Courteline [RP FINI] - Page 2 EmptyDim 24 Mai 2015 - 20:57



Beuverie qui dégénère.

L'emprise du sommeil commençait à vaciller, bien que l'esprit de Eard soit toujours plongé dans cette gaze cotonneuse qui séparait le sommeil de la réalité. Mais même ces rêveries avaient changés de sujet, se tournant vers de torrides images de femmes, créatures qui délaissaient habituellements ses songes. Et même dans le sommeil, il sentait cette chaleur qui grandissait, que ce soit la douce flamme contre sa peau ou le feu ardent qui lui parcourait les veines et lui dévorait le bas ventre.
Il sentait son corps qui se réveillait, mais de manière distante, comme si ses sensations lui étaient transmises depuis le lointain, ne se présentant à lui que comme des échos d'une autre vie. il sentit confusément une forme pénétrer sa bouche, qui se trouva un écho en rêve. Mordillant avec douceur cette chose, il accéléra le mouvement de ses mains,, que se soit sur le corps devant lui ou dans la cavité secrète dans laquelle il avait pénétré, laissant les échos des râles et des soupirs mourir à ses oreilles.

il s'arrêta quand il sentit qu'on l'attrapait, et il se laissa faire par la douce créature de ses rêves, qui venait de lui attraper les poignets pour profiter de ses mains d'une meilleur manière. Il profita de son autre main pour déplacer ou déchirer le voile de tissus qui recouvrait le mont que sa main gauche caressait, atteignant de sa paume la chaire ferme. dans un réflexe animal, il se releva à moitié, prenant la forme dans sa bouche pour en taquiner le bout de sa langue, le mordant avec délectation, pendant que dans son rêve il pouvait enfin profiter des seins de la créature qu'il avait rencontré.
La chaleur sur son bas-ventre disparut quelques secondes, au moment où il sentit le contact doux mais ferme sur son intimité, la durcissant plus encore. Puis, à peine quelques secondes plus tard vint l'explosion. Dans son esprit, se rêve se brisa, volant en mille couleurs et sons sous le coup de la décharge d'adrénaline, alors qu'il pénétrait enfin la femme tant convoitait. Poussant un son rauque et primal alors qu'il sentait la déchirure sur son torse, il attrapa de ses mains fermes les épaules de la dame qui le chevauchait, la pénétrant de toute sa longueur.

Ses gestes étaient forts, puissants, presque animale alors qu'il lançait son bassin dans un mouvement de vas-et-vient déchirant, poussant le corps de sa partenaire par les épaules pour en conserver le meilleur rythme. Poussé par les plaintes et les gémissement qui sonnaient à ses oreilles, et maîtrise par son instinct animal, il poussa d'un coups vers l'avant, renversant la femme sur le dos pour la prendre en missionnaire, gardant son rythme soutenu alors qu'il la plaquait maintenant sur le lit.
La force commençait à montrer en lui, et l'excitation tout autant, lorsqu'il se rendit compte qu'il était bien réveillé. Et que la créature qu'il prenait n'était pas qu'un vice issu de son imagination. Ouvrant les yeux, il vit allongé sous lui la créature aux cheveux d'or délavés, la robe à demi déchirée, qui jouissait sous les coups viriles, ses mains lui griffant encore le dos. En quelques secondes, il comprit que son rêve n'en avait jamais été un. Puis tout se couvrit de rouge.

La quittant sans faire attention à elle, il roula au bas du lit, dégainant son épée dans une position menaçante, nu et le membre dressé, prêt à en découdre avec la femme qui l'avait ainsi trompé et abusé.

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MessageSujet: Re: “L'alcool tue lentement. On s'en fout. On n'est pas pressés.” G. Courteline [RP FINI]   “L'alcool tue lentement. On s'en fout. On n'est pas pressés.” G. Courteline [RP FINI] - Page 2 EmptyDim 24 Mai 2015 - 21:51

ATTENTION la suite de ce post est interdit aux - 18 ans.

Beuverie qui dégénère  Flashback
Eard & Loan
“La première composante de la personnalité humaine soluble dans l'alcool, c'est la dignité.” ▬ Heywood Broan

N'y tenant plus, l'épouse de Loan avait accéléré avec une énergie retrouvée la cadence de son bassin, enfonçant à chaque mouvement la verge si dure de cet amant improvisé au fond d'elle-même. L'explosion de sensations lui venait par à-coups, déclenchant à chaque soubresaut de leurs corps respectifs une plainte à chaque fois plus forte et plus animale, autant chez l'homme que chez la femme. Leur synergie était à son comble, ils bougeaient ensemble, en une belle harmonie de leurs anatomies, accordant la violence de leur étreinte sans difficulté. Alyénor hallucinait totalement ; si cet homme s'y prenait pareillement lors de son sommeil, qu'en était-il une fois éveillé ? Elle aurait adoré le savoir, elle aurait aimé qu'il ouvre les yeux, la dévore du regard et continue de la ramoner avec cette fougue délectable. Mais ce serait dangereux. Pas encore, pas encore, s'intimait-elle, préférant savourer l'instant présent sans risque.

D'un mouvement brusque - qu'Alyénor apprécia, le trouvant si viril - l'étranger inversa les rôles, sans pour autant changer le rythme essoufflant. Dos contre le matelas de plumes, elle se laissa prendre, au paroxysme du plaisir. L'orgasme pointait déjà, promesse d'extase qu'elle avait oublié. Si impatiente, elle lacérait de ses ongles la chair tendre et musclée de l'inconnu, totale soumise aux désirs ardents de cet homme, brûlante d'un feu salvateur. Le plaisir touchait bientôt à son terme, son corps tout entier se remplit d'une sensation délicieuse, dans ses veines coulait l'essence même du plaisir charnel, l'explosion des sens arrivait. De gémissements, elle était passés aux cris saccadés, mais à présent elle hurlait au monde l'orgasme qui s'apprêtait à la saisir.

Dans l'autre chambre, Loan fut réveillé en sursaut par cet éclat de joie, étranger à son oreille. Enfin, pas si étranger. Cette plainte extatique lui rappelait quelque chose, un vieux souvenir... Lorsqu'il comprit ce à quoi cela se rapprochait, il poussa un furieux chapelet de jurons, sortit brutalement du lit, le visage déformé par une colère noire. Il empoigna, avant d'aller dans le couloir, une de ses épées qu'il dégaina de son fourreau, abandonnant ce dernier à même le plancher. Il marcha d'un pas rageur, le cœur au bord de l'implosion, un regard meurtrier figé droit devant lui.

Pour Alyénor, son plaisir croissant cessa malheureusement juste avant que le moment libérateur surgisse. Avec effarement, Alyénor vit l'homme ouvrir brutalement les yeux, échanger un regard avec elle puis, au comble de l'horreur, s'écarter vivement d'elle, se laissant tomber hors du lit. Telle une bête sauvage, nue, au membre toujours dressé et suintant, il se positionna en allure défensive, menaçante. Au passage, il avait attrapé son épée, la sortit de son fourreau pour la pointer vers elle. L'épouse infidèle regarda l'énergumène la fixer d'un air à la fois ébahi et coléreux, la pointe de sa lame non loin de sa gorge blanche. Elle le toisa, orgueilleuse et hautaine, mais aussi amusée, quoique une douce étincelle de frustration luisait dangereusement dans ses prunelles vertes. Elle siffla entre ses lèvres pincées par l'agacement - que dis-je ? L'énervement.

« Pourquoi donc t'arrêter en si bon chemin, cher ami ? Nous étions bien... Non ? »

Eard n'aurait pas eu le temps de répondre s'il l'avait voulu. Loan avait déboulé juste après dans la pièce où les méfaits s'étaient déroulés. Il était torse nu, brandissant une épée forgée par lui-même, et les traits crispés par une rage innommable. Il suait cette rage par tous les pores. Voyant son fameux invité, nu comme un ver, et une épée au poing également, qu'il tenait vers son épouse, nue également, il n'y tint plus.

« Je vais te tuer... » murmura-t-il, le corps entier vibrant de son envie prédit.

Il envoya alors son arme d'un mouvement ample, précis et assassin, vers la gorge de celui qui avait baisé sa femme.





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Beuverie qui dégénère.

Eard était maintenant complétement révéillé. La rage s'en était chargé, gonflant à bloc chacun de ses muscles, étirant sa respiration et remplissant son corps d'une énergie. Il n'avait plus envie que d'une chose : abattre la personne qui avait ainsi roulé son honneur dans la boue, avait souillé son intimité, et trahit sa confiance. Mais avant ça, il devait se charger de l'individu qui lui lançait, aveuglé par la rage, un coup passioné en direction de la gorge. Mouvant gracieusement son épée, il bloqua la frappe à quelques centimètres à peine de sa gorge, s'évitant ainsi une mort prématuré et douloureuse. Déviant la lame, il contre-attaqua pour faire reculer son adversaire, un sourire mesquin sur le visage.
En temps normal, Eard se saurait su plus fort que son adversaire. Celui-ci avait peut-être une meilleur épée, mais le cavalier solitaire en avait plusieur fois éprouvé le maniement en combat réel. Mais ici, dans cette pièce sombre d'une maison de cité, les choses changeaint du tout au tout. Loan était possédé par une rage aveugle, le faisant approcher de cet état d'abandon total qu'est le berserk, lui permettant de frapper sans se soucier de sa sécurité, avec pour seul but d'abattre son adversaire.

Le jeune Dunlending avait quant à lui appris à utiliser cette rage, pour la transformer en une colère noire et froide, qu'il pouvait utiliser pour être plus rapide, plus vicieux et plus mortel. Mais il avait un handicap dans le sens où il ne voulait pas tuer son adversaire. Seul la femme nue qui s'était cachée dans un coin de la pièce l'intéressait... même s'il ne pouvait l'abattre tant qu'il combattait ce gêneur. Frappant et parant, esquivant à plusieurs reprise des coups qui passèrent à deux doigts de l'éborgner, il finit par réussir à faire reculer suffisament Loan pour lui envoyer un coup de pied au milieu du poitrail, lui coupant le souffle et le repoussant dans l'encadrure de la porte.
Rabaissant son épée, il se dirigea vers Alyénor qui s'était caché à l'abris des coups d'épée destructeurs des deux hommes. Tournant son visage vers celui, défiguré par la rage de Loan, il lança d'un ton froid et égal.

"Si tu tiens vraiment à crever, viens. Je veux juste pouvoir me venger de cette chienne qui m'a volé mon honneur et trahit la confiance que je portais en mon hôte".

Il accompagna ses paroles d'un coup de pied rageur, qui vint s'écraser dans la mâchoire de la femme repliée sur elle même. Il entendit avec une certaine joie sadique un bruit de craquement, qui indiquait probablement une fracture de l'os. Bien. La chienne ne pourrait plus proférer de mensonges pendant un moment. Rajoutant un autre coup à direction des côtes, cette fois-ci, il fit finalement face à l'homme qui s'approchait à nouveaux, l'épée toujours au poing.

"Essai. venge l'honneur d'une vipère qui a craché sur le tien. Tu mourras en essayant. Ou laisse moi en paix. et je ferais en sorte, par égard pour toi, de ne pas l’abîmer plus que ces coups de pieds."

Se remettant en position de garde, anticipant l'assaut possible, Eard reprit son sourire sanguinaire. Quelques soit l'issue du combat, il serait satisfait. Dans un cas, il pourrait partir libre et au moins en partie vengé, et d'ans l'autre, il pourrait passer sa colère sur ceux qui l'avaient mené dans ce pièges traître et perfide.


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Beuverie qui dégénère  Flashback
Eard & Loan
“La première composante de la personnalité humaine soluble dans l'alcool, c'est la dignité.” ▬ Heywood Broan

Les choses ne tournèrent pas vraiment en faveur de Loan qui, aveuglé qu'il était par sa rage, ne put parer efficacement chacune des frappes de son ennemi et se prit un coup en pleine poitrine, lui coupant net la respiration et l'envoyant fissa au tapis. Le forgeron, au sol, hoqueta durant un assez long laps de temps, durant lequel Eard déblatéra des propos que Loan eut du mal à comprendre. Il prit un certain temps à saisir où il voulait en venir. Comprenant enfin ce qui s'était vraiment déroulé dans cette chambre, il planta ses yeux sur le corps de sa femme, meurtrie par les coups de pieds du voyageur qui, sans remords, lui avait donné la correction qu'elle méritait. Loan aurait peut-être du défendre son épouse contre l'agressivité de l'homme, mais, au fond de lui, il savait bien qu'il agissait comme il aurait du le faire lui-même. Une femme telle qu'elle ne pouvait pas subir autre chose qu'une punition de cette ampleur, même si ce spectacle blessait l'époux et lui mettait de la peine au coeur. Il baissa la tête, honteux, ne bougeant pas d'un pouce pour aider sa femme ni même reprendre son arme pour affronter à nouveau Eard. Il se laissa choir au sol, dos au mur, le visage déchiré par le chagrin et la honte.

« Il n'y a aucun honneur à défendre dans cette pièce. » dit-il enfin, la voix chevrotante, promesse de sanglots.

Alyénor, sa bouche enflée et saignant, un ecchymose naissant à son oeil droit, fusilla du regard son minable mari. Elle se retint tout juste de lui faire subir une pluie d'insultes méprisantes, trop craintive devant le regard courroucé de celui qu'elle avait violé. Elle pesta dans son coin, murmurant des menaces sans queue ni tête et se contentant de proférer des paroles venimeuses sans conséquence réelle. Elle alla jusqu'à se blottir dans un coin, genoux à même le corps et enlacés de ses bras, le visage détourné des deux hommes. Loan, de son côté, se mit à pleurer en silence.

« Va-t'en. » murmura-t-il à l'adresse d'Eard. « Tu n'as plus rien à faire ici. Je te demanderai juste une chose... N'en parle à personne. Tu m'entends ? Personne. Ou je te retrouve et, je le jure, je te tuerai. »

Conscient de ne pas avoir énormément de quoi impressionner un homme de la trempe d'Eard Wrecca, il prononça tout de même ces menaces sanglotantes, assez déterminé à exaucer ce souhait égoïste si Eard n'acceptait pas de tenir sa langue. Il ne fallait pas blesser un homme qui est déjà blessé au plus profond de son cœur, tout le monde savait cela.
 




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Beuverie qui dégénère.

"Je n'en dirais mot."

Même si les menaces de Loan aurait pu être balayée d'un revers de la main ou d'un simple coup d'épée, il n'en fut rien. Chaque homme avait son honneur, et il avait parfaitement le droit de conserver le sien. C'est pourquoi Eard jura de ces quelques mots concis, protégeant pour sa part la fierté de l'homme brisé qui se tenait sur le seuil. Il se retourna, attrapant en vitesse ses habits et rattachant son fourreau, récupérant aussi ses quelques sacs qu'il jeta négligement sur son épaule. La promesse du bain et d'une petite visite à la forge était malheureusement comrpomise, comme sa capacité à dormir pour le reste de la nuit. Bah. Il partirait avant le soleil, ça ne serait clairement pas la première fois. Mais il sentait malgré tout une certaine tristesse en son coeur à l'idée de finir cette nuit avec une telle tristesse. L'homme et la femme étaient fous, malades, mais ce n'était pas leur faute, seul un tragique destin les avait amené à cette impasse dans laquelle il ne pouvaient que s'etre déchirer. Cependant, il avait été attaqué... et sa riposte était définitive.

Il passa à côté d'Alyénor, ne lui accordant qu'un regard. leurs yeux se croisèrent, et il su qu'elle avait compris. C 'était lui qui avait décidé de ne pas la tuer, lui qui avait offert la vie qu'elle ménerait dés maintenant, et il pouvait la lui reprendre à volonté. Elle ne vivait que par sa permission, et chaque fois qu'elle tenterait une rebellion, elle se souviendrait de lui. Probable même qu'elle se souvienne de lui chaque fois qu'elle tenterait de tromper son mari, resentant à nouveaux les coups de l'homme qu'elle avait voulu violer.
Laissant Loan s'écarter de l'entrée de la porte, il abandonna là la femme folle et le mari au bord des larmes. Il l'aurait réconforté s'il avait pu, mais la rage qui couvait encore en lui l'en empêchait. De toute manière, il n'avait plus vraiment de possibilité de faire quoi que ce soit, maintenant qu'il avait utilisé de violence sur la femme.

Arrivé dans le salon, il se contenta de poser sur la table son couteau, lame du même acier forgé que celui de son épée. Peut-être que Loan comprendrait, et peut-être qu'il en saisirait le message. Peut-être même cela l'aiderait-il à sortir de sa torpeur. Allant jusqu'aux écuries, il sella Vent-Vif, et entreprit de partir d'un pas lent vers la grille du manoir. Dépassant celle-ci, il souffla quelques mots qui allèrent se perdre dans le souffle du petit matin.

"Au revoir. Et désolé encore...."

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